Thibault avait 24 ans, j’en avais 8 de moins.
Cette époque là les réseaux sociaux n’existant pas vraiment. Nous échangions sur une page web très populaire à l’époque.
Il avait les cheveux longs, il était pas forcément beau mais mon attachement était trop fort.
Il aimait le skateboard, le surf et me faisait rêver quand il me parlait de ça.
Notre âge nous importait pas vraiment, il disait que j’avais des yeux de biche, qui le faisait voyager, ma peau ébène le fascinait.
On s’est vu plusieurs fois, dans un parc, dans un café.
Le feeling passait bien, on se tenait la main jusqu’à la gare avant qu’il rentre chez lui.
Mon cœur se serrait à chaque fois qu’il partait.
Je pensais que c’était l’amour, mais il s’agissait du désir.
J’avais envie de lui, mais je ne savais pas comment m’y prendre.
Plusieurs messages plus tard, on en conclu que je suis prêt. Prêt à perdre ma virginité avec lui, je voulais lui donner. Comme un cadeau.
Thibault était réjouis que je me livre à lui, qu’on soit un peu plus intime. je pensais avoir un peu d’importance à ses yeux.
Quand on est jeune avec quelque kilos en trop, on s’attend pas aux regards des autres.
C’était un 14 juillet, il faisait chaud.
Nous avions décidé de nous voir le soir, écouter quelque concerts.
J’étais très nerveux, tellement nerveux que j’avais pris plusieurs douche dans la même journée pour ne pas avoir d’odeur en particulier.
J’avais appliqué une crème qui rendait ma peau tellement douce et soyeuse qu’il allait sûrement craqué.
J’avais enfilé un short un peu court, un t shirt un peu trop serré qui me donnait l’air d’être compressé, comme si mon corps dessinait une petite poitrine féminine naissante.
19h00 passé, j’étais a la gare ferroviaire, son train était un peu en retard ce qui me rendait encore plus nerveux.
De loin je le voyais descendre de son train, il avait un polo vert un peu serré qui lui donnait un petit charme de garçon sec et grand, ses cheveux détachés étaient blond au soleil. Plus il s’approchait de moi, plus mon cœur battait vite.
On s’embrassât furtivement d’une joue à l’autre, il souriat.
« Viens j’ai quelque chose à te montrer. » me dit-il.
« Mais les concerts vont bientôt commencer » répliqua-je.
« T’inquiète pas on a toute la nuit »
Il m’indiqua une montée un peu éloigné du centre-ville à côté de la gare. Connaissant bien la ville, je n’étais jamais aller ici avant.
« Une fois un gars m’a emmené ici » il m’expliqua.
Nous montions doucement en papotant de nos journée, nos études.
Un champs immense apparu en haut de cette montée « viens on le traverse »
Une forêt était apparente au loin.
La chaleur était estival, le soleil commençait à ce coucher , mon cœur palpitant pas après pas.
Nous traversons un petit grillage, mon short s’accrocha dessus et se déchirera un tout petit peu au niveau des fesses.
Il rigola, le réconforta en posant sa main sur mon short troué « t’as déjà commencé le boulot »
Un immense chêne était à sa droite. Il décida de s’y asseoir au pied, en enlevant son t shirt.
Je ne savais pas quoi faire, mon cerveau était sur off mais mon corps se laissa guider.
J’écarta les jambes et m’installa sur lui, ses mains posé sur mes fesses, il commença à remonter tout doucement mon t shirt pour voir mon torse « t’es seins sont splendides » s’exclame t-il.
Il commença à me lécher le bout du tétons avec sa langue, tout doucement. Je n’avais jamais ressenti cette sensation avant, j’étais tout excité.
Il tenait l’un de mes tétons fermement dans la main, et lécha allègrement l’autre. « J’ai envie de toi »
Je lui ai répondu « moi aussi timidement » il commençait à mettre une main dans mon short, contemplant mes fesses et continuait à lécher mes tétons du bout de sa langue.
« Tu veux que je te doigte »
Je ne savais pas quoi répondre alors il me laissa pas le choix.
Il enfonça son index suivi de son annulaire sans trop attendre, gigotant les deux en même temps. Je leva les yeux en l’air, regardant le soleil entre les arbres se coucher.
Je découvrais le plaisir anal.
« T’aime quand je te doigtes ? »
Il enfonça un peu plus ses doigts et ajouta un troisième doigts.
Je recula d’un coup, c’était peut être trop pour moi.
Il rigola « je suis obligé, t’es serré, j’ai peur de te faire mal » Sa langue léchait toujours mon tétons, je décidais enfin de retirer mon t shirt.
Je sentis une bosse bien dur sur laquelle j’étais assis.
« T’as envie de la voir »
Il retira son short et me laissa touché sa queue sous son caleçon freegun.
Je le retira et je vis un énorme pénis, blanc non circoncis. Très large.
« Tu me suce? »
« Je ne sais pas faire »
« Je vais t’apprendre »
Il me demanda de me mettre à genou, il se leva. M’écarte la bouche avec ses doigts et rentra sa queue dans ma bouche.
Il enfonça tellement loin sa queue que je sentais le fond de ma gorge se dilater.
J’essayais de le repousser mais il enfonça encore plus loin.
« On essayera une autre fois, t’es pas prêt »
Je le sentais un peu déçu car il aime ça, être sucé.
« T’as qu’à te mettre à 4 pattes »
Il m’enleva mon short.
« Cambre toi, non pas comme ça »
Il me tira les jambes en arrière. Mon cul était bien en l’air. À sa disposition, je senti quelque chose forcé doucement.
Je me cambras encore plus car je sentis une douleur inexplicable.
« Haaan je suis dedans »
J’essayais de prendre appuie contre le chêne devant moi mais je n’y arrivais pas. Je gémissais de plus en plus fort et aigus.
« Cambre toi »
Il tenait mon t shirt pour bien me tenir à sa disposition.
« Han, Att.. »
Il enfonça une seconde fois encore plus loin. Un filet de bave sorti de la bouche sans que je ne puisse le retenir.
Il enfonça encore une fois plus fort, je perdis l’équilibre, la tête dans la terre « vas-y reste comme ça j’adore »
Je criais un peu plus fort après chaque va et viens.
Il m’attrapa les cheveux et me demandait de me remettre à quatre patte. « Je vais venir »
La cadence était de plus en plus rapide, j’avais du mal a reprendre mon souffle, je gémissais juste.
Il poussa un cri très discret, au moment où je senti quelque chose d’extrêmement chaud et agréable au fond de moi.
Au moment où il se retira mon corps entier s’allongea dans la terre sec.
« T’inquiète je suis save »
Il repris ses affaire et s’habilla, « je dois prendre mon train. »
Il m’embrassa la fesse. « Je repasse pour te la mettre, ton cul est bien, il est chaud »
Jimichaud
indikasaativa@gmail.com
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