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Les collègues de ma mère

Cette histoire est inspirée d'une histoire vraie et se base sur des expériences que j'ai eu.

J'étais un jeune lycéen, tout juste majeur, pas très grand, mince, blond vénitien aux yeux couleur ambre, une vraie pédale quoi. Après avoir enchaîné quelques plans cul, j'ai compris que j'aimais trop me faire défoncer. C'était le printemps, et j'étais horny as fuck. Comme à mon habitude, je recherche quelques profils intéressants sur l'application jaune et noire, sans grand succès. Habitant dans une région reculée, j'avais vite fait le tour. J'étais tellement en chien que j'étais prêt à tout, je ne m'arrêterai pas là.

Puis un mercredi, les profs faisaient grève, je n'avais donc pas cours de la journée. J'en ai profité pour passer ma journée en ville, notamment pour faire des photos. Il faut savoir que j'ai un certain talent pour la photographie et que c'est un de mes passe-temps favori. Il y avait de quoi faire avec tous les arbres en fleurs. Passé 2 heures en ville, je m'assois dans un square devant la gare centrale, histoire de faire le tri dans mes photos.

C'est là que je reçois une notification. Je regarde et un mec dénommé Moussa (prénom fictif), m'avais dm sur la fameuse application de rencontre. La première chose qui me saute aux yeux est la distance : 150m. Mon cœur commence à palpiter. Je bandais comme un taureau. À tout moment j'étais suivi. Je lis le message : "T'es dispo ?". Je réponds que oui, et il m'explique qu'il est seul au bureau et qu'il se fait bien chier et qu'il a envie de péter un cul. Je vois sur son profil qu'il a 25 ans, qu'il est d'origine maghrébine, qu'il fait ma taille et qu'il est un peu rond. Je lui demande plus de détails, mais la seule chose qu'il me dit c'est que j'ai qu'à venir et voir par moi-même, puisqu'il est seul au bureau. J'hésite, mais mon choix est vite fait, je vais voir. Il me dit que c'est dans un immeuble moderne à gauche de la gare.

Une fois devant, je le reconnais parfaitement, c'est ici que travaillait ma mère l'année précédente. Je l'y ai rejoint plusieurs fois, et donc je connaissais quelques uns de ses collègues. J'hésite à nouveau, mais je ne connaissais personne qui corresponde au profil de Moussa, et il m'avait assuré qu'il était seul, donc finalement je rentre. La porte étant cassée, elle ne se verrouillait pas, c'était donc facile d'entrer. Dans son dernier message, il me dit qu'il m'attend aux toilettes du premier étage. Je monte et je rentre.

Au moment où la porte se referme, un jeune homme de 25 ans, faisant ma taille, un peu rond, la peau d'une belle couleur chocolat, avec le crâne rasé et des yeux noirs et perçants, sort d'une cabine. Il avait un beau visage avec une barbe de 3 jours. Il avait un petit ventre et un magnifique cul, mais surtout, une bosse proéminente dans l'entre-jambe. Il me fixait sans rien dire, en marchant vers moi. J'étais pétrifié, je ne savais pas quoi faire, alors je n'ai rien dit, je n'ai pas bougé. J'étais tout de même rassuré de ne pas le reconnaître et de constater qu'il n'avait pas l'air de me connaître non plus. Après quelques pas, toujours en silence, il m'attrape le bras, me plaque contre le mur et se penche sur moi. Je sens son souffle sur mon visage, chaud et humide, et je ne peux pas retirer mon regard des ses grosses lèvres de renoi. Il se penche plus, colle son corps contre le mien, et pose ses lèvres sur les miennes, avant de me rouler langoureusement une pelle. Il recommence plusieurs fois, et moi, je me laisse faire. C'est alors qu'il s'écarte de moi, regarde vers le bas, et me dit, dans un gémissement : "Suce-moi.". Je le regarde, pendant qu'il pose sa main sur son paquet, puis il retire sa ceinture, pour enfin se déboutonner. En jaillit une énorme matraque, à peine retenue sous le boxer. Elle avait l'air immense, j'en avais jamais vu d'aussi grande. Je me mets à genoux et Moussa me prend par la tête, me mettant sa queue dans le visage. Il se frotte comme ça quelques instants, le temps que son engin atteigne sa taille complète, avant de reculer pour la libérer. C'est une bite circoncise, brune, longue et très épaisse, une bite de renoi quoi. Elle faisait bien 23 cm de long et 6 de large. Sans même la prendre en mains, j'ouvre la bouche et me jette dessus, elle est vraiment bonne. Moussa gémi, ça se voit qu'il kiffe, il commence les vas et viens mais je n'arrive qu'à prendre la moitié de son chibre. Il force alors un peu, puis plus fort, pour taper au fond de ma gorge. Je bave énormément et je manque de m'étouffer à chaque coup. J'étais en apnée, je n'arrivais plus à respirer tellement c'était éprouvant. Il va de plus en plus vite, ça faisait bien 10 minutes que je suçait Moussa dans les toilettes, il lève la tête et commence à gémir, de plus en plus fort. Puis, d'un coup, il arrête tout, se retire de moi. Un fil de bave relie sa queue à mes lèvres quand il s'écarte, avant de s'écraser bruyamment sur le sol.

J'étais épuisé. Il me regarde et dit : "Tu ne croyais tout de même pas qu'on s'arrêterait là ?". Il se rhabille, m'attrape par le bras, me relève brutalement et m'emmène avec lui. Il ouvre la porte, on sort sur le palier, puis on rentre dans le couloir qui mène aux bureaux, il n'y avait effectivement personne. Au bout du couloir, il ouvre un porte qui donne sur un petit bureau avec une grande fenêtre du sol au plafond, avec vue sur la gare, et me balance dedans avant d'entrer à son tour et de fermer violemment la porte. Je le regarde, il fait le tour, s'assoit dans son fauteuil derrière son bureau, en face de moi.

Il me regarde, puis m'ordonne de me déshabiller, alors je m'exécute. Je suis nu devant lui, il continue de me regarder pendant quelques secondes, puis se lève et passe derrière moi pour regarder mes fesses. Il me met une main, tâte, puis me met l'autre. On dirait qu'il masse mon boul. Il finit en me mettant une fessée et repart s'assoir. Il m'ordonne de venir et de me mettre à genoux devant lui.

À ce moment là, on entend des pas dans le couloir, Moussa me pousse vite sous son bureau afin de me cacher au cas où. Je me cogne en tombant sur mes fesses et je le vois regarder attentivement la porte. Plus rien, il se déboutonne à nouveau et laisse sortir son immense engin, toujours bandant, que je prends immédiatement en bouche, pour le sucer encore. Une fois de plus j'enchaîne les gorges profondes, sa bite est toute dure. Il ne me regarde même pas mais reste concentré sur les bruits dans le couloir. Puis ça recommence, je continue de sucer. Et d'un coup la porte s'ouvre. Je reconnais directement sa voix, c'était le boss, qui venait d'arriver et qui passait dire bonjour à Moussa.

Le boss, je le connaissais bien, je l'ai rencontré plusieurs fois quand j'étais avec ma mère, il s'appelait Romain (prénom fictif), avait à peine la trentaine, blanc de peau avec une coupe soignée de cheveux noirs, une barbe de 3 jours et de profonds yeux bleus. Il était originaire de Pologne, et s'habillait toujours avec un fin pull qui faisait ressortir son corps dessiné, puisqu'il allait régulièrement à la salle. Il paraît qu'il enchaînait les meufs comme ses boxers, et qu'il n'y avait que le cul qui l'intéressait. Dans tous les cas, c'est un mec drôle et sympa, qui a toujours été cool avec moi. Et je vous cache pas que je m'étais déjà branlé auparavant en pensant à lui, tellement qu'il était canon !

Romain referme la porte, je suçais toujours Moussa et rien que de penser au boss je bandais comme un fou. Moussa me regarde et dit : "C'est ma seule visite de la journée, on peut passer aux choses sérieuses maintenant !". Il voit que je bande, et comprends tout de suite : "Oublie, il est hétéro as fuck." Il me dit de sortir de sous son bureau, pour monter dessus, je m'y met à 4 pattes, le cul tourné vers son visage. Il me met une fessée, puis approche sa bouche. Il me lèche le trou, puis mouille un doigt, avant de me l'enfoncer dans l'anus. Il continue, plus profond, crache dessus, je gémi ; que c'est bon ! Puis il met un deuxième doigt, puis un troisième, et continu de m'ouvrir le cul. Il tente un quatrième, mais il peine à rentrer. Il recrache, rien à faire. La sensation était déjà incroyable. Finalement, il retire ses doigts, me masse légèrement la rondelle très dilatée du bout de son index, puis se lève. Il retire son t-shirt, ses chaussures, chaussettes, pantalon et boxer, pour être totalement nu. On se regarde droit dans les yeux, puis il me dit de tourner un peu, pour me mettre dans la longueur du bureau. Voilà qu'il monte dessus lui aussi, et se met à genoux juste derrière moi. Il se penche sur mon corps, laisse tomber son lourd engin sur ma raie, et commence doucement à se frotter contre moi. Que c'est bon ! Puis, il met ses mains sur mes deux épaules, et dirige sa queue vers mon trou, sans même y toucher. Et d'un coup, il la rentre ! Ça passe tout seul tellement que j'étais dilaté. Sa bite coulisse en moi jusqu'à la moitié, et j'étais déjà comblé. Évidemment, j'ai gémi. Il la ressort entièrement, puis recommence, plus fort ! C'était incroyable ! Sa bite était réellement gigantesque ! Il me baisait comme un chien, sur son bureau, et enchaînait les coups. Les trains passaient, on gémissait tous les deux, sinon, le silence était total. C'était tellement silencieux que je pouvais entendre la bite de Moussa me glisser dedans. On savait que Romain n'était pas loin, mais on n'en avait plus rien à foutre. Ça faisait bien une demi-heure que Moussa me pilonnait sur son bureau dans cette position humiliante, en m'écrasant sous son corps, toujours en gémissant de plaisir. J'étais tellement ouvert que je devais mouiller du cul, si bien que sa queue rentrait de plus en plus facilement. J'étais tellement dilaté que je ne sentais plus rien, j'avais la rondelle complètement pétée. Moussa, qui se rend compte que ça rentre mieux, en profite pour accélérer et forcer un peu plus. Les coups sont plus puissants, je sens sa bite gonfler encore plus, et taper de plus en plus profondément. Coup après coup, je lâche un profond gémissement, et le chibre de Moussa rentre de plus en plus. Puis il m'agrippe les hanches, et commence à taper plus fort, j'étais complètement k.o. C'est plus des gémissements, mais des hurlements que je lâche à chacun des coups, plus puissants les uns que les autres. Ça y est, j'avais la bite de Moussa entièrement en moi !

Je continue de crier de douleur au rythme des coups, puis, soudain, des pas lourds se rapprochent du bureau. La porte s'ouvre, et Romain apparaît : "Qu'est-ce qu'il se passe ici ?!". Je vous laisse imaginer la scène. L'ex-boss de ma mère, qui me connaissait très bien, m'avais immédiatement reconnu, à quatre pattes sur le bureau de Moussa, qui me prenait par le cul. Il était complètement abasourdi par le spectacle qui s'offrait à lui : son employé qui enculait le fils d'une ancienne employée ! Moussa s'était arrêté, on le fixait tous les deux, et il nous fixait également. Moussa se retire de moi, puis Romain me lance un : "Matteo ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?! Et Moussa ? Qu'est-ce que vous faites ?!". S'en suit un grand silence. Moussa, demande à Romain d'où il me connait, et Romain lui explique, alors il se retourne vers moi : "T'es le fils de Sophie ?". J'acquiesce. Alors il me traite de sale fils de pute, et dis que je méritait bien de me faire défoncer. J'imagine qu'il ne s'entendait pas bien avec ma mère.

Je me tourne vers Romain, paniqué à l'idée que ma mère apprenne ce qu'il s'est passé. Romain réfléchi, et commence à me matter avec un sourire en coin. J'étais encore totalement nu devant lui. Il avance d'un pas et ferme la porte derrière lui, puis dit qu'on peut s'arranger. Le moment paraissait irréel. Romain met la main sur son paquet et dit qu'il avait bien besoin de se vider les couilles. Moussa se met à sourire, moi, je continue de paniquer. Romain dit : "Tu fais ce que je te dis et tout ça reste entre nous, ça marche ?". Je ne réponds pas. Peu importe, Romain commençait déjà à se déshabiller. Il retire son pull à col roulé et dévoile son incroyable torse blanc sculpté tel un dieu grec, et parfaitement imberbe. Il défait sa ceinture en cuir, retire ses chaussures et baisse son pantalon. Quand j'y pense, un de mes fantasmes allait se réaliser. Romain se tenait face à moi en boxer, et dégageait une aura de domination. Son paquet était bien visible. Sa bite, à force de grossir, fini par dépasser de son boxer. Pour autant, elle n'était pas aussi grande que celle de Moussa, mais elle était bien large et vraiment très belle. Il me regarde en se mordant la lèvre, puis s'approche de moi, il rapproche sa tête de la mienne et m'observe, avant de me faire un smack. Puis il me souffle un : "Tu vas prendre cher. Moussa, montre-lui ce que tu sais faire !". Moussa, qui semblait boosté à l'idée de baiser le fils d'une ex-collègue qu'il n'aimait pas, me préviens qu'il n'aura plus aucune pitié et qu'il me défoncera à fond.

Je m'allonge sur le ventre, en travers du bureau, et Moussa me reprends par derrière. Il me remet à nouveau toute sa bite d'un coup, je hurle de douleur. Il se remettait à faire des vas et viens en sortant sa queue à chaque fois, c'était vraiment intense ! J'avais la rondelle en feu, et Moussa était extrêmement endurant. Je finis par me faire à la douleur, et face à moi, sans prévenir, Romain me fout sa queue dans la bouche, et donne des coups de bassin. Je me faisais prendre par Moussa par derrière et par Romain par devant. Je pouvais plus bouger, plus rien dire, à peine respirer. Je subissait leur deux bites. Je me sentais vraiment comme une pute, c'était incroyable ! Romain, qui avait encore besoin de se chauffer, accélère et tapait dans le fond de ma gorge. Il était littéralement entrain de me baiser la bouche. Puis Moussa, dans une longue râle, sort sa bite de mon trou explosé, retire sa capote et me gicle sur les fesses. Il y en avait partout, je m'étais bien pris 7 jets de son sperme chaud. Il se laisse tomber dans son fauteuil et reprend son souffle.

Romain arrête à son tour et dit : "Bien, maintenant tu viens avec moi !". Il me prend par le bras et m'emmène avec lui, on quitte le bureau de Moussa et on traverse les couloirs, tous les deux nus. Puis on entre dans le salon, là où il y a les canapés et le baby-foot. Romain me balance sur le canapé : "On sera mieux là quand même !". Il m'ordonne de me mettre en levrette, et enfile un capote, qu'il a trouvé dans le tiroir sous la machine à café ; prévoyant le Romain ! Il se met à genoux derrière moi, et m'encule brutalement d'un coup ; Moussa avait bien préparé le terrain, et son sperme servait de lubrifiant. Mais il faut reconnaître une chose, Moussa avait une énorme bite, certes, mais Romain, il baisait comme un dieu. Sûrement l'expérience. Je le sentais souffler dans ma nuque, c'était dingue ! Puis il ramène son pied gauche et m'écrase la tête avec. J'étais à nouveau complètement bloqué. Je ne pouvais même plus tourner la tête, et mon cul s'offrait à lui. J'étais totalement soumis à Romain et j'aimais ça. Puis il retire son pied et se redresse derrière moi, sans s'arrêter pour autant. Il me mettais quelques fessées, j'avais trop mal. Je sentais des gouttes de sueur me couler dessus, il faisait chaud et les baies étaient recouvertes de buée. J'avais jamais imaginé être aussi fusionnel avec le patron de ma mère. Romain se retire, et je me retourne vers lui ; qu'est-ce qu'il était beau quand il baisait ! Il se met à cheval sur moi et retire sa capote, avant de se branler face à moi. Et, avant que je ne puisse dire quoique ce soit, il gémi et m'éjacule sur le visage. C'était de grosses et lourdes gouttes blanches, son sperme était très chaud et épais. Je lèche les quelques gouttes qui me sont tombées sur les lèvres, c'était bon en plus !

Romain s'allonge à côté de moi et, contre toute attente, me roule une pelle, puis me dit :"T'es tellement mignon que je voudrais te garder pour moi. Ça faisait longtemps que je voulais voir si tu pouvais aussi bien encaisser que mes plans cul avec ton petit trou serré.". Puis il se lève, toujours nu, et va se chercher un café. Il me dit de partir, sinon il me ramènerai chez lui. Je me demande s'il rigolait.

Je retourne dans le bureau de Moussa, qui s'était remis au travail. Il me dit que ça se voit que j'ai kiffé. Je le remercie et je prends mes affaires pour me rhabiller. Puis il me dit de passer au toilettes histoire de me nettoyer le visage, j'avais encore du sperme de Romain sur le front et les joues. J'y vais puis je descends et enfin je sors.

Ma mère n'a jamais su, et pour ma part, je n'y suis jamais retourné, bien que je repense souvent à cette journée, et que l'idée d'y retourner me traverse encore régulièrement l'esprit.

Matteo

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