Je m’appelle Julien, 36 ans, 1m90, assez sportif, châtain, les yeux bruns.
Il y a quelques temps, après une rupture, j’ai été embauché dans un boulot assez particulier : gardien de phare.
Après une formation sommaire, j’ai été envoyé à mon premier poste sur un phare en mer. Je devais y seconder le responsable du phare.
Mon arrivée a été mouvementée en raison de la forte houle ce jour-là. J’ai failli passer à la mer, mais j’ai heureusement été attrapé solidement par le responsable que j’ai rencontré pour la première fois à ce moment. Il s’appelle Léo, 40 ans, 1m86, brun, et plutôt bien bâti.
Je ne sais pas si c’est en raison de ce premier contact, mais je mes suis immédiatement senti en confiance avec Léo. Nous avions un mois entier à passer seuls sur ce phare. Il m’a accueilli et montré les lieux et il m’a appris le travail à faire sur place.
Pendant une première semaine, j’ai pris mes marques et les habitudes du phare. Je dois dire que je trouvais aussi Léo très beau et que j’avais une certaine attirance envers lui. Sa moustache bien entretenue ne me laissait pas insensible, mais je tentais de le cacher.
De son côté, Léo ne laissait rien paraître et je ne savais pas trop à quoi m’en tenir. D’un côté une amitié et une confiance réciproque s’est installée naturellement. De l’autre côté, il ne parlait pas de sa situation amoureuse et je le croyais hétéro. Je tentais de le mater discrètement, mais sans grand succès.
J’en étais réduit à me branler le soir seul dans ma couchette en rêvant au corps sculpté de Léo. J’imaginais souvent qu’il finissait avec mon jus sur sa moustache. Le lendemain matin au déjeuner, lorsqu’il buvait du lait et qu’il y en avait sur sa belle moustache, je n’en pouvais plus et devais me calmer.
Après quelques temps, nous avons essuyé une forte tempête. C’était plutôt terrifiant, mais Léo me rassurait beaucoup. Il posait sa main sur mon épaule et ça m’apaisait. Durant cette tempête, Léo qui était monté sur la vigie a glissé et s’est blessé la cheville en tombant. Il est redescendu, non sans difficulté, entièrement trempé.
Je me suis occupé de lui pour le réchauffer d’un thé bien chaud. Pendant ce temps, il s’est changé quasiment devant moi et j’ai pu observer à quel point il était musclé. Le travail rude du phare n’y est pas pour rien. Je sens que moi aussi, je commence à me dessiner.
N’ayant pas grand-chose à disposition pour sa cheville, je lui prodiguais des massages et il me disait que ça le soulageait beaucoup. Il enlevait son pantalon et posait son pied sur ma chaise pour que je lui masse la cheville. J’avais une belle vue sur son slip qui semblait rempli de manière généreuse et ça commençait à me faire bander.
Il a dû s’en apercevoir malgré mon pantalon et me demandait de lui masser le mollet et le genou, puis de remonter lui masser la cuisse. Je kiffais et mettais du cœur à l’ouvrage. Difficile de contenir mon érection qui augmentait de plus en plus. De son côté, j’ai aussi constaté que son paquet prenait du volume. Je lui massais toute la jambe et remontait bien sur le haut de la cuisse. Je l’ai regardé et j’ai senti de l’envie dans son regard. Je suis donc remonté plus haut pour masser sa cuisse au niveau de son slip et effleurer sa bosse. Il en a profité pour avancer son pied contre mon entrejambe. Nous avons chacun bien senti le sexe gonflé de l’autre.
Nous nous jetés l'un sur l'autre pour nous embrasser. C’était chaud et doux. J’ai posé ma main sur son slip et l’ai caressé doucement en l’embrassant. Il a fait de même.
J’ai glissé ma main sous son slip pour continuer me caresse avant de le lui enlever et de me baisser vers sa queue qui sentait le mâle. Trop bandant. Je l’ai admirée (20 bons centimètres, non circoncise et bien épaisse) et reniflée, avant de lui lécher doucement les couilles et de le sucer délicatement un long moment du bout du gland sur lequel ma langue tournait, jusqu’à sa base. A son tour, il a ensuite commencé à sucer ma queue de 19 cm non circoncise. C’était doux et délicat.
Pendant ce temps, Léo en a profité pour travailler ma rondelle et bien me doigter. Je n’en pouvais plus. Il m’a alors retourné et m’a transpercé le cul de sa belle bite. Ses aller-retours étaient si tendres que sa bite me procurait un plaisir extraordinaire. Il a continué longtemps pendant que je couinais, avant de se retirer et de gicler sur mon cul. Il a alors tout nettoyé de sa langue avant de venir partager son jus en m’embrassant à nouveau et en me branlant la queue qui bandait toujours à fond.
Il m’a ensuite sucé et je me suis retiré de sa bouche juste à temps pour lui envoyer 6 jets de sperme épais et abondants sur le visage et la moustache. A mon tour, je lui ai nettoyé la moustache de ma langue, tout en l'embrassant à nouveau.
Nous sommes redescendus de ce moment si intense dans les bras l’un de l’autre.
Dans les jours qui ont suivi nous avons repris notre travail, mais la cheville de Léo n’allait pas beaucoup mieux, malgré les massages que je continuais à lui prodiguer régulièrement et qui dérapaient souvent.
Il a dû rentrer à terre et être remplacé.
J’espère le revoir bientôt.
Fin
Julien4Fun
julien4fun@mail.ch
Autres histoires de l'auteur :