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soumission & Domination 232
Août 2012-4 Franck et les jumeaux
Fin août, Franck nous téléphone pour savoir si nous pouvions l'accueillir une semaine.
La réponse est oui bien sûr. Ce n'est pas tant le chèque que me fait, lors de ces occasions, son grand père que le plaisir de le revoir (mais bon c'est toujours ça de pris).
Il nous arrive en moto. Il s'est acheté une nouvelle combi cuir qui lui va comme un gant. Il monte une nouvelle moto, une Ducati 1199 Panigale S qu'il a fait débrider à 195 CV ! Explication : cadeaux du grand père pour ses résultats à ses examens.
Evidement, après les embrassades, nous tournons autour de la bête. Il nous dit avoir repris quelques cours de pilotages pour mieux maitriser le monstre. Quand je le traite de fou il me répond que je lui ai montré le mauvais exemple avec ma R1 et mon ZX10R.
A trois nous le mettons quasiment à poil dans la cour. Faut dire que ces derniers jours d'août il fait plutôt lourd et que le cuir c'est bien tant qu'on roule. En plein soleil, ça devient vite une étuve.
La moto rangée dans le garage, ce qui nous vaut un nouvel arrêt devant la Mercedes SL de PH, nous le jetons dans la piscine avant de le rejoindre.
Il en sort le temps de virer ses sous vêtement et nous pouvons voir à cette occasion qu'il est intégralement bronzé. Il nous explique que comme d'habitude il a passé ses vacances à La baule avec son grand père mais qu'il était parti bronzer tous les après midi sur la plage de Pen Bron (naturiste et partiellement gay).
Il nous raconte quelques plans qu'il a trouvés sur place. Mais nous assure qu'il s'est surtout reposé. Comme si nous allions le croire ! En attendant, ses yeux reviennent souvent sur la plastique d'Ernesto. Connaissant mes p'tits mecs, ça ne devrait pas tarder à dégénérer.
Quelques minutes plus tard, course poursuite dans le bassin et Franck trouve les bras accueillant d'Ernesto. Alors, qu'il l'empêche de repartir (comme s'il en avait envie), Ernesto nous crie qu'il est en train de se faire violer et que Franck frotte sa raie contre sa bite comme une chienne en chaleur.
Je lui réponds de sortir et de le baiser sur la terrasse qu'on puisse profiter du spectacle.
Aussitôt dit aussitôt fait. Ils sortent et s'installent sur les tapis. Dans l'eau, les bras sur la margelle, je les matte bientôt rejoint par PH qui se glisse entre moi et le bord de la piscine.
Franck commence par retirer le maillot ES d'Ernesto qui avait bien du mal à contenir les 24cm en plein déploiement puis ils s'installent en 69, de profil pour qu'on puisse bien les voir.
Ils sont à peu près de la même taille et aussi musclés maintenant l'un que l'autre. Deux beaux mecs qui se donnent du plaisir.
PH ondule doucement du bassin et ma bite en profite pour se coller dans sa raie, distendant les tissus élastiques de nos boxers.
Devant nos yeux, je vois Franck avaler la bite entière d'Ernesto jusqu'à ses couilles lisses. PH le félicite de la performance. Il se redresse les yeux brillant et un peu essoufflé pour nous sourire et nous dire qu'il s'était un peu entrainé. Cela dit, il replonge entre les cuisses d'Ernesto pour lui bouffer l'os.
Ernesto s'est aventuré plus loin que les couilles de Franck et attaque à grands coups de langue sa rondelle.
Devant moi, PH ondule du cul et me rend chaud. Je baisse nos maillots et plaque ma bite entre ses fesses. Rien ne vaut le contact direct des peaux !
Ernesto et Franck continuent à bien se chauffer. PH aussi, il se trémousse jusqu'à ce que mon gland se pose sur sa rondelle. Il recule d'un coup sec et s'enfonce mon gland dans le cul.
Je l'engueule qu'on dit de pas baiser dans la piscine rapport au sperme qui flotterait entre deux eaux. Il me souffle qu'il ne compte pas laisser échapper la moindre goutte lorsque je sortirais de lui. Je me laisse faire, trop chaud et puis je connais bien la force de son anneau. Il en est capable !
Devant nous Ernesto a basculé Franck sur le dos et lui a relevé les jambes sur ses épaules. Nous le voyons pointer son gland contre la rondelle de Franck puis lentement il prend possession de son cul. Bien que la kpote soit lubrifiée et qu'il ait rajouté une bonne dose de gel dessus et sur le trou de Franck, il rentre lentement histoire que Franck s'ouvre bien et sans douleurs.
Même s'il s'est fait monter souvent durant l'été, il n'a du l'être que rarement par un calibre pareil.
Absorbé par l'enculage sous nos yeux, j'ai cessé tout mouvement dans PH et lui-même ne bouge plus.
J'encule PH quand Ernesto se met lui-même en mouvement. Sa rondelle s'ouvre sous la pression de mon gland en épouse parfaitement les contours. Trop bon son petit trou !
Franck nous exprime son plaisir à se faire saillir pareillement par de longs gémissements. Ernesto ahane sous l'effort. Les mains sur les hanches de Franck, il l'attire vers lui sèchement, pour bien se planter à fond à chaque fois qu'il le pénètre.
Porté par l'eau, contractant mes bras sur la margelle, je fais de même dans mon PH.
Nous besognons tous les deux en cadence. Il accélère, je fais de même, je ralenti, lui aussi. Nous nous regardons dans les yeux et je vois en lui tout le plaisir que je prends aussi à enculer mon amour. En dessous de nous, Franck et PH partagent leur plaisir en se regardant fixement aussi.
Poussé par les coups de rein de4ernesto, Franck se rapproche de nous et il en vient à rouler une pelle à PH. Ernesto et moi continuons à les enculer jusqu'à jouir au fond de leurs culs. Un hurlement commun exprime nos libérations personnelles.
Prévenu par ce cri libératoire, Ammed est là avec de quoi nettoyer les dégâts superficiel. J'ai retenu le jus de PH derrière son prépuce pour éviter qu'il se mélange à l'eau de la piscine et le seul moyen que j'ai trouvé pour éviter les fuites aura été de l'avaler.
Après m'être désengagé de son cul (son anneau se fermant bien derrière mon gland), j'ai plongé et ai rapidement remplacé ma main par ma bouche. Malgré un peu d'eau chlorée, j'ai aspiré son sperme délicieux nettoyant son gland avec ma langue et aspirant les dernières gouttes encore présente au fond de son urêtre.
J'ai retrouvé l'air, tout essoufflé mais content qu'on ait rien laissé filtrer dans l'eau.
Nous passons la soirée tous les quatre, servi par Ammed et Samir. Chacun raconte ses vacances. Franck quoi qu'il nous ait dit n'est pas resté sobre et tout ça avec la bénédiction du grand père.
Nous lui envions tous un ancêtre autant tolérant. Je gaffe à moitié en disant que son époque n'avait pu lui permettre de mener la vie que l'on a et qu'il s'en consolait en permettant à Franck de bien en profiter.
Ce n'est qu'au dessert que Franck me donne un petit paquet avec l'enveloppe de la " pension ".
J'ouvre la lettre. Un mot accompagne un chèque dont la somme, plus que substantielle, n'aura pas de mal à couvrir les frais générés par son petit fils. Quelques lignes pour me remercier encore une fois et disant son regret quand à mon absence à La Baule. Plus bas, il me prie d'accepter le cadeau qui lui a fait énormément de plaisir à acquérir qu'il espère qu'il en fera autant à recevoir.
Je défais le paquet. Petit, très luxueux il ne comporte aucune indication de provenance. Quand le papier laisse apparaitre un écrin, je dis à Franck que son grand père à encore fait une folie.
J'ouvre et trouve, couché sur un coussinet de soie blanche, un superbe pendentif pour mon oreille. Un certificat plié serré et coincé dans le couvercle m'assure que la pierre taillée en larme est un diamant bleu de 5 carats d'une qualité exceptionnelle. Je permute immédiatement avec le pendant que je porte ce jour là, le premier que j'ai eu, cadeau d'Emma.
J'aime bien porter les diamants en été alors que je suis tout bronzé, je trouve que cela ressort plus que les pierres de couleurs.
Alors que j'allais exprimer mon plaisir mais aussi récriminer contre son aïeul, Franck me coupe me disant n'être responsable en rien.
J'appelle aussitôt. Dès que j'ai son grand père, je le remercie de sa folie et lui dis que ce n'est pas raisonnable. Il me répond qu'il l'a été toute sa vie (raisonnable) et qu'il n'a plus le temps de s'économiser. Je ris et lui souhaite de rester en vie le plus longtemps possible. Puis je m'étrangle, je viens de me rendre compte que cela pouvait paraitre vénal. Je bafouille quelques excuse alors que Franck est mort de rire à mes cotés et que son grand père est pareil à l'autre bout du fil.
Il nous souhaite une bonne semaine et ajoute un " bonnes bourres " d'actualité mais surprenant pour quelqu'un de son âge.
Je transmets le message au trio qui m'entoure. Ils m'assurent tous qu'ils s'y emploieront, ne serait ce que pour satisfaire L'aïeul.
Nous décidons de dormir tous les quatre ensembles et malgré l'excitation ambiante nous écrasons jusqu'au matin.
Samir me secoue délicatement afin de ne pas réveiller les autres. Passage à la douche, costume cravate et je pars à mon stage.
Je suis assez distrait toute la matinée bien que j'ai dégoté une sinécure et que je n'ai quasiment qu'à pomper un mémoire déjà réalisé.
Je retrouve mes comparses en milieu d'après midi, ayant été invité à déjeuner avec le boss et Emma.
Comme ils font attention à leurs lignes, je passe surement pour un gros morfal auprès de serveurs vu ma commande ! Mais Emma me dédouane, arguant que la jeunesse dépensait une telle énergie dans tout ce qu'elle faisait que c'était normal.
Je l'ai remercié d'un sourire.
Nous nous sommes séparés après le café dans une accolade toute familiale.
Retour à la maison. Je trouve mon trio en train de parfaire son bronzage. Ils se mettent à trois pour me dire que je leur ai manqué ce matin. Au réveil, ils n'avaient pu se retenir et avaient pris un acompte de sexe.
Je les traite d'obsédés de la bite et tout ce que j'ai droit c'est " oui papa ". j'ai le temps de mettre à l'eau Franck et PH mais avec Ernesto, l'issue est plus serrée, nous faisons quasiment le même poids et il est plus grand. Nous basculons ensemble dans le bassin. C'est Ammed qui va être content : mon costume !
La soirée se passe comme prévu entre baise et bouffe.
Deux jours plus tard, je reçois un appel d'Igor qui me demande si je peux héberger ses jumeaux quelques jours. Je rigole en lui disant que c'était à leurs risques et périls car J'avais déjà Franck et Ernesto.
Il me répond qu'ils savaient pour Ernesto et que c'est même pour ça que Tic et Tac l'avaient tanné jusqu'à ce qu'il m'appelle. Pour Franck ça fera un bonus !
Il me dit qu'il avait eu Marc au téléphone et que ce dernier me laissait libre de ma décision. Bonne blague, comme si j'allais refuser !!
Il nous les dépose en partant à son taf à 7h30 le matin. Du coup c'est eux qui viennent nous réveiller.
Ils se glissent à poil dans notre grand lit par les pieds. Nous nous réveillons alors qu'ils sucent et branlent nos érections matinales.
Ils n'ont pas perdu " la main " pendant les vacances. Et leurs gorges profondes savent encore accueillir nos glands, même celui d'Ernesto qui est pourtant poussé par 21 bon cm de chair raide à souhait.
Nous les remercions en leur rendant la pareille et bientôt les cris de joie de nos retrouvailles sont remplacés par les " slurp " " slurp " et autres gargouillis de nos sucettes réciproques
Nous entamons la journée par une belle production de spermatozoïdes.
Ammed et Samir ont heureusement préparé un petit déjeuner de compétition. Nous avons le choix entre continental ou anglais et finalement, tous, nous profitons des deux et les croissants comme le bacon et les oeufs disparaissent de la table sans laisser de traces.
Je les quitte pour aller taffer à mon stage.
Impatient de les retrouver, j'expédie les quelques taches qui me sont confiées et me casse faisant gicler les gravillons sous les pneus de ma SLS.
Mon arrivée ressemble à mon départ avec une gerbe de sable au lieu des gravillons.
Ils m'attendaient pour déjeuner. Nous siestons gentiment après le café, recommençant avec les derniers arrivés les échanges sur les vacances.
Jardinier