- Bon, qu'est-ce que tu attends ?
Je suis aux pieds d'un homme que j'ai rencontré il y a cinq minutes. La nuit est bien noire et je ne saurais même pas dire à quoi il ressemble. Demain je pourrais le croiser dans la rue sans le reconnaitre.
Je n'ai jamais aimé me faire parler mal pendant un plan cul, mais quelque chose se passe. Sa voix autoritaire et sèche me fait instantanément bander.
Je lève les yeux et croise son regard. Nous ne nous connaissons pas, mais pour la prochaine heure à venir je suis sa possession. Cette pensée m'excite. Je ne comprends pas ce qui m'arrive.
- Baisse mon caleçon et suce-moi.
Je ne me fais pas prier. Instantanément je me retrouve face à son sexe, en demi-érection. Un bel engin qui sent le mâle.
Je lèche tout d'abord son sexe dans la longueur. Je veux lui faire plaisir. Lui faire du bien. Je n'oublie pas ses imposantes testicules qui obtiennent le même traitement. Son sexe gonfle alors, de plus en plus imposant. Je m'amuse à lui titiller le gland, mais lorsque je croise son regard je comprends que ce n'est plus moi qui dirige l'action ici.
Son sexe rentre dans ma bouche avec facilité, mais bute contre le fond de ma gorge. Il est énorme. Je m'applique à le faire rentrer en entier. Je ne veux faire plus qu'un avec cette bite qui sent l'homme et qui me rend dingue. Mon amant me prend alors par les cheveux et commence à rythmer la cadence. De plus en plus rapidement. Sa bite me provoque des haut-le-coeur, mais je n'en ai rien à faire. Je me sens enfin à ma place. Aux pieds d'un homme que je regarde droit dans les yeux alors que j'assouvis ses besoins.
Tout d'un coup il me tire la tête en arrière. Je suis surpris et cherche à retourner sucer son sexe. Mais il me maintient la tête fermement en arrière. Il plonge alors son regard dans le mien et sans prévenir me crache dans la bouche.
- T'es une bonne salope toi. Tu le sais ça ?
À cet instant tout s'éclaire. Je ne me suis jamais considéré en tant que tel, mais oui. C'est ce que je suis. Je n'ai qu'une seule envie c'est de combler les hommes et de me faire remplir de leurs fluides corporels. Et cet homme qui vient de me cracher dessus me rend fou. J'en veux plus. Je veux me sentir sale, maltraité. Je veux me faire prendre dans ce coin obscur d'une rue comme si j'étais là pire des chiennes.
Devant mon silence il se répète alors :
- Tu le sais que t'es une bonne salope hein ?
- Oui. Je suis ta salope ce soir.
- C'est bien. Je vais encore m'amuser avec ta gueule et après je vais te baiser comme une chienne. Ça te va ?
Je n'ai même pas répondu et j'ai juste tiré la langue en regardant sa queue. Amusé, il s'est penché vers moi et m'a de nouveau craché au visage avant de continuer à me baiser la bouche en me fixant dans les yeux. J'étais au paradis.
Il entreprit alors de me relever pour m'appuyer contre un mur, la joue contre le béton. Il me claqua les fesses.
- Tu as un putain de bon cul toi. Je vais bien m'amuser.
- Baise-moi comme tu veux.
- J'en ai bien l'intention salope.
Et sur ces paroles il fit glisser son sexe dans mon anus. Avec surprise il s'y prit avec douceur. Il attendit de s'y être enfoncé complètement pour commencer de long va-et-vient. Rapidement je me mis à gémir de plaisir et d'excitation. Cet homme me rendait fou. J'étais en transe. En extase. Heureux d'être son vidoir pour la soirée
- Ça te plait ?
- Oh oui...
- Attends de voir la suite.
Il se mit alors à me ramoner l'intérieur. De plus en plus fort. Je ne pouvais m'empêcher de lâcher des petits cris et des gémissements que lui-même ponctuait par des " T'as vraiment un cul de salope " ou de claques sur les fesses.
Encore une fois il s'agrippait à mes cheveux et me tirait la tête en arrière. J'étais à sa merci et j'aimais ça. Il me limait le cul comme un Dieu. Nous sommes restés dans la même position tout le long, mais le plaisir fut intense. J'étais comblé.
- Toi. Je vais te ramener chez moi un soir, et je vais te niquer comme une pute avec des potes. Ça te parle, ma salope ?
- Oui...
- Oui quoi ?
- Oui, j'ai envie de me faire niquer comme une pute par plusieurs personnes.
- Mais n'oublie pas, désormais tu es ma salope. Tu n'obéis qu'à moi.
Après un dernier coup de bite, il me sortit de moi, me retourna et me remit sa bite dans la bouche.
- Je vais t'éjaculer sur le visage et dans la bouche parce que c'est comme ça que l'on traite les mecs dans ton genre.
Je n'ai pas eu mon mot à dire, mais la situation m'allait très bien. Il plaça directement son gland au fond de la gorge désormais bien élargie et commença ses vas et vient. Pendant ce temps je me branlais. Il ne mis pas longtemps à venir et, en même temps qu'une flopée d'insultes, de long jets chauds de sperme explosèrent sur mon visage et dans ma bouche.
- Lèche-toi les lèvres salope. Tu ne dois pas en perdre une goute.
Pendant que je m'exécutais il me cracha à nouveau au visage et j'ai alors éjaculé à même le sol. Cet orgasme fut un des plus violents de mon début de vie. J'ai éjaculé de nombreux jets de sperme qui me laissèrent sans énergie.
Quand j'ai alors trouvé l'énergie pour relever la tête, il me fixait du regard en souriant. Il me mit une claque puis me dit en tenant fermement mon visage :
- Je vais vraiment bien m'amuser avec toi...
Pierredelavega
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