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Coucou à tout le monde ! Encore merci pour vos messages, cela m’a fait un grand plaisir, et merci également à Cyrillo pour la publication de mes récits. De retour à mon clavier, voici la 3ème partie :
Une fois notre moment de sexe terminé et une douche prise, aucun de nous deux n’osa parler de ce qui venait d’arriver. La matinée s’est achevée ainsi que notre petit séjour. Il était grand temps pour lui de rentrer. C’est avec un petit pincement au cœur que je l’ai donc laissé partir, toujours sans un mot sur ce qui venait d’arriver.
Après ce fabuleux weekend ou plutôt ce merveilleux matin tant espéré, je ne sais plus comment agir. Est-ce que je dois lui parler de ce qui s’est produit, au risque de le bloquer et le faire fuir ? Est-ce que je dois faire comme si de rien n’était, au risque qu’il pense que je ne souhaite pas recommencer ? Trop de questions se bousculent dans ma tête. Malheureusement pour moi, il n’allait pas m’aider à y voir plus clair.
Après quelques jours où je ne faisais que penser à lui, à ce qu’on avait fait, aux réactions qu’il aurait pu avoir en partant de chez moi, c’était trop dur de ruminer tout ça. Alors un jour, j’ai décidé de lui envoyer un message, juste pour dire salut et lui demander comment il va. On ne s’était pas parlé depuis qu’il était parti et cela me pesait.
Plusieurs jours passent : aucune réponse ! Mes craintes vont — elles se révéler exactes ? Allait-il choisir de ne pas reprendre contact avec moi pour ne pas avoir à affronter ce qu’on avait fait ? J’ai donc réessayé de lui envoyer un message, puis un autre, et encore un, au risque de paraitre un peu lourd. Tous sans réponse. Cela faisait donc presque deux semaines qu’il ne me parlait plus.
Une angoisse et encore des questions commencèrent à m’envahir. Et s’il en avait parlé à sa mère ? Et si c’était elle qui lui interdisait de me reparler ? Est-ce que j’allais devoir être confronté à leurs regards la semaine suivante à la gare au moment de retourner à l’école ? C’était trop dur d’imaginer le scandale devant tout le monde.
Le lundi suivant, je suis rendu à la gare avec une boule au ventre. Mais il n’est jamais venu. Quelque part, j’étais soulagé que ma peur ne se soit pas réalisée.
Plus tard dans la journée, on nous annonça que Lucas était malade et serait absent toute la semaine. À la pause, je lui ai donc envoyé un énième message pour prendre des nouvelles, mais ce ne fut qu’un message de plus resté sans réponse.
Le lendemain, Stéphane est surpris de recevoir un message de Lucas. Rien d’exceptionnel, juste qu’il est malade. Mais pourquoi lui répondait-il à lui et pas à moi ? J’avais vraiment peur qu’il m’en veuille pour de bon cette fois. Je me sentais seul. Nos nuits à l’internat me manquaient. Bizarrement personne ne jouait en l’absence de Lucas. Je pense que ses manières de gars sans gêne manquaient à tout le monde pour déclencher nos jeux lol.
ÇA M’ÉNERVE… !!!!
Je ne faisais que penser à lui, résistant chaque jour pour ne pas envoyer de message de peur qu’il me trouve trop envahissant. Cette crainte que j’avais eue en début de semaine se changea en manque. Quand je parle de manque, je ne pense pas au sexe ou nos jeux, non. Lucas me manquait. Je n’avais jamais ressenti ça pour un mec. Est-ce qu’un attachement ou des sentiments étaient en train de se développer ? Probablement, oui. J’ai donc dû prendre sur moi pour finir la semaine sans trop penser à lui et cacher mon mal être.
De nouveau en weekend, j’avais décidé malgré tout de ne plus envoyer de message. La semaine qui suivit non plus. Cela fut difficile, mais je m’étais fait une raison.
Voilà presque un mois que je n’avais plus de nouvelles de lui, je ne pouvais me consoler qu’en repensant à nos moments à l’internat et notre fameux dimanche matin. Nos deux corps l’un contre l’autre, nos caresses sensuelles, nos membres qui réagissaient, leur envie de sortir de nos boxers. Repenser à tout ça me réconfortait quand même.
Puis un jour un sms arriva. Quelle surprise ! C’était Lucas !! Après tout ce temps d’absence, le revoilà qui me donne enfin signe de vie. Ni une ni deux, je lui réponds et une petite discussion s’engage : depuis le temps que l’on ne s’était pas parlé… Quel soulagement pour moi !!! Car même si nous n’avons pas parlé de ce qui c’était passé, il me parle enfin. Après avoir échangé quelques messages, il me propose un weekend chez moi, ce que j’accepte direct, avec plaisir même. Par crainte de le braquer, je ne lui demande même pas pourquoi il ne m’a pas calculé depuis un mois. J’étais juste content qu’on se reparle, cela me suffisait. Il me demanda quand même de prévenir Stéphane, mais je savais que, par chance, il était absent ce weekend. « Tant pis alors, on ne sera que tous les deux », m’a-t-il répondu. « Oui, on ne sera que tous les deux », lui ai-je renvoyé avec enthousiasme.
Allait-il se repasser quelque chose entre nous dès le vendredi soir ? Bah ! À ma grande déception, il ne s’est rien passé. Aucun rapprochement, aucune caresse, aucun contact physique. Quel dommage alors que nous étions seuls ! Aucun de nous deux n’osa lancer le premier signe, c’était comme s’il ne s’était jamais rien passé entre nous. Bref, passons, j’étais quand même content qu’il soit là.
Nous avons passé presque tout notre samedi à jouer à la console. Il est bien meilleur que moi et il le sait. Puis il lui a pris l’envie de me lancer des petites provocations, critiquant ma façon de jouer. Au début, je n’y ai pas vraiment prêté attention, mais finalement c’était une manière d’attirer mon intention. Tous les deux sur le lit, nous nous sommes mis à discuter de tout et de rien quand il s’est remis à me provoquer de plus belle. Ce coup-ci j’avais décidé de répondre, choisissant évidement la plaisanterie : « tu ne veux pas que je m’occupe de te faire taire ? Tu ferais mieux de la fermer. »
« Bla bla bla, je suis mort de trouille » me dit-il et il me demande même ce que je compte faire. « Tu verras bien ! » Et à ce moment, il commence à me mettre des coups de poing dans l’épaule gentiment pour me faire réagir. Là, c’en est trop, je réplique en me jetant sur lui. Une espèce de lutte pour savoir qui est le plus fort commence. De peur de craquer son t-shirt, il le retire et me conseille de faire de même. Notre combat reprend. Sa peau contre la mienne m’excite, mais je suis trop concentré à vouloir le maitriser pour le battre. Après cette bataille, nous nous sommes arrêtés pour reprendre notre souffle et boire un peu.
Au même moment, il s’absente pour passer un coup de téléphone et pendant ce temps, je reste sur le lit. Je suis allongé sur le ventre avec mon portable puis au bout de quelques minutes, il revient dans la chambre et, sans que je m’y attende, il me saute dessus. Mais ce n’est pas pour relancer le combat. Il s’est juste allongé sur moi, sa peau contre la mienne, son sexe contre mes fesses et je sens de légers coups de bassin. Il reproduit un acte sexuel comme à l’internat.
Une fois qu’il m’a relâché, je m’empresse de l’attraper et de lui faire la même chose pour lui montrer que je suis OK pour jouer. Je le mets donc sur le ventre et l’immobilise de tout mon corps. Mon sexe commence déjà à gonfler. Et de plus belle quand je commence à simuler des vas et viens sur son cul. Contre toute attente, il me demande si c’est tout ce dont je suis capable. J’ai donc simulé notre action plus fort tout en étant plus précis dans mes gestes. Je l’attrape par les hanches pour le maintenir plus solidement. J’ai une érection d’enfer et je n’ai même pas besoin ni cherché à la dissimuler. Une fois terminé, nous allons prendre une douche, mais chacun notre tour (mdr) désolé de vous décevoir). Nous mangeons avant de rejouer à la console.
Plus tard dans nuit, nous arrêtons la ps3 et nous nous préparons à aller nous coucher. Mais Lucas n’a pas l’air d’être disposé à dormir, il se remet donc à me frapper et à me provoquer. Nous recommençons à combattre quand soudain il me demande de stopper le jeu, car il avait trop chaud. Et c’est à ce moment-là qu’il retire son pantalon et se retrouve en boxer. Je fais de même, mais pensant que le combat reprenait, il a l’air d’humeur à jouer plutôt qu’à se battre. Il préfère donc me provoquer comme plus tôt dans l’après-midi pour voir de quoi je suis capable. Sans attendre, je me mets sur lui avec, direct, ma queue en érection contre son cul. Et c’est reparti pour une séance de sexe habillé. Il redouble de provocation en me disant que je ne suis pas capable de faire plus et qu’il ne sent rien, car je ne dois rien avoir entre les jambes. Je me suis fait un plaisir de lui prouver le contraire, attrapant ma bite à travers mon boxer pour la diriger directement entre ses fesses pour qu’il sente bien mon excitation. « Pffff, je ne sens rien ! C’est tout ce dont tu es capable ? » Je cherche à lui relever les fesses, en profitant pour les caresser à travers son boxer. Mais à peine a-t-il senti que je voulais le redresser un peu, qu’il s’est mis de lui-même à quatre pattes. Je suis aux anges, je m’acharne sur son cul qu’il m’offre ouvertement en réclamant même que je lui montre de quoi je suis capable.
Après ce long moment de kiffe, j’entreprends moi-même de calmer le jeu et de redevenir plus doux puis je finis par le relâcher et on s’allonge l’un à côté de l’autre le temps de souffler un peu. Quelques minutes de repos et de discussion et il recommence à me provoquer et c’est à ce moment-là que j’ai compris quelque chose. Il en a grave envie de ce contact, mais ne pouvant pas me le demander ou me montrer clairement ses intentions, probablement par peur d’être confronté à un refus, il préfère me provoquer et me laisser commencer ce rapprochement. La question est maintenant : jusqu’où va-t-il me laisser aller ?
Face à ces nouvelles provocations, je me décide de lui répondre franchement : « Je suis capable de beaucoup de choses si tu me cherches, lol. » « Ben, vas-y, je suis bien curieux de voir ça si tu en es capable. » Et c’est donc à ce moment que je me suis positionné entre ses jambes que je lui ai relevé pour m’avancer au plus près, mon sexe se frottant une nouvelle fois contre son cul. Mais cette fois-ci, je ne veux pas être brutal. Je veux laisser place à la douceur et je compte bien oser aller le plus loin possible. Lui sur le dos, jambes relevées, moi au-dessus de lui, nos deux corps l’un contre l’autre, je peux sentir et écouter sa respiration s’accélérer au rythme de mes mouvements de bassin contre lui. Mes mains commencent à se balader sur sa peau puis à redescendre lentement sur ses fesses et son entrejambe. Je sens également ses mains me caresser le dos et me tirer vers lui. À chaque mouvement de sa part, je sens comme si ma queue allait perforer mon caleçon et le sien pour aller se loger bien au chaud en lui. Il en a envie, je le sens et ça me met bien plus en confiance pour continuer sur ma lancée.
Après quelques minutes à me frotter et se caresser, je me retire et je commence à m’occuper de son entrejambe. Je palpe d’abord son paquet. Son sexe est bien droit et dur. Il est bien excité. Je continue avec des caresses de haut en bas le long de sa tige à travers son boxer puis j’approche mon visage pour le frotter dessus, sentir et lécher le bout de sa tige encore dans son emballage en tissu. Puis je le libère pour sentir et toucher sa chaleur. Au moment où je l’ai senti presque à son excitation maximum, et sans qu’il s’y attende, je le prends en bouche et commence à le sucer longuement, mais en douceur. Puis de plus en plus vite avant de ralentir à nouveau. Des frissons lui traversent le corps. Même si on ne dit rien, le corps, lui, ne ment jamais.
Ensuite c’est son tour de me sucer. C’est très doux et agréable. Puis je l’ai fait rebasculer sur le dos et lui ai retiré son boxer, j’ai retiré le mien aussi et dans la même position qu’au début, c’est reparti pour une séance à frotter ma queue contre son cul, mais, cette fois-ci, nous sommes nus. Avec un peu de salive, j’humidifie son trou pour que ce soit plus agréable au contact de ma queue. Je le sens s’ouvrir légèrement. Un grand frisson d’excitation me traverse et me fait mouiller et humidifier son cul encore plus. Je sens une de ses mains attraper ma bite et la positionner devant l’entrée de son trou. Une fois en place, il attrape mes hanches et me tire vers lui pour que je m’introduise. Petit à petit je me sens glisser en lui, mais j’ai quand même senti qu’il n’a pas l’habitude, c’est pour cela que je le laisse gérer.
Je suis vraiment en lui, je suis excité comme jamais. Pour la 2ème fois, on couche ensemble. Après quelque temps, je me retire, libère ses jambes et je me mets au-dessus de lui. Frottant sa bite contre mes fesses, je sens son envie de me pénétrer. La sueur due à mon excitation, la mouille qui s’échappe de sa tige ainsi qu’un peu de salive suffisent pour me dilater et m’ouvrir doucement. À mon tour, je place donc son sexe à l’entrée de mon trou et je le sens exercer de légères pressions pour rentrer en moi. Ayant plus d’assurance, j’entreprends de le faire rentrer assez rapidement. Je le sens à nouveau frissonner de plaisir. Je me penche sur lui pour le laisser gérer la cadence. Je sens son souffle de très près. Même si on est dans le noir, les faibles lumières de nos appareils mis en veille suffisent pour échanger des regards. Des regards de plaisir. On ne parle pas, seuls nos corps communiquent et réagissent selon ce qu’on leur fait faire.
Après un long regard, nos visages sont si proches qu’à ce moment-là, le contact est imminent. Dans un même élan, nos deux bouches se rapprochent, et c’est comme ça que l’on échange notre premier baiser qui se change en pelle. On se roule des pelles pendant qu’il me pénètre. C’est le kiff intégral. Les mouvements de son sexe, la transpiration, mon excitation le font aller encore plus loin en moi. (Dieu merci, il n’y eut aucun problème à ce niveau-là)
Nous avons fini par changer de position. Comme notre première fois, je me retrouve sur le dos, les jambes relevées et je le laisse gérer comme il le veut. Des vas et viens plus ou moins forts, il ressort complètement pour y retourner d’un coup. Je sens quand même une certaine maitrise dans tout ça. Je ne pense pas être son premier. Soudain je le sens se crisper, il va bientôt venir. Je place mes mains sur ses hanches en rythme avec ses mouvements quand je ressens en moi un liquide chaud qui s’échappe. Il est en train de jouir en moi. Cette idée m’excite tellement qu’il ne me faut pas longtemps pour jouir aussi. C’était trop bon, on reste quelques minutes sur le lit sans rien dire puis comme pour notre première fois, une bonne douche l’un après l’autre avant d’aller au lit pour de bon. Nous avons mis très peu de temps avant de nous endormir, lui de son côté, moi du mien.
Je me demandais juste si on allait discuter de ça le lendemain. Est-ce qu’on s’est mis ensemble sans rien se dire, mais que c’est une évidence ou bien justes amants quand on est seuls et simples copains de classe quand on est en public ? Tout ce que j’espérais c’est qu’il ne me snobe pas dès l’instant où il franchirait le seuil de ma porte.
Le lendemain, on se réveille tranquillement, papouille et caresses dans le lit jusqu’à ce qu’on décide de se lever pour le petit-déj. Pas un mot sur la veille. Je préfère laisser comme ça, ne pas forcer les choses. Plus de contact pour le reste de la journée et, comme pour le weekend précédent, il est parti pour rentrer chez lui. Mais Dieu merci, on a continué à se parler par message. On s’est même reprogrammé d’autres weekends où l’on a pu s’amuser et profiter l’un de l’autre.
Avec plus de temps, on s’est essayé à faire d’autres choses. On a essayé plus de positions, par exemple debout, à quatre pattes, sur le côté, couché l’un sur l’autre, sur le ventre, des 69 ou de simples branlettes et fellations. Je me suis même essayé à faire des choses qu’à ce moment-là, je n’avais jamais osé faire. Au moment d’éjaculer quand je le suçais, il a voulu se retirer, mais je lui ai fait comprendre que je ne voulais pas qu’il ressorte. Il a tellement aimé me cracher dans la bouche qu’il en a lâché un gémissement alors que nous sommes par nature discrets tous les deux. À part des soupirs assez prononcés, aucun son n’était encore sorti lors de nos ébats.
Ceci a duré de longs mois. Mais jamais nous n’avons eu une réelle discussion sur ce qu’on faisait au lit. Jamais on ne parlait de sexe ou on demandait à l’autre s’il avait envie. Ce n’était que par codes et provocations jusqu’à passer à l’acte. Cela me suffisait et je trouvais ça aussi très excitant ce côté-là.
Malheureusement aujourd’hui, je n’ai plus aucun contact avec Lucas. Je ne sais pas pourquoi il a complètement cessé de me parler et nous avons choisi des orientations différentes. C’est dommage, mais c’est comme ça. Je n’oublierai jamais nos moments de sexe, car en commençant cette première année d’alternance, je n’aurais jamais cru que je finirais par coucher avec un copain de classe.
Et voilà pour cette 3eme partie.
Pour ce qui m’ont demandé et ceux qui se posent la question, ces 3 récits sont vrais à peu chose prêt. Certains passages ont été modifiés et raccourcis, mais c’est vrai à 98 %.
J’espère que ça vous a plu. Encore merci pour vos messages, ça m’a fait très plaisir et, qui sait, je partagerai peut-être d’autres histoires vraies, inventées ou fantasmes, nous le verrons bien lol.
À bientôt.
MM 95
MM95
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