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soumission & Domination 231
Août 2012-3 Ric chez DGSE
Durant le mois j'ai reçu aussi la demande de reprise de DGSE. Il a toujours le même style de trip : policier, arrestation, recherche d'aveux par la contrainte physique, et bien sur baise du sujet !
Comme je n'ai pas le temps d'organiser le gang bang désiré par Ric, je demande à son père si je peux l'emmener chez ce client spécial. Je sais bien qu'il m'avait fait promettre de ne pas traiter son fils comme une pute mais d'un autre coté, il sait que Ric est demandeur de SM et que lui, n'arrive pas à aller très loin dans ce genre sexuel. Je suis le seul en qui il a confiance pour assurer ce genre de prestation.
Il est vrai que Ric garde de ses années où il a subit le joug démentiel de sa mère, un besoin d'être plus que contraint pour prendre son plaisir maximum. Jusqu'à présent, c'est avec Marc que j'assurais ça dans notre donjon. Il aimait aussi le larvage plus psychologique des gangs bangs.
Je dois discuter quand même un bon moment avec André pour obtenir son accord.
Mais il veut faire plaisir à son fils qui, sans broncher, le vidange régulièrement depuis maintenant presque 4 ans !
Il finit donc par donner son accord. Je lui demande alors de m'envoyer son fils dès que possible.
Il arrive dès le soir même. Je m'isole avec lui. Ce n'est pas que je veuille cacher quelque chose aux autres mais là c'est du taf.
Je lui parle de mon client et de ses lubies. Ce qui botte en premier Ric c'est le trip menottes, fessées, forçage de gorge... puis aussi le gabarit du mec. Ses 1,90 m, le fait qu'il soit très musclé et les 26cm de sa queue finissent de le convaincre. Il est tout prêt à essayer.
Nous rejoignons les autres après avoir réglé les détails avec DGSE au téléphone. Le trip ne sera pas l'arrestation d'un dealer mais plutôt celui d'un jeune homo pris en flagrant délit de pipe dans un jardin public. Après tout, le client est roi et puis je serais là pour éviter les débordements et ramener Ric qui risque d'être trop fatiguer pour conduire après.
Ric reste avec nous pour la soirée. Evidement que nous partousons avant de dormir !!
Ric apprécie bien les 24cm espagnols dans son cul et nous le terminons en double sodo, Ernesto et moi.
Deux jours plus tard nous roulions vers chez DGSE. Ric me demande de décrire à nouveau le bonhomme. Je fini la description alors que je me gare.
La sonnette n'a pas retentie depuis 10 secondes que la porte s'ouvre. La masse de DGSE remplie toute la largeur du couloir d'entrée et je vois mon Ric qui avale sa salive.
Je prends l'enveloppe qu'il me tend et ça commence.
Il attrape Ric par le bras et serre suffisamment pour voir mon Ric grimacer. Il le pousse devant lui dans l'escalier qui mène a son sous sol aménagé. Il le fixe debout devant son bureau la lumière d'un spot directement dirigé sur lui, après l'avoir menotté dans le dos.
Je me fais transparent dans le fond de la pièce mais n'en perds pas une miette, y'a pas d'âge pour apprendre !
Il commence l'interrogatoire. Comme les réponses de Ric ne lui conviennent pas, il devient plus " violent " et commence à le brutaliser. Aux claques succèdent des coups de poing (maitrisés, pas d'inquiétude à avoir) sur les abdos et les pecs de Ric. Mon regard s'attarde sur l'entrejambe de Ric et je perçois qu'il bande à la vue du volume de sa braguette. DGSE s'en est aussi aperçu et il le traite de pédale, tarlouze et autre mots gentils.
Il ajoute que puisqu'il ne veut rien dire sur son souteneur, il va être obligé de passer à la vitesse supérieure. Il défait les menottes et le déshabille complètement avant de lui ré entraver les poignets dans le dos, il ajoute à ses chevilles une barre d'écartement de pas loin d'un mètre, ce qui oblige Ric à rester les jambes écartées.
L'interrogatoire reprend avec maintenant des contraintes sexuelles. A chaque réponse non conforme, il lui pince les tétons, lui serre la bite et écrase ses couilles. Je vois que mon Ric n'en bande que plus.
DGSE simule la colère et lui dit que s'il en " chante " qu'avec une bite en lui, il allait s'en charger.
Si je n'ai pu filmer la séance, j'ai pris la liberté de l'enregistrer, les images étant plus facile à mémoriser que les dialogues !
Ric se retrouve donc rapidement avec la bite de DGSE sous les yeux. Il fait semblant de résister mais DGSE le forme à ouvrir la bouche et enfile son gland dedans. Comme il fait semblant de s'étouffer avec, DGSE lui prend la tête par les oreilles et s'enfonce entre ses dents. Il lui lime la gorge, bien 5 mn avant de se retirer et de lui répéter la question. Comme la réponse n'est toujours pas celle désirée, il remet ça.
Ric doit être aux anges, il se fait forcer, pincer et triturer ses tétons qu'il a très sensibles, le tout par un mec hyper viril et autoritaire.
La séance dégénère, DGSE passe aux godes dans l'espoir de le faire parler. Il ramène auprès du bureau l'étagère à roulettes qui supporte tout son matériel. Ric voit cela et ne peut s'empêcher de passer sa langue sur ses lèvres. DGSE le voit et il se fait traiter de malade.
DGSE pousse Ric a poser son torse sur le bureau et recouvre sa rondelle d'une bonne couche de graisse à gode. Pour le décider à parler, il lui montre chaque gode avant de lui mettre dans le cul.
Il commence par du petit (15 x 4) et s'aperçois que ça rentre tout seul. Du coup il fesse le cul de Ric avant de passer à la taille supérieure.
Je vois ainsi défiler (ou plutôt enfiler) dans le cul de Ric une bonne demi douzaine de gode de plus en plus gros. Ric fait semblant de trouver cela trop mais je sais que DGSE est encore loin de ce que Ric peut prendre maximum.
A un moment, DGSE se kpote et remplace le godage par un enculage en règle de mon Ric. Se dernier en déséquilibre ne peut résister aux grands coups de reins qui enfoncent le pieu de 26cm épais au fond de son trou.
Là, Ric ne peut plus se retenir et nous l'entendons gueuler de plaisir. Il demande à se faire bourrer la rondelle, ruiner le cul, ensemencer le ventre....
DGSE ne se retient plus et accroché à ses épaules, le sodomise violemment.
Il s'arrête quand même avant qu'ils n'aient jouis tous les deux et sort de l'étagère un monstre de gode. Une bête noire d'au moins 30 cm par 10 de large !
Heureusement que mon Ric est un habitué des doubles sodos et que mes blacks lui ont bien formaté son boyau à des dilatations extrêmes !
Il reprend son interrogatoire et comme Ric ne balance toujours rien (surtout depuis qu'il a vu l'engin, pour rien au monde il n'avouerait quelque chose qui ferait qu'il n'y aurait plus droit !), DGSE met sa menace à exécution et entame l'acte final.
Lentement quand même, vu l'engin, après l'avoir quasiment fisté pour graisser le boyau, il force l'anneau de Ric et enfonce la monstruosité jusqu'aux fausses couilles.
Quand il lui a tout mis, il se tourne vers moi, étonné d'avoir réussi à tout lui mettre. Je fais signe que c'est Ok et il reprend le travail.
Il alterne le godage du cul de Ric avec le remplissage de sa gorge par sa queue bandée à mort. Au bout d'un moment, il m'appelle et me demande de goder
Ric pendant qu'il lui lime la gorge.
Je manipule l'engin synthétique Ric tout en le faisant tourner. J'incline un peu le gode pour être sûr (quoi que vu la taille du gland c'est superflu) qu'il frotte bien la prostate de Ric à chaque passage.
Pendant ce temps là, DGSE les mains sur le crane rasé de Ric lui défonce la gorge de plus en plus violemment. Heureusement qu'il est habitué aux 27cm de son père et qu'il a l'expérience pour savoir respirer quand il faut.
Ce n'est que quand DGSE sort en urgence sa bite pour lui envoyer son jus sur la tête et le dos que Ric s'autorise à jouir aussi. Il inonde le sol au pied du bureau alors que je sors le monstre petit à petit, entre ses contractions anales.
DGSE s'écroule dans le fauteuil du bureau. Je pose le gode à coté de Ric et reprends ma place au fond de la salle. Je bande un max mais j'attends le retour.
DGSE mets un bon 1/4 d'heure avant de des redresser et de venir détacher Ric. Il l'emmène ensuite dans le coin de la salle équipé d'une douche et le laisse se laver. Il revient pour l'essuyer et je vois qu'il prend beaucoup de précautions pour le sécher.
C'est le premier à qui je le vois faire cela, faudra que je demande à Jona s'il lui avait ce coup là !
Quand il est sec, il serre Ric contre lui, lui roule une mégapelle et je l'entends lui dire qu'il peut revenir quand il veut.
A l'étage il nous offre un rafraichissement, Ric en a bien besoin. C'est la première fois que je vois son salon. Classique avec un grand canapé en cuir noir et un écran plat géant.
Nous éclatons de rire quand Ric le remercie et que sa voix est digne d'une basse russe !
Alors que nous partons, DGSE me demande combien cela couterait de revoir Ric. J'ai beau lui expliquer que c'était à titre exceptionnel que Ric m'avait rendu ce service puisqu'il n'émarge pas à ma société, il ne veut rien savoir. De son coté Ric me pousse à accepter.
Je me sauve en promettant d'essayer de convaincre le père de Ric de la chose.
DGSE m'assure que côté financier, pour Ric, je peux quasiment lui demander ce que je veux et me propose le double de cette prestation que j'avais déjà majorée. Je ne sais pas d'où il tire son fric mais il n'a pas l'air d'en manquer !
Pendant le retour, alors que nous roulons calmement sur l'autoroute, Ric me purge de ma production de spermatozoïdes en souffrance d'expulsion. J'avais bandé pendant presque trois heures à les voir baiser ensemble, mes couilles me faisait limite mal quand j'ai pris le volant !
Cela fait, Ric est revenu à la charge m'assurant n'avoir jamais pris un plaisir pareil depuis son initiation par mes soins.
Je lui dis qu'il exagère mais il me dit qu'il a trop kiffé le mec en plus de la séance.
Quand nous arrivons chez lui, André est déjà rentré. Il veut savoir si cela s'est bien passé. Ric lui résume en trois mots la séance et ajoute qu'il serait très partant pour remettre ça. Cela étonne un peu mais pas trop son père qui commence à bien cerner son fils et ses besoins spécifiques.
Il me demande des précisions sur mon client. Sans citer son nom je situe le mec et je lui précise jusqu'à combien il est prêt à mettre pour le revoir. Sifflement d'André qui connait mes tarifs habituels pour les subir quand il me demande un de mes Escorts.
Je lui précise que Ric en aurait la moitié nette puisque toujours payée en liquide.
On sera tous gagnant.
André se laisse fléchir par l'expression comblé qu'il n'a encore jamais vu sur le visage de Ric et m'autorise à organiser les rendez vous, à conditions qu'ils soient sous mon contrôle et pour Ric que ses résultats de fac suivent.
Cela me promet encore des heures à avoir mal aux couilles à les regarder baiser !!
Mais aussi une belle rentrée d'argent frais régulière.
Quand je les quitte, Ric me saute au cou et me roule un patin, glissant dans mon oreille que je n'aurais pas affaire à un ingrat. Je le connais bien maintenant, je sais que ce n'est donc pas une promesse en l'air. Je sais que maintenant je pourrais lui demander tout et n'importe quoi.
Jardinier