Je ne me rappelle pas trop quand je me suis rendu compte que j'allais pouvoir m'amuser avec toi.
À la fac on ne se parlait pas plus que ça. Moi le gay pas trop sûr de lui, toi le tombeur au corps d'Apollon. Tu passais ton temps à parler des filles, et que les femmes étaient là pour servir les hommes. Ça avait le don de m'énerver.
Puis un jour tu as commencé à me poser des questions sur ma sexualité. Un peu comme si tu voulais savoir, un peu comme si tu voulais me tester. À chaque pic que tu m'envoyais, mon revers était encore plus gênant pour toi.
Ça doit être là que j'ai compris. Quand je t'ai vu être très gêné, mais en même temps intrigué quand je t'ai dit que je t'apprendrai à te la prendre dans le cul.
Alors quand je t'ai croisé dans les toilettes de la fac, j'ai su que c'était l'heure de tester ma théorie.
- Eh! Tu veux toujours que je te donne des cours particuliers ?
Tu as regardé à droite à gauche, comme si tu te comprenais pas que je te parlais.
- Arrête de faire comme si tu ne comprenais pas. Je sais très bien que tu as envie d'explorer un peu de l'autre côté de la barrière...
Je me suis alors approché de toi et tu as eu un mouvement de recul, mais tu n'es pas parti.
- Non. Non... Je... Tu te trompes. Je suis hétéro. Je te l'ai déjà dit.
- Ça peut vite changer ça.
Sans plus de préambule je me suis avancé vers toi et t'ai saisi par la nuque pour t'embrasser. J'ai été poli, j'ai attendu que tu te détendes avant d'envahir ta bouche avec ma langue.
Je n'ai pas eu à attendre beaucoup. J'ai senti tous tes muscles se détendre soudainement et j'ai compris que j'allais m'amuser.
- Toutes ces heures à la salle et tu trembles comme une feuille, te dis je en te tenant par la gorge, Mets-toi à genoux et suce-moi.
Tu ne t'es pas fait prier. C'était bien ta première fois, j'ai dû te remettre sur le chemin a plusieurs reprises : une bonne claque sur la joue.
Tu couinais même de plaisir quand je te faisais tirer la langue pour te cracher dans la bouche.
- Mais c'est que tu n'attendais que ça en fait? Devenir une bonne salope...
Je voyais l'extase monter dans t'es yeux au fur et mesure que je te dégradais. Ce corps si musclé à ma merci... J'en étais excité au plus haut point. Et ce cul que je m'apprêtais à dévorer.
- Lève toi, mets-toi face au mur et cambre ton cul.
Une main sur chacune de tes fesses je me suis assis pour commencer à te lécher la raie. Au premier contact tu t'es mis à trembler de plaisir. Chaque passage de ma langue te faisait respirer de plus en plus fort. Surtout quand je la faisais rentrer à l'intérieur de toi.
Entre deux coups de langues j'ai commencé à faire rentrer un doigt en toi. Dieu que tu étais serré. Ça n'allait pas durer longtemps... Et contre toute attente, tu repris parole :
- Mets moi ta queue s'il te plaît... J'en peux plus.
- Et bien. Que de manières ! Je ne te reconnais plus.
- S'il te plaît. J'ai tellement envie de la sentir en moi!
- Vos désirs sont des ordres...
Et sans plus de discussion je me suis relevé et ai enfoncé mon sexe dans son anus.
- Putain ça glisse tout seul, t'en avais vraiment envie. T'es sûr c'est ta première bite?
T'avais plus trop la tête à répondre alors j'ai commencé à te pilonner. J'étais au paradis. Tu gémissais comme une chaudasse à chaque coup de butoir. Et à chaque fois ça m'excitait encore plus. Je ne pouvais pas m'empêcher de te parler salement. Tu étais totalement soumis à moi, et chaque claque que je mettais sur ton cul tu en redemandais.
Et quand je pensais que je ne pouvais pas être plus excité que ça, la tension monta d'un cran : la porte des toilettes s'ouvrit soudainement sur un autre élève de notre promotion. Il eut besoin de quelques secondes pour comprendre ce qu'il se passait puis esquissa un sourire.
- Je peux me joindre à vous?
- Sa bouche est libre, lui répondis-je sans écouter t'es protestations.
Autant dire qu'à côté de lui je te ménageais. Il s'empressa de te faire ouvrir la bouche et d'enfoncer son sexe au fond de ta gorge. Il s'approcha alors de moi et me m'embrassa langoureusement pendant que nous te baisions chacun par une entrée différente. C'en fut de trop pour moi et je me suis alors vidé en toi et le nouvel arrivant prit ma place. Sa queue est rentrée toute seule dans ton cul bien lubrifié par mon sperme.
Si tu te voyais. La bouche grande ouverte, à gémir et en redemander encore. Tu es devenu ce que tu as toujours détesté et dans tes yeux je vois que tu ne feras jamais machine arrière. La seule chose qui t'importe désormais c'est d'être à genou devant un autre homme et je compte bien en profiter.
Pierredelavega
pierredelavega5991@gmail.com
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