Pour ma première histoire, je vais commencer par le commencement, et vous raconter ma première fois. Bien évidemment, c'est une histoire vraie !
J'étais un jeune lycéen, les cours me déprimaient et le temps pourri qu'on avait en novembre n'aidait pas. J'avais faim, très faim. Je passais plus de temps sur la fameuse application jaune et noire que devant mon cahier de maths. 3 ans que je n'attendais qu'une chose : me faire défoncer. Ça faisait longtemps que tous mes proches savaient que j'étais gay, mais je n'avais encore jamais rencontré quelqu'un. Pas évident dans la région paumée où j'habite.
Et un soir, je tombe sur le profil de ce mec : Malik (prénom fictif). Malik était un beau rebeu de 24 ans, plus grand que moi et surtout beaucoup plus musclé. Il devait faire 1,80m pour 75kg. Moi j'en faisais 1,75 pour 60kg, autant vous dire que je n'étais pas bien imposant, j'étais assez mince, le profil type d'une bonne zoulette. Blanc comme un cul et des cheveux blonds vénitiens assez longs, avec des yeux aux reflets ambrés. Lui, avait des gros pecs bien dessinés, des bras bien gonflés et un sixpack massif recouvert de quelques poils noirs. Il avait des cheveux noirs frisés mi-longs, une barbe de 3 jours avec des bonnes lèvres de marocain, et un regard de braise. On commence à parler, son français était bancale, mais il arrivait quand même à me faire comprendre que c'était lui qui dominait, et que j'étais son type de pédale. Au bout d'un moment, il m'envoie des photos de lui avec ses "trophés", toutes les bonnes putes, tout juste majeures, qu'il a baisé. Minces et bien blanches, avec de longs cheveux blonds pour la plupart. Le mec avait un bodycount phénoménal, et j'étais le prochain ! J'étais séduit, il était beau et charismatique, et il savait comment s'occuper des minets comme moi. Bref, Malik était le mec parfait ! Il m'expliquait qu'il était en collocation à B**************, une ville assez loin de chez moi, mais accessible en train depuis la ville de mon lycée. Malik recevait régulièrement chez lui, son colloc était habitué mdr. Il me dit qu'il a giga envie de moi et qu'il est dispo toute la semaine qui suit. Je regarde mon emploi du temps, et mon cours de physique-chimie du vendredi matin, qui était le seul cours que j'avais cette journée-là avec une heure d'histoire-géo en fin d'après-midi, était annulé. J'étais donc libre de 8h à 17h ! C'était décidé, ce jour là, je serai la nouvelle pute de Malik !
Ce fut la semaine la plus longue de ma vie, mais enfin, il était vendredi matin. J'arrive à la gare de C******************, ville de mon lycée. J'avais 5 minutes de correspondance avec le train de B**************, je me dépêche de monter à bord, pas le temps de prendre un billet, de toute façon j'ai l'habitude de frauder, et je n'avais pas d'argent sur moi. J'arrive juste à temps, je monte dans le train et les portes se ferment. Le train n'a même pas démarré qu'un contrôleur débarque. Pas le temps de me planquer dans les toilettes, il m'interpelle. Évidemment, j'ai droit à une grosse amende et il me demande en plus de descendre au prochain arrêt cet enfoiré. Je descends donc au premier arrêt, N**********, alors que B************** était le troisième. Problème, le prochain train arrivait dans 2 heures, j'avais toujours pas d'argent pour acheter un billet, et il faisait 2°C. J'appelle Malik et lui explique la situation. À ma grande surprise, il me dit qu'il vient me voir en vélo pour me donner de l'argent. Alors j'attends et 1 heure plus je le vois enfin arriver, et il était encore plus beau en vrai ! Il avait un ensemble de jogging rouge, un peu moulant, le même que sur toutes ses photos. Il laisse tomber son vélo et me prends dans ses bras et me cale contre son torse dur. C'était comme un câlin pour me réchauffer, il était bouillant et trempé, c'était incroyable ! Il commence déjà à me tâter et me mettre la main aux fesses, et vu son expression, il avait l'air d'aimer. Son regard était très clair, il disait : "Tu es à moi maintenant !". Il commande nos billets mais on avait encore 1 heure à attendre. Il a l'air de vouloir prendre soin de moi et de me faire plaisir, alors il m'emmène au chaud dans un café et m'achète de quoi manger et boire. Pendant que je mangeais mon croissant, lui me dévorait des yeux, je rougissait... Enfin, il est temps de retourner à la gare. On rentre avec son vélo dans l'ascenseur, et dès que la porte se ferme, il se rue sur moi, m'attrape les fesses, et me roule une pelle avec sa grosse langue chaude, qui dura et dura. On monte dans le train, et 10 minutes plus tard, on est arrivé.
Devant la gare, Malik aperçoit un pote à lui, alors il me bouscule, me crache dessus en disant : "Sale pd ! Va te faire enculer !". Il s'en va rejoindre son pote, et ils partent en discutant. Je reçois un message, où il me donne son adresse et qu'il explique qu'il ne veut pas qu'on le voit traîner avec une pédale. Ça se verrai donc tant que ça que je suis une zoulette ? Je m'exécute et sur le chemin, je le retrouve seul. Alors on marche à deux jusqu'à son appart, un vrai taudis. Dans sa chambre, un lit et une poubelle, qui débordait de mouchoirs. Il me pousse à l'intérieur. Ferme la porte brutalement, et m'ordonne de me déshabiller. Il en fait de même, alors je découvre son corps pour de vrai, et il est splendide. Je lui tâte les pecs et les cuisses, et je devine la taille de son engin à travers son boxer. Je tente de lui toucher les fesses mais il m'en empêche et me gifle. J'avais pas le droit. Malik m'attrape le bras et m'emmène dans son lit. Il me dit de me reposer. On se met en cuillère, avec lui qui m'encercle. Je pouvais sentir ses pecs dans mon dos, sa respiration dans la nuque, et surtout sa queue qui grossissait contre mes fesses.
Au bout de 10 minutes, Malik commence à s'agiter, il me met la main dans le caleçon et me caresse la raie. Il commence à frotter sa bite contre moi, ce qui la faisait de plus en plus grossir. On change de position, je suis sur le ventre et lui sur moi. Il est tellement lourd que je peine à respirer. Il continue a frotter sa queue contre mes fesses, tout en me caressant et me tenant par la nuque. Ça y est, je comprends vite que le repos était fini...
Il se retire de moi, se met debout et me demande de m'asseoir face à lui sur le rebord du lit. Il retire brutalement son boxer, son énorme chibre rebondit et me frôle le visage. Il m'attrape la nuque, et me ravance vers sa queue. Je comprends rapidement, alors je lui la lèche, dieu qu'elle était bonne, encore couverte du sueur de quand il est venu en vélo. Elle avait un goût de rebeu, un goût de mâle ! Puis je lui gobe les couilles, une par une, puis les deux en même temps...
C'est là qu'il recule du bassin, prend de l'élan, et me donne un coup de hanche dans la gueule. Je sens sa grosse bite glisser violemment jusqu'au fond de la gorge ! Et sans pause, il enchaîne les profonds vas et viens, puissants et rapide. Le jeune ado inexpérimenté que j'étais manquait de m'étouffer à chaque coup. Mes reflexes vomitifs s'enchaînaient aussi vite que ses coups, mais Malik n'en avait rien à foutre, il me baisait la gueule et il kiffais ça. Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, en continuant de me tenir par la nuque, je pouvais rien faire, rien dire, j'étais totalement soumis à lui. Je bavais sur sa grosse queue comme pas possible, elle était tellement dure, tellement épaisse ! Il se retire, me prend par le menton, me dis de lever la tête, de le regarder, et d'ouvrir la bouche. Il crache dedans, me gifle, et me fait ravaler son engin. Il continue comme ça pendant des minutes encore. Ça se voyait qu'il avait l'habitude, moi je me laissait faire, ne savant pas trop comment réagir, mais je kiffais ça. J'étais toujours assis sur son lit, face à lui. Il me prend par les cheveux et me lève la tête, avant de m'enfourner 3 doigts dans la bouche. Il les mouille bien et me les enfonce profondément, avant de les ressortir aussi sec.
Alors il me dit de m'allonger sur le ventre. Sur le moment j'ai peur, je sais très bien ce qu'il va se passer, et que, dans les minutes qui suivent, j'allais perdre ma virginité, et que j'étais totalement impuissant face à Malik. Mais au fond, c'est ce que je voulais. Il se met à cheval au dessus de moi, à hauteur de mes fesses, et commence à me doigter. Doucement, puis plus fort. C'était assez agréable. Puis arrive le grand moment, il dégaine une capote que je le vois péniblement dérouler sur son chibre, tellement qu'il est gros, puis me demande de relever un peu les fesses, ce que je fis sur le champ. Il me dit de me détendre, et commence à frôler mon trou avec son gland. Après plusieurs frottements et une fois mon trou bien dilaté, il m'attrape les hanches et me tire. Je sans mon trou s'ouvrir grand et coulisser sur sa bite. Je n'avais jamais rien ressenti de pareil, c'était incroyable, Malik était en moi ! Après plusieurs petits coups pour bien ouvrir, Malik passe aux choses sérieuses, il se plaque contre moi, m'écrase sur son lit, me met une main sur la hanche, l'autre sur le visage, avec encore 3 doigts dans la bouche, et il enchaîne les coups de plus en plus fort. Je me faisais pilonner très violemment, et c'était génial ! Il me mettais une fessée de temps en temps, je gémissait très fort, comme je n'avais jamais gémi avant, quel plaisir ! Je criais même sur la fin, tellement que le colloc devait m'entendre, mais j'en avais rien à foutre, Malik était merveilleux, j'avais le cul complètement éclaté, je n'avais jamais connu ça, et au bout d'interminables minutes j'en pouvais plus. Je sentais Malik accélérer, gémir lui aussi, est dans un dernier coup magistral, je sens sa capote se remplir en moi. Il ressort sa queue, laissant mon trou béant, défait sa capote, me met par terre, et s'assoit sur le bord du lit. Il m'ordonne de me mettre à genoux et de nettoyer sa bite, couverte de sperme chaud, qui avait un goût incroyable. Évidemment, je m'exécute, le suce jusqu'à ce que sa queue, encore dure, soit nickel. Il me recrache dessus une dernière fois avec un petite gifle qui signifiait "bonne chienne" et m'ordonne d'aller me laver. On se lève, lui se rhabiller et moi je prends mes affaires et vais dans la salle de bain.
Une fois lavé et remis de mes émotions, je retrouve Malik et son colloc dans le salon. Son colloc était parti chercher du pain pendant ce temps et Malik propose de me faire un sandwich. Il était déjà 14h. J'avais cours à 17h, donc je me disais que j'avais le temps. On mange en regardant la télé, le sandwich était pas terrible, je suis pas fan de la viande rouge, mais qui sait ce qu'il se serait passé si j'avais refusé...
Au bout d'un moment, je m'aperçois que Malik a disparu. J'interroge son colloc du regard, mais il ne parlait pas français. Il avait l'air d'avoir parfaitement compris, et me faisais signe qu'il fallait y retourner. Je regarde mon téléphone, 15h, je vois un message de Malik : "Rejoins-moi dans la chambre !". Je me lève, le colloc sourit. Malik était parti pour un deuxième round. Effectivement, j'entre dans la chambre, et il était allongé sur son lit, sur le dos, son gros chibre en évidence, déjà emballé dans la capote, et il m'a dit : "Viens t'asseoir !". Je me déshabille, lui monte dessus. Il crache dans sa main, lubrifie sa queue, et me dit de descendre, alors je descends lentement, et à nouveau, Malik me pénètre. Cette position était plus douloureuse, et en plus, je le voyais me fixer avec ses yeux noirs. Alors il m'agrippe les fesses et me défonce à nouveau. J'ai encore gémi, puis crié, j'étais déjà bien ouvert alors ça allait tout seul. À voir Malik, j'étais vraiment une bonne chienne. Il faisait des mouvements plus rapides que la première fois, et à nouveau, il finit par jouir en moi. Cette fois je ne le suce pas, je devais déjà répartir à la gare. Je me rhabille, puis il me donne de l'argent pour le train. Je le remercie, il m'accompagne jusque dehors, on se roule une dernière pelle, puis j'y vais.
Je n'oublierai jamais cette journée-là, par la suite, je n'ai plus revu Malik, sûrement de peur. Maintenant, il a déménagé à Paris, où il enchaîne les jeunes putes blanches aux longs cheveux blonds les unes après les autres. Pourtant on se parle encore. Peut-être qu'il m'aime plus que les autres, peut-être que je devrais retourner le voir, qui sait. À vous de me dire ;)
Matteo
matteo.deflandre@laposte.net
