Premier épisode
Chapitre 2
Bonjour à tous,
Avec ma bonne salope, on s’amuse à faire des petits scénario pour pimenter nos baises ;) Le scénario est donc fictif (les prénoms aussi) mais la baise et nos comportements strictement authentiques. Le premier scenar a l'air d'avoir bien plus quand je vois les retour (dont certains qui aimeraient clairement être la place de cette bonne salope), hésitez pas à me faire des retours, on apprécie :)
Enjoy !
C’est dur d’avoir une libido élevée, qui plus est quand vous êtes bien doté par la nature. Il n’y a pas 36 solutions : ou vous baisez la première salope à votre disposition, ou vous vous contenter de votre main. Sauf que pour ma part, j’ai arrêté de me branler il y a longtemps…
Moi c’est Thomas, 25 ans, 1m98 (qu’est-ce que ça peut exciter les gens), sportif brun, plutôt mince mais quelques belles traces autour des pecs :). Niveau sexe, à en croire le nombre de personnes qui voient ma bite la première fois, je vais la décrire du premier mot qu’ils utilisent à chaque fois « PUTAIN ! ». En même temps, 22cm*6 j’ai compris après quelques temps que c’est pas donné à tout le monde. Je suis bi, aussi bien à l’aise dans une chatte que dans un cul.
Ça fait plusieurs mois que je me tape une nana régulièrement. Une bonne beurette de 22ans, un cul bien bombé, une chatte bien serrée comme j’aime. Ajoutez à ça des seins qui remplissent les mains et une belle gueule et vous imaginez à quel point j’apprécie nos baises. Elle adore se comporter comme une salope et se faire bien baiser à fond. Rien de sérieux, comme convenu au départ, rien que du fun pour tous les 2. Parfois on sort en bar, ça change un peu après plusieurs mois de confinement. Et finir par une bonne baise, c’est toujours excellent !
Et un soir, il y eu un évènement mémorable
Je suis au travail, journée assez longue à vrai dire, quand je reçois un message de cette nana.
« Thomas, café ce soir ? » (notre code pour dire : « j’ai envie de me faire défoncer »)
« Hum oui avec plaisir, quelle heure ? Même bar que d’habitude ;;) ?»
« Super ! Non, à la place on ira dans mon nouveau chez-moi, il faut bien le baptiser. »
Tu m’étonnes qu’on va bien le baptiser dans toute les pièces
« Ok super, envoie l’adresse. 19h c’est bon pour toi ? »
« Parfait, j’ai hâte. Soit pas en retard par contre, j’héberge mon frère pour une semaine il arrivera vers 20h »
« 1 heure seulement pour boire le café ? C’est un peu limite ;) sinon propose à ton frère aussi ahah»
« Haha t’es bête, je sais que tu en es capable ! »
Autant vous dire que j’avais une gaule terrible le reste de la journée, et 22cm dans un pantalon ça se voit. Pas le temps de rentrer chez moi, je pars direct après le taff
19h pile je suis à l’adresse. Une belle petite maison mitoyenne dans une rue tranquille près des transports en commun. Idéal pour venir ! J’aime avoir mes plans culs pas loin de chez moi. Heureusement qu’elle m’a envoyé les codes, c’est terrible le nombre de digicodes possibles dans ces logements. Je bande tellement dur quand je sonne à la porte, j’ai tellement envie de lui sauter dessus et de la baiser violemment dans toutes les pièces de son nouveau logement.
Imaginer ma surprise quand la porte s’ouvre et que… ce n’est pas elle derrière la porte, mais un mec. Un arabe bien mignon d’ailleurs. Ma bite n’a même pas débandé à la vue de ce mec.
« Euh bonjour ! C’est ici que vit Alice (la nana) ? »
« Bonjour, oui c’est ma sœur, elle m’avait prévenu qu’elle avait invité un ami. Je ne vais pas vous laisser dehors, rentrez »
Donc c’est lui son frère, bah putain ils sont canons dans la famille.
Je laisse mes chaussures et mon manteau à l’entrée et le suis jusque dans un petit salon avec seulement un tapis et un petit fauteuil. En même temps, elle vient d’emménager, elle n’a pas encore eu le temps de tout aménager. Je m’assoie dans le seul fauteuil pendant qu’il me propose quelque chose à boire.
Il revient avec 2 verres d’eau et s’assois par terre, je lui propose le fauteuil mais il préfère rester par terre. Comme il veux ! J’ai passé mon temps à le scruter de haut en bas. Pas très grand, un teint mat arabe très sexy, petite barbe rasé, mince mais surtout un cul… Le même cul que la nana que j’étais sensé venir baiser sur chaque surface de cet appart ! Je cache mon érection trop visible en déposant mon bras entier le long de mon entrejambe. Il est vraiment canon son frère.
On discute de banalité pendant un moment. J’apprends qu’il s’appelle Hachem, 25 ans aussi et qu’il bosse pas très loin de chez sa sœur. Il squatte un moment le temps de se trouver un appart. Il est vraiment sympa, et j’ai l’impression qu’il me matte. Ces petits sourires en coin et sa façon de se tortiller sur lui-même à certains moments… Je me demande si… ça fait que 10min que je connais ce mec mais autant demander directement :
« Hachem, je peux te demander quelque chose ? »
« Ouai bien sûr »
« Tu es homo ? »
Un peu surpris par la question, il me répond un peu dépité
« Euh oui je suis homo, j’aime les hommes. Ça te pose un problème ? »
« Nan pas du tout, je suis très ouvert mais je me demandais c’est tout. T’es mignon en plus, t’as un copain ? »
Il rougit un peu « Merci c’est gentil, nan je n’ai pas de copain pour le moment »
« T’inquiète ça vas et ça vient »
On rigole bien
Je reçois un message d’Alice qui me préviens qu’elle a eu un empêchement au taff et qu’elle ne pourra rentrer avant très tard ce soir. Autant dire que je vais finir avec une grosse béquille pour rentrer. Je suis dég… Je bande depuis plusieurs heures sans discontinuer, j’avais envie de déboiter une chatte à fond et là je dois rentrer chez moi sans me vider.
« ça va ? » me demande Hachem
« Ta sœur a du boulot, elle m’a dit qu’elle arrivera pas tout de…. »
Je me suis arrêté de parler, surpris parce que je viens de voir. Hachem cherchait un truc dans une petite commode à ma gauche. Mais cette vue ! Il est à 4 pattes à chercher je-ne-sais quoi dans son meuble mais je m’en fous ! Ce que je vois, c’est ce cul ! Un cul bombé à la perfection, moulé dans un jean bleu comme deux gros melon !! C’est déjà un spectacle énorme, mais ce qui est encore meilleur, c’est que son jean super serré et son T-shirt moulant laisse voir le bas de son dos et le début d’un jockstrap blanc ! Le voir bouger son cul comme ça à 4 pattes, s’en est presque douloureux pour mon érection là !
Il se retourne, je cache vite mon érection mais déjà j’ai envie de revoir ce que cache ce jean moulant.
« Elle n’arrivera pas de suite elle m’a dit, qu’est-ce que tu cherchais là-bas ? »
Se retourne encore à 4 pattes « Je cherchais une bougie pour mettre sur la table mais je ne la trouve pas, je vais regarder mais t’inquiète je t’écoute »
Là, je me dis : ce n’est pas possible ! Putain, je revois son cul se tendre dans son jean, son jockstrap blanc clairement visible maintenant. Il est tellement cambré, comme quand je baise sa sœur à fond contre un meuble. Un cul comme ça, c’est une incitation au viol ! Il veut que je déboite c’est sûr !
Je me lève, me positionne debout au-dessus de son cul, j’aperçois presque le début de son trou et croyez-moi, vous auriez juté rien qu’à voir cette vue.
« Hachem, c’est quand la dernière fois que t’ai baisé ? »
*Rit* « Euh, ça doit faire 3 semaines je crois, pourquoi ? »
3 semaines, il est aussi en manque de bite que moi de cul.
Je lui mets direct une main au cul, puis la deuxième. Putain quel cul ! Bien ferme, doux, j’étends la paume de mes mains sur ces 2 grosses fesses. Je kiffe sentir la sensation du jean et de ce cul ! C’est trop bon. Il frémit
« Tu fais quoi là !? Arrête ! »
« Ta gueule ! ça se voit que t’es manque de queue et que t’as envie de moi, regarde comment tu cambre ton cul ! »
Je lui baise le peu de jean qui protège son jockstrap et son trou, et maintenant apparaît un trou bien lisse enchainé dans un jockstrap blanc et bleu, serrant 2 grosses fesses lisses. Je crache sur son trou et commence à lui frotter son trou de mes doigts. Il relève son torse et essaye de se tourner
« Mais arrête, qu’est ce qui te prend ?! »
« Je sais reconnaître une salope qui a envie de queue et toi t’en es une ! »
Il continue de se débattre jusqu’à ce que je lui enfonce un doigt dans son fondement. Il ne peut retenir un gémissement, sentant mon doigt lui titiller ses anneaux anaux. Un deuxième doigt suit facilement le premier. Son trou est déjà bien ouvert de mes 2 doigts, bien élastique et lisse comme je les aiment. Ça va être un plaisir d’y fourrer ma queue ! Il continue de se débattre vainement, mais clairement pas assez fort pour espérer sortir de mon étreinte. Je le bâillonne de mon autre main et entreprend un petit doigtage dans les règles : je le force à cambrer encore son cul de la main qui le bâillonne pendant que je fouille son trou de mon autre main. Il mouille déjà et gémit ! Quelle salope ! Il a beau me supplier d’arrêter, ça ne change rien à mon envie de me vider dans cette salope. Mais avant, je veux voir cette belle petite gueule déformée par mon chibre
Je me lève et le retourne à 4 pattes la bouche face à la bosse qui déforme mon pantalon. Il est choqué de cette bosse et je crois qu’il vient de comprendre ce qui va se passer ensuite. Ces petits yeux suppliants sur son visage sexy me donnent encore plus envie de le déboiter à fond. S’il pensait m’attendrir en faisant ça, il se trompe. Ça a totalement l’effet inverse.
« Arrête steuplait… »
« Les salopes dans ton genre ça aime être dominé par une grosse queue, alors maintenant tu vas faire ton taff ! »
Je plaque son visage contre la bosse de mon pantalon et instantanément il ouvre la bouche et passe sa langue contre cette bosse. Quand je vous dis que je sais reconnaître une salope en manque… La vue est juste superbe : un bg qui vous palpe la queue avec sa langue, à 4 pattes, cul nu bien cambré, que demander de plus ? Qu’il vous suce la bite bien sûr !
Je défais la braguette de mon pantalon, dévoilant mon boxer, révélant encore plus la bosse de mon membre bien bandé, puis le libère. Tellement serré dans mon boxer depuis maintenant plusieurs heures, il finit directement contre le visage de cette lope, surprise de cette bifle. Ma queue recouvre son visage apeuré, ces yeux braqués sur ma grosse bite. J’adore ce regard qui transpire le sexe et la peur, sa langue est toujours sortie contre ma queue. Il n’a même pas pris la peine de la rentrer, ce sera plus facile pour moi pour la prochaine étape.
« Regarde comment tu kiffe ça, petite pute ! J’étais venu me vider dans ta chienne de sœur, mais maintenant si le frère est aussi lope, tu vas la remplacer ! »
Il a commencé à protester de nouveau, mais cela a été vite réglé en plantant ma bite directement dans sa bouche. Enfin, ma bite est maintenant dans une bonne bouche bien chaude et humide ! Ce petit salop a une des meilleures bouches dans laquelle j’ai pu fourrer ma queue. Il n’y a que mon gland et quelques centimètres mais il est déjà en difficulté pour l’encaisser, ces lèvres entourent l’ensemble de ma queue. Il essaye de se débattre mais en vain : ma main tient fermement sa tête pour empêcher tout mouvement de recul de sa part. On entend que des gémissements dans la pièce : les miens, virils qui apprécie ce fourrage de bouche et les siens, des petits gémissements de douleur mêlés au plaisir de se faire autant écarter la bouche.
J’entreprends de lui baiser la bouche pour le calmer de suite. Des bons mouvements de reins dans sa bouche le fait saliver abondamment. Ma queue est couverte de sa bave, il suce avec difficulté la moitié de ma queue en me regardant, des larmes dans les yeux suppliant de lui laisser du répit.
« Hmmm c’est trop bon ma salope ! Elle te plaît cette grosse queue ?! »
« Mmghgmgfh !! » Incapable de me répondre la bouche entièrement pleine.
« Je prends ça pour un oui »
Je continue de lui baiser la bouche, faisant rentrer de plus en plus de centimètres de ma queue au fond de sa bouche de plus en plus vite. J’ai presque l’impression de baiser un cul. Je sens qu’il a des hauts le cœur mais il encaisse bien et ne débat plus. Il préfère se concentrer sur cette bite. C’est le moment que je décide pour lui planter ma bite entièrement au fond de la gorge.
« Allez ma salope, tu la prends en entier maintenant ! »
Je pousse ma bite directement, sans m’arreter, au fond de cette gorge si accueillante. Je vois cette lope fermer les yeux et lutter pour encaisser cette queue. Et c’est quand je sens ces lèvres contre mes couilles que j’atteins l’extase : une gorge bien profonde réussie. C’est tellement bon de sentir sa queue en entier dans une gorge chaude, humide, serré. Très peu de personne ont réussi à prendre ma bite en entier dans sa gorge. En même temps, 22cm*6 ce n’est pas facile à encaisser dans un cul, alors dans une gorge… Un haut le cœur de ma salope m’oblige à interrompre cette sensation. Ma bite ressort de cette gorge couverte de salive, de long filet de baves connectent ma bite et la gorge de cette petite lope qui tousse et reprend difficilement son souffle. Je lui replante de suite ma bite dans sa gorge pour ressentir de nouveau cette sensation, mais seulement les ¾ de ma bite arrivent à rentrer facilement maintenant dans cet orifice. Quelques insultes supplémentaires et de bonnes biffles finissent de couvrir son visage de sa propre salive et de mon présperme. Je continue de baiser sa bouche profondément mais comprend que ma salope commence à vraiment avoir du mal à encaisser. Pas grave, il y a un autre trou…
Retirant ma queue de sa gorge, je me penche pour dire à l’oreille de cette salope :
« Très bonne ta bouche, maintenant il est temps que je m’occupe de ton autre trou »
*Respire bruyamment* « Nan steuplait arrête c’est trop gros, promis je ne dirais rien… »
« Je crois que t’as pas compris, je m’en fout de ton avis je veux te baiser et je te baiserai »
Je lui plante direct 2 doigts dans son trou, lui arrachant un fort gémissement de surprise. J’entreprends de le doigter violemment pour qu’il comprenne sa place de chienne. Il gémit bruyamment. Alors que je me positionne derrière lui pour rapprocher ma bite dure de son trou, il se relève rapidement et commence à courir vers une pièce. J’ai essayé de le retenir par le bras mais sa mouille que j’avais sur les doigts m’a empêché de bien l’attraper.
Je me relève d’un bon et le suis jusque dans cette pièce, qui se trouve être une chambre ! Enfin bon, il y a un matelas par terre c’est tout, on voit que y a encore beaucoup à aménager encore. Je le plaque contre le mur en le bâillonnant de ma main mais il se débat. Il a vraiment peur d’avoir ma queue au fond de son trou !
Pour mieux le maitriser, je le bascule à plat ventre sur le matelas. Ma queue à trouver sa place dans sa raie, entre ces 2 grosses fesses. Je me demande si le gros « HMHMMHMFF » qu’il faisait était une supplication de ne pas se faire baiser ou la surprise de sentir mon membre entre ces fesses. Je positionne mon gland contre son trou bien trempé de ma salive et de sa mouille mais impossible de le pénétrer, il se débat trop. Je lui bloque la nuque de mon bras et ces jambes avec mes genoux, et pose mon gland sur son trou avant d’appliquer un bon coup de rein. Il hurle de douleur, je suis obligé de le bâillonner de ma main pour ne pas rameuter tous les voisins. Maintenant que je suis bien en position, je peux faire coulisser ma queue doucement en entier dans son fondement. Son trou est absolument divin, lisse et serré comme j’aime. Je l’entends gémir de douleur alors que ma queue avance de plus en plus dans son fondement.
« Hmm ton trou de pute est vraiment trop bon, t’es une bonne salope toi je vais te la mettre jusqu’au couilles ! »
Encore quelques centimètres pour sentir mes couilles contre son cul. Il n’a pas fini de gémir mais il a totalement arrêté de se débattre. Aurait-il enfin compris que j’aurais son cul quoi qu’il en coûte ?
« Steuplait arrête j’ai trop mal » sanglote-il
Je lui tourne sa tête et le regarde droit dans ses yeux marrons pleins de larme avant de planter le reste de ma queue dans son cul, sentant enfin mes couilles contre ses grosses fesses. Il reste bouche bée, encaissant la totalité de mon membre élargissant son anus. Je lui bâillonne cette fois-ci la bouche en l’embrassant profondément. Un baiser qu’il me rend, je sens sa langue chercher la mienne. C’est gagné ! Je décolle ma bouche de la sienne, et lui crache sur le visage qu’il comprenne maintenant sa place de soumis, mon soumis.
Un deuxième coup de rein violent fini d’élargir parfaitement le passage pour ma queue, mes couilles pleines de jus sont maintenant fermement plaquées contre ces fesses. Je l’enserre de mes bras et commence un va et viens violent, résultant de mes jours d’abstinence et l’excitation d’avoir un trou si bon à déboiter pour me vider moi et moi seul. Il gémit fort, un mélange de douleur et de bonheur, clairement en manque. Mon bas ventre claque contre son cul à une vitesse qui moi-même m’étonne. Je déboite littéralement ce cul comme si ma vie en dépendait, comme un animal qui doit répandre sa semence dans sa femelle. Je vois ma bite sortir et rentrer en entier dans ce cul, je sens la moindre paroi annale de cette femelle que je défonce profondément. Ma queue frappe violemment sa prostate, ce qui le fait encore plus hurler de plaisir. Ces yeux ne regardent plus rien, mais montre tout l’envie et le bonheur que ma bite procure à cette salope. Je plaque mes mains sur le bas de son dos pour faire encore bien ressortir son cul et en profite pour fesser ce cul qui m’a tellement excité. C’est trop bon de se défouler là-dedans !!
Après 10 bonnes minutes de ce traitement, je le relève un peu pour passer à une levrette aussi violente. Voir son anus élargit de ma grosse queue me rend fou, et ne diminue en rien mon érection et les coups de boutoir que je lui inflige. Il ne peut que subir mes assauts violents mais, n’arrivant pas à se tenir à 4 pattes, il reste le cul en l’air et la tête plaqué contre le matelas, retenant ces cris de plaisir dans un gémissement plaintif étouffé par les draps. Je ne vois donc qu’un cul que je baise à fond, au plus profond de ce trou.
Je le sens défaillir plusieurs fois, mais seul mon plaisir compte à cet instant. Je décide de le retourner pour le défoncer en missionnaire. J’adore voir le visage de la personne que je baise : les expressions faciales reflètent tellement bien la qualité d’une bonne défonce bien faîtes. Rentrer ma queue dans son trou est maintenant un jeu maintenant que j’ai bien préparer le passage avant. Je le vois les yeux fermés, gémir de bonheur sous mes coups de butoirs.
« Grosse salope, t’as un super cul, j’adore te défoncer le trou ! Prend ça, prend ma bite au fond !! »
« OoOuiii, va-y, va-y, défonce moi je suis ta pute ! »
« Ouai t’as bien compris ta place salope, encaisse grosse pute !! »
Son anus n’oppose aucune résistance, je sais pas s’il pourra remarcher facilement mais qu’il encaisse bien cette pute ! Je l’ai tellement rendu accro qu’il me lèche le torse, le cou et le visage pendant que je termine de pilonner son trou. Je sens que ça vient, que je vais bientôt expulser tout le jus de mes couilles dans cette salope. Mais je veux faire encore mieux : bien lui faire comprendre qu’il est à moi.
Après un dernier coup de rein bien placé, je me retire, l’attrape par le coup et le met à 4 pattes. Quelques bonnes bifles le fond sortir de la transe de la baise. Je me branle violemment ma queue plaquée contre son visage et sa bouche ouverte.
« Je vais te marquer ma salope, je vais te marquer de mon jus, Putain ça vient ouvre ta gueule de pute !... »
A peine a-t-il eu le temps de tirer la langue que ma queue expulse un premier gros jet de sperme sur la longueur de son visage. Surpris, je vois ma lope fermer les yeux mais continuer de tirer la langue pour recevoir les autres jet de sperme qui sortent de ma queue restée dure. Un autre jet recouvre ces yeux, le suivant le visage, encore le visage et les autres recouvrent sa langue et sa bouche. Jamais je n’avais éjaculé autant, au moins 12 jets sont sortis de ma queue et ont entièrement recouvert le visage de cette petite lope. Elle est maintenant souillée de mon jus, collante mais je vois derrière son essoufflement un sourire de satisfaction, la satisfaction de s’être fait baisé comme une pute et d’avoir kiffé.
Je me suis enfin vidé les couilles comme j’avais envie depuis si longtemps. Je félicite la pute avec une bonne bifle
« Putain t’as été une bonne pute, je vais maintenant avoir 2 putes à dispo sous le même toi c’est génial. Quand l’une n’est pas là, je pourrais baiser l’autre »
Il n’arrive toujours pas à réaliser ce qu’il s’est pris dans les 2 trous, ni la dose de jus qui recouvre son joli visage.
« A la prochaine, ma salope n°1 !»
Frenchyy
freshmint2327@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Un bi dominateur