Un dimanche matin d'automne, l'hiver n'est plus très loin mais le temps me permettait encore de porter des débardeur échancrés sous ma veste. Le samedi soir était un peu agitée, nous avions passés une bonne soirée avec mes quelques amis de Grenoble.
Découvrant la ville, j'aimerais découvrir les visages qui m'entourent grâce à une application.
Quelque message banales, des bites, des fesses et j'en passe, un simple 'salut' d'un trentenaire posant en selfie sur une plage avec des lunettes de soleil qui cache son regard comme photo de profil.
J'entame la discussion car son profil m'attire, un peu sec, brun, trentenaire, célibataire et me dit être 100% actif.
Depuis Thibault je n'avais pas retrouvé cette décadence sexuelle que j'avais ressenti à l'époque.
On échange quelque message et me demande si il veut que je le rencontre, j'accepte car comme un début d'hiver j'ai envie de m'envoyer en l'air.
Il m'explique où il habite, ce n'est pas à côté mais tant pis j'ai envie de faire plaisir à un homme.
Je m'aventure en bus, plusieurs arrêt après échirolles, je me demande si je ne fais pas une bêtise.
Trop tard, 45 min après j'arrive à la destination.
À peine sortie du bus il m'attend, avec un chien...
Il me salue, m'embrasse les joues, me présente son chien, un berger allemand très sociable.
Il porte une casquette, un pull gris et un jean, ne me parle quasiment pas et avance dans la rue vide.
Il ouvre une porte d'un bâtiment à 200 mètres, je le suis, toujours silencieux, je commence à me demander si je ne devrais pas faire demi tour.
Il ouvre la porte de chez lui et me demande si je veux boire un café et fumer une cigarette, j'accepte enlève mon blouson, il enlève ses chaussures, je remarque qu'il ne porte pas de chaussettes.
Nous nous installons dans un clic clac canapé rouge, pas très confortable. Je sors une cigarette, de ma veste l'allume et tire une latte, je lui demande comment il s'appelle, me répond très brièvement mais je n'ai pas compris la réponse, je réponds juste "ah d'accord"
Je tire une troisième latte, il m'observe.
Au moment où je recrache la fumée, il tire légèrement mon débardeur pour laisser sortir mon tétons, s'empresse de le bouffer.
Très rapidement il me déshabille en continuant de croquer mes tétons, je me laisse faire, j'aime ça.
Il n'hésite pas à cracher sur ses doigts pour me doigter en même temps.
Cela était très brève, il se leva, enleva son pantalon, je constate qu'il ne porte pas de caleçon, m'attrape la tête et m'enfonça son énorme pénis dans la bouche "vasy suce"
je fais ce que je peux, car, plus il bande, plus j'ai du mal à ouvrir la bouche, elle est trop grosse. "suce je te dis"
il crache une seconde fois dans sa main, me tire la nuque en avant pour que je sois à 4 pattes devant lui. M'enfonçant 3 doigts, je commence à gémir, il continue.
"Vasy mets toi à 4 pattes"
Il me retourne contre la clic- clac, il me mets à 4 pattes "faut que je te baise"
Je n'ai pas eu le temps de dire un mot que je sens une énorme douleur au niveau des fesses "aaah"
"détend toi, stp"
il m'encule sec en crachant directement sur son pénis "putain tes beau quand même, je vais bien de défoncer"
en me tirant les cheveux pour que mon corps soit bien cambré. "c'est bon tu l'a sent"
Je cria tellement fort que son chien s'est approché de mon moi pour aboyer. J'avais peur qu'il me saute dessus mais grâce à lui j'ai eu le droit à un temps de pause.
"Vasy saute sur moi" il s'allongea sur le dos et me demande de le chevaucher, "comme ça" je m'empale sur sa bite en gémissant, "va plus vite, saute"
il s'arrête, me regarde, "tes pas une vraie salope c'est dommage"
il prit mes jambes, m'allongea sur le dos, écarta mes jambes et enfonça son pénis d'un coup.
J'arrête pas de gémir, il m'annonce qu'il veut jouir "je vais te foutre en cloque"
"suce moi les tétons" il me suça le bout du téton avant de donner plusieurs coups de collier, je senti son fluide chaud sortir de sa bite, tapissant le moindre recoin de mon cul. La meilleure sensation que je n'avais jamais ressenti, il poussa un petit cri viril avant de se retirer.
"J'ai rien pour que tu t'essuie désolé"
Nu sur son canapé, il se leva et s'habilla "j'ai envie de poulet"
j'ai pris un petit temps allongé à me rendre compte de ce qu'il s'était passé, rentrant chez moi avec une bonne dose de sperme coincé entre les fesses.
Jimichaud
indikasaativa@gmail.com
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