Les faits que je vais vous raconter se sont déroulés la semaine dernière et m’ont décidé à me lancer en tant qu’auteur (après avoir été un lecteur assidu…). Je m’appelle Anthony, Montpelliérain de 31 ans et expatrié sur Paris depuis quelques années. Ouvertement gay, bien dans mes baskets, plutôt discret. J’adore le sport et je pratique régulièrement la natation, la boxe et la musculation en salle. Pour une première introduction, ça suffira. N’hésitez pas à me faire parvenir vos avis par mail si cette histoire vous a plu - J’en ai bien d’autres en réserve.
Après 2 semaines de congés bien mérités, je suis rentré sur Paris la semaine dernière. Qui dit retour de congés dit reprise de la routine sportive, ce qui m’avait bien manqué. Première séance à la salle de sport, je décide d’y aller tranquillement pour une reprise en douceur. Ce sera des exercices de mobilités et un peu de jambes. La salle que je fréquente est de taille moyenne avec une population d’adhérents assez variée. Ce qui me plait c’est que ce n’est pas bondé en dehors des horaires de pointe, donc en général j’essaye d’y aller le matin ou pendant la pause déjeuner. Cette fois-ci c’est presque désert, il faut dire que nous sommes à la mi-août et que c’est le milieu d’après-midi (je ne travaille pas ce jour-là). Je fais ma séance tranquillement, dans ma bulle avec mon planning d’entrainement en tête et une playlist pop dans les oreilles. Au bout d’une heure je commence à me sentir bien fatigué et je me dirige vers les vestiaires, avec la satisfaction d’avoir fait une bonne séance. J’adore le sentiment de relâchement du cops et de l’esprit qu’on ressent après un effort physique, c’est ma drogue à moi !
Les vestiaires de ma salle sont de taille modeste avec 4 rangées de casiers séparées par des bancs. Les douches sont dans le prolongement : 2 rangées de 4 cabines les unes en face des autres, avec des séparations latérales en verre flouté mais sans portes ni rideaux. Ça peut surprendre au début quand on n’est pas habitué aux douches collectives, puis finalement on s’y fait assez vite. Personnellement je ne suis pas très pudique, et puis ça me plait de savoir qu’à tout moment je peux me retrouver nu face à un gars… Là c’est mon côté mateur qui parle ! Mais pendant les heures creuses je ne croise pas grand monde dans les vestiaires et je suis souvent seul sous la douche. Il y a aussi une partie spa, dans une salle séparée des vestiaires par une baie vitrée et qui comprend un grand jacuzzi, un sauna, un hammam et 2 « douches sensorielles ». Ça ne fait pas partie de ma routine de m’y arrêter, mais cette fois-ci en passant devant ça me tente bien.
De retour à mon casier je cherche dans mon sac mais aucune trace de mon maillot de bain, j’ai dû le laisser à l’appart. Tant pis, une serviette autour de la taille fera l’affaire. Je me dirige vers l’espace spa et sans surprise, je ne croise personne. Il doit quand même y avoir quelques gars car je vois des serviettes pendues ici et là. Je commence par une douche sensorielle pour enlever la sueur et je laisse l’alternance d’eau chaude et d’eau froide détendre mes épaules. Pendant ce temps je remarque du coin de l’œil que quelqu’un vient de passer et de se mettre dans la seconde douche juste à côté. Comme pour les douches collectives du vestiaire, les 2 douches du spa sont ouvertes et sont simplement séparées par une paroi en verre. Je termine cette douche express et je remets ma serviette autour de la taille sans me sécher. Je me dirige vers le sauna et j’aperçois un autre gars en ouvrant la porte en bois. Il doit avoir la trentaine, cheveux noirs et barbe de quelques jours, bien bâti. Il porte un boxer de bain bleu foncé. On se salue et je vais m’asseoir vers le fond, histoire de ne pas me mettre juste à côté de lui. Pour être confortable j’ouvre ma serviette mais je garde un côté rabattu ma cuisse pour couvrir mon sexe. Depuis ma place j’ai une vue directe sur la porte et sur le mec, qui est sur ma droite de profil. Je me souviens l’avoir vu quelques fois déjà. Quelques minutes passent sans que nos regards se croisent, puis la porte s’ouvre et une troisième personne se joint à nous.
Je reconnais le gars qui était à côté de moi sous la douche toute à l’heure, la cinquantaine, musclé. Il a des airs de Dirk Caber, ce qui n’est pas pour me déplaire au contraire ! Pour le coup lui je le vois très souvent s’entrainer. Il s’installe sur ma gauche et enlève totalement sa serviette pour s’asseoir dessus. Du coin de l’œil j’ai pu voir sa queue, assez longue, mais surtout très épaisse, sans aucun poil. Il change de position plusieurs fois et je saisis chaque opportunité pour le mater un peu plus. Il faut dire qu’il est bien bandant avec son corps musclé et tout en sueur ! Je vois que le mec à ma droite le regarde de temps en temps, mais sans plus. J’essaie de ne pas me faire de films dans ma tête pour éviter une érection et après quelques minutes je ne supporte plus la chaleur et je sors pour prendre une douche froide.
Quelques minutes passent et je décide de faire un dernier passage au sauna avant de rentrer. Je m’installe à la même place. Les deux autres mecs n’ont pas bougé. Pourtant je sens comme une tension dans l’air, et j’ai l’impression d’avoir interrompu quelque chose. Je regarde le mec sur ma droite, il a les deux mains posées sur son paquet. C’est suspect. Je sens les battements de mon cœur s’accélérer. A ce moment il se lève pour sortir, et c’est la confirmation : il a clairement une érection qui déforme son maillot ! Ça lui fait une belle bosse qui part vers le bas, bien visible dans son boxer trempé de sueur. Je ne peux pas m’empêcher de mater et je sens un frisson d’envie me parcourir le corps. Il s’en va rapidement – dommage ! Je me retrouve seul avec le gars sur ma gauche que je suspecte être à l’origine de ce départ en vitesse.
Je jette un regard furtif et je suis sûr que sa bite a pris du volume. Il ne cherche pas à le cacher, ce qui m’excite encore plus. Je dois mettre une main sur mon paquet pour dissimuler comme je peux mon érection sous ma serviette. Je suis tiraillé entre l’envie de provoquer quelque chose et la peur de se faire surprendre à tout moment. Je n’ai pas le temps de me décider que monsieur se lève, sans sa serviette. Il se dirige vers le sablier accroché à côté de la porte et le retourne. J’ai une vue directe sur ses fesses et tout son corps. Soit le mec est très à l’aise, soit c’est une invitation à le mater ! Il reste planté là, le regard fixé sur le sablier. Puis il se retourne et je me retrouve face à lui. Mon regard se porte directement sur sa queue. Elle a l’air lourde, bien épaisse. Il n’a qu’un début d’érection et pourtant je la trouve déjà impressionnante. Je lève mes yeux et nos regards se croisent. Mon cerveau gèle pendant un instant sous le coup du stress et de l’excitation. J’essaie de sourire pour lui faire comprendre que j’apprécie la vue. Lui :
« Elle te plait ?
- Oui pas mal…
- Tu veux la toucher où toi aussi tu vas partir en courant ?
- Ah je me disais bien que j’avais interrompu quelque chose tout à l’heure !
- Peut être oui… »
Il se rapproche de moi lentement et je tends ma main vers sa queue pour la saisir. Elle est lourde, chaude. Je fais des mouvements de va-et-vient tout doucement et je la sens grossir dans ma main. Je m’applique pour faire des mouvements sur toute la longueur et lui accompagne mon geste avec des mouvements de bassin. Lui : « Enlève ta serviette et touche-toi aussi. Par contre faut qu’on soit rapide ». Je m’exécute avec plaisir. Entre la chaleur du sauna et la scène qui est en train de se dérouler, j’ai l’impression que je vais exploser. Je continue de le branler jusqu’à ce qu’il bande totalement. Sa queue est si lourde qu’elle ne se dresse pas beaucoup. Je mets de la salive sur ma main pour lubrifier son membre et rendre le mouvement plus fluide. Il a l’air de bien kiffer ça ! Je pourrais déjà éjaculer tellement je suis excité alors j’arrête de me branler et pose une main sur son torse pendant que je continue mes va-et-vient sur sa queue. J’en profite pour serrer ses pecs bien musclés. « J’ai l’air de te plaire hein ? » me dit-il avec un sourire coquin. En guise de réponse je baisse la tête et prends son membre dans ma bouche. Je commence à sucer son gros gland en mettant beaucoup de salive. Je sais déjà que je n’arriverai pas à la prendre entièrement alors je continue de le branler pendant que je passe des coups de langue sur l’extrémité de sa queue. Il commence à gémir de plaisir et intensifie ses mouvements de bassin. Je passe une main sur son pubis totalement rasé. Je suis plutôt attiré par les mecs poilus, alors ça me change. Je termine ma fellation en m’assurant de laisser le plus de salive possible pour la branle finale. Lui est toujours debout, moi assis face à lui. Je prends sa queue avec mes deux mains et je serre. Je relâche la pression, puis je serre de nouveau. Je vois dans son regard qu’il adore ça alors je serre encore un peu plus tout en le branlant. Moi je n’en peux plus, je me branle frénétiquement et j’en fais de même avec sa bite au bord de l’explosion. Je sens que ça vient et j’éjacule partout sur mon ventre et mon torse et cette vue le fait partir lui aussi. Je sens sa bite se contracter et les jets de sperme remonter. Il lance des gémissements sourds. J’en reçois sur la barbe, le torse, j’ai en plein les mains. Je continue de le branler fort jusqu’à ce que son corps se plie sous les spasmes de plaisir. Pendant quelques secondes on reste sans bouger, haletants, le corps en sueur. Le contexte ne nous laisse pas plus de temps pour savourer l’instant et j’utilise ma serviette pour essuyer les traces de nos ébats sur mon corps. Lui se rassoit sur sa serviette pour reprendre son souffle, et moi je file sous la douche après lui avoir dit à bientôt.
Malgré une douche froide je n’ai pas arrêté de bander sur le trajet de retour, et j’ai dû me branler une autre fois en rentrant chez moi, incapable de penser à autre chose que ce qu’il venait de se passer.
Antho34
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