a la ferme
A l'age ou tous les sens et les désirs s'aiguisent,je passais mes mois d'ete à la ferme chez mes grands parents.
Pour le plaisir de la campagne et aussi pour me faire de l'argent de poche en aidant mon grand-père.
Cette année là se trouvait à la ferme un stagiairede 19ans: EMMANUEL
superbe garcon chatain aux yeux aussi profonds que foncés, et à la chevelure épaisse.
Sa beauté et sa superbe musculature me troublaient sans que je ne sache me l'expliquer.
Oh bien sur je savais dejà que les garçons m'attiraient autant, sinon plus, que la gente femi-
nine, mais je ressentais pour lui un désir et un sentiment vraiment tout nouveau pour moi.
D'autant plus qu'au fil des jours, une certaine amitié et complicité s'installait entre nous.
Un jour mon grand-père doit s'absenter pour l'après-midi et nous laisse pour consigne de
vider un grenier de tout le foin restant, en prevision de la récolte prochaine.Nous nous attelons
donc à la tache en bons ouvrirs que nous sommes, dans la poussière et la chaleur estivale.
Bien vite nous nous retrouvons l'un et l'autre en sueur et décidons de retirer nos tee-shirts pour
rester torses nus et en shorts, plus à l'aise ainsi.
Me sentant troublé plus que jamais par la vue et l'odeur viriles de ce beau male, je tente de
me donner une certaine contenance en lui envoyant régulièrement du foin sur lui.
- Eh !!! me dit-il en riant
-Quoi??
-Arrètes ça tu veux
-Mais j'ai rien fait
-Ptit con va, si tu continues je te chope et te fout a poil...
Plutot décontenancé et encore plus troublé, je continue evidemment mon manège de plus belle.
D'un coup, sans crier gare, il se jette sur moi et me fait rouler a terre.Je tente bien de le repousser
et de me mesurer physiquement a son corps d'athlète, mais soyons réaliste,que puis-je faire face
à cette montagne de muscles, et surtout, en ai-je vraiment envie
Pesant de tout son poids,manu me maintient d'une main de fer et tire fermement sur mon petit short
afin de mettre ses menaces a éxécution.Très vite, et malgré ma toute relative résistance, je me retrouve
avec seulement mes basquettes aux pieds.Nu comme un ver.Face à mon beau vainqueur qui arbore
fièrement, en guise de trophée, mon petit slip de coton.
Par fièrté, et aussi quelque peu vexé tout de meme de mon manque de force et de résistance, je me
relève cranement comme si de rien n'était:
-M'en fout,de toute façon j'avais trop chaud!!!
Manu me regarde alors avec de grands yeux ronds, quelque peu estomaqué par le culot du jeune
freluquet qui se tient face a lui et finit par sourire:
-Oui après tout tu as raison, il fait si chaud ici...
Et joignant le geste a la parole, il se débarasse sans préambule de ses vétements.M'offrant le
spectacle d'une superbe queue d'un beau volume posée sur un pubis parfaitement taillé.C'en
est trop pour moi et mes hormones, et je sens mon petit sexe gonfler au fur et à mesure que je
deviens de plus en plus écarlate
floboy
Autres histoires de l'auteur : Le mariage
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