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La surprise de Tristan
Je retrouvais Kévin comme prévu le lendemain matin, en position. Cette fois, sa queue ne se réveilla presque pas quand je la saisis pour l’inspecter. La lésion d’hier avait bien cicatrisé, il ne restait plus qu’une petite rougeur. Sa queue commençant à se réveiller, je lui passe le cock-ring rapidement avant de verrouiller sue verge. Je quittais le garage en souhaitant une bonne journée à Kévin, en lui donnant rendez-vous comme la veille, en fin de soirée pour une inspection… et plus si affinité.
Ma journée passa comme un éclair et je me surprenais à penser au pauvre Kévin qui devait maintenant uriner comme une femme, en prenant bien soin de nettoyer sa queue emprisonnée.
La fin de soirée venue, je me dirigeais vers le garage pour trouver Kévin dans sa position familière.
Alors Kévin, ta journée ?
Ça va, j’ai pu gérer cette fois-ci, j’ai moins bandé avec la cage et j’ai bien fait attention à nettoyer ma queue après avoir uriné Voyons ça…
Effectivement, sa queue cette fois ne sentait rien, il y avait bien fait attention. Je déverrouillais sa cage, sa queue devint dure, mais moins vite et moins forte que la veille. Je lui pinçais l’oreille et je pus enlever le cock-ring facilement. J’inspectais rapidement son sexe et ne vis aucune lésion cette fois.
Parfait, tu as bien supporté la cage aujourd’hui. Penses-tu pouvoir la supporter cette nuit ?
Oui, je pense
À ces mots, la queue de Kévin eut un petit soubresaut et commença à se redresser.
Bien, on va essayer cette nuit. »
Je lui pinçais à nouveau l’oreille pour faire dégonfler sa queue et lui réinstalla la cage. C’est à cet instant qu’on entendit la porte du garage s’ouvrir et Tristan pénétrer dans la pièce, Kévin nu, jambes écartées avec une cage de chasteté sur son sexe, bien en évidence et moi entrain de lui caresser les testicules…
Qu’est-ce que vous foutez ? s’exclama Tristan Qu’est-ce que tu as sur la queue Kévin ?
Avec un aplomb que seule la jeunesse donne, Kévin répondit sans se démonter :
Ça, c’est ma cage de chasteté
Ta cage de quoi ?!?
De chasteté, c’est pour m’empêcher de me branler…
J’intervins alors
Tristan, Kévin pensait qu’il se branlait trop et ça commençait à le gêner, il a trouvé cette solution et m’a demandé de l’aider.
Tristan se rapprocha de Kévin pour observer la cage de plus près. Ses yeux brillaient d’intérêt.
Tu portes ça toute la journée ?
Oui, je l’ai porté hier au travail et aujourd’hui et Bastien vient de me proposer d’essayer de la porter cette nuit.
Mais tu fais comment pour pisser ?
Comme une femme, en m’asseyant
Comme nous tous dans cette maison du reste, selon notre convention pour éviter de salir les toilettes, dis-je avec un regard sévère.
Euh, oui, oui, c’est vrai, répondit Tristan d’un air penaud. Mais du coup, t’as plus d’orgasmes, tu jutes plus ?
Quand j’ai la cage, non, je ne jute pas, mais pour les orgasmes, Bastien m’a montré un moyen d’en avoir sans juter, sans même bander !
Ah oui ? Comment tu fais ça, me demanda Tristan en se tournant vers moi.
Euh, c’est délicat, je ne sais pas si Kévin est d’accord pour qu’on te montre ça…
Si, si intervint l’intéressé, je pense que je dormirai mieux si j’ai eu un orgasme, surtout pour la première fois avec la cage la nuit.
Bien, je suppose que si tu es d’accord. Mais Tristan, tu peux assister puisque Kévin est d’accord, mais pas de commentaire et ça doit rester entre nous, OK ?
Pas de problème pour moi
OK, Kévin, va t’installer sur la table, à 4 pattes, ça sera plus confortable pour toi et plus pratique pour moi.
Kévin grimpa sur la table et se mit en position. Ses fesses bien visibles avec son sexe encagé qui pendait entre ses cuisses. Il avait posé sa tête sur la table, ses mains comme à l’habitude derrière sa nuque. Je m’approchais de la table, Tristan vint se placer de l’autre côté pour ne rien perdre du spectacle. Je pris le tube de lubrifiant et en posait une noisette sur la rosette de Kévin qui eu un frisson. On vit son anus se détendre et s’entre-ouvrir. Ce jeune homme apprenait vite !
Je plaçais mon doigt sur son anus et je commençais par des mouvements rotatifs, enfonçant mon index progressivement. Kévin commençait à gémir doucement. Je regardais Tristan du coin de l’œil, il avait l’air fasciné. Je vis que ces mains s’activaient sous la table.
Tristan, ce n’est pas un sex-show, si tu veux te branler, tu as une chambre…
Oups, désolé, mais c’est tellement excitant…
Pense à Kévin, ça te plairait d’être à sa place, un doigt dans le cul avec son pote qui le regarde en se touchant ?
Oui, tu as raison répondis Tristan en plaçant ses mains en évidence sur la table.
Je poursuivais, mais je voyais que Tristan était de plus en plus excité parce qu’il voyait et par les gémissements de Kévin qui montaient en intensité. Son sexe produisait une quantité étonnante de mouille qui gouttait sur la table. Soudain, je sentis l’anus de Kévin se contracter et gémir plus fort encore. Tristan avait les yeux qui lui sortaient de la tête. J’eus une idée.
Tu veux essayer de le faire jouir Tristan ?
Euh, je ne sais pas comment on fait… mais de toute façon, il vient de jouir, c’est mort non ?
Non Tristan, on peut enchainer les orgasmes de la prostate, sans faire de pause. Tu veux que je t’apprenne ?
…
Aller, vas-y Tristan intervint Kévin le regard embrumé, donne-moi du plaisir comme Bastien m’en a donné.
N’attendant pas la réponse de Tristan, je pris sa main, dépliait son index et y déposa une noisette de gel. Le regard halluciné, il me laissa le diriger.
Pose ton index sur son anus, voilà, doucement… fait des petits cercles et enfonce-le doucement dans le cul de Kévin… voilà… encore un peu plus profond.
Ça va Kévin demanda Tristan d’une voix étranglée.
Kévin n’était plus en mesure de répondre, tout ce qu’il savait produire, c’était des gémissements rauques et de la mouille qui coulait doucement de sa queue à travers la cage.
Continue, maintenant, tu devrais sentir un volume dans le cul de Kévin dis-je guidant sa main pour l’orienter correctement
Attends, ah oui, c’est élastique, un peu dur
Kévin de son côté était reparti dans un plaisir énorme et ses gémissements se firent plus fort.
Tu viens de trouver la prostate de Kévin, continue à masser cette zone, tu vas voir…
Le visage tout rouge, Tristan se concentrait sur le centimètre carré de son index fiché dans l’anus de Kévin et qui semblait lui donner tellement de plaisir… Les vocalises de Kévin montèrent en intensité et je vis une lueur de panique dans les yeux de Tristan.
Tu sens son anus se contacter ? Tu viens de le faire jouir Tristan, continue jusqu’à ce qu’il se calme un peu…
Kévin était maintenant affalé sur la table, le regard vitreux du bienheureux. Je saisis la main de Tristan et lui fit retirer doucement son doigt de l’anus de Kévin. Tristan respirait fort et un coup d’œil à son entre-jambes m’indiqua pourquoi : il venait de jouir dans son caleçon sans se toucher.
Bien, les garçons, voilà qui était très instructif, je vais vous laisser ranger tout ça avant d’aller vous coucher. N’oubliez pas de vous laver les dents et Kévin, n’oublie pas d’être ici demain, comme d’habitude, dis-je d’un air enjoué avant de les laisser dans le garage.
Je me précipitais dans ma chambre et je n’eus que le temps de baisser mon slip que mon sexe surstimulé éjaculait à son tour. Quelle soirée !
Christophe
bcastafiore@hotmail.com
