1er Épisode |
Épisode précédent
Soumission & Domination 249
François suite 2 et vacances de Noël.
François est revenu tous les WE jusqu'aux vacances de noël. Il progresse à toute vitesse et mes clients sont très contents de ses prestations. Il est maintenant aussi bon que mes autres escorts, dixit André qui les a tous vu et testé.
Je l'ai envoyé en du avec Jona chez le père de Jean. C'était sa première participation à une double sodo en tant qu'actif. Il en est revenu tout excité.
Je l'ai poussé à analyser les raisons de son enthousiasme et il a fini par convenir que c'était parce que la bite de son Jona pressait la sienne que c'était ci bon !
Il a surtout trouvé que George était une sacré salope question cul. Avec Jona ils s'étaient amusés de sa bouche et de son cul à plus savoir comment s'enfoncer dedans. C'était la première fois qu'il baisait un mec aussi insatiable. Ils l'ont fait jouir deux fois avant d'eux même juter et il leur a fallut remettre ça tellement il en voulait. Heureusement qu'à 18 et 20 ans on a de la ressource ! Jona l'a fait patienter en jouant de ses godes dans son cul le temps qu'ils rebandent tous les deux et ils l'ont ré enculer grave hard. Ils ont même touchés un bonus en liquide (euros pas sperme !).
Soudain il me demande si c'était autorisé. Je lui dis que ce n'est pas courant, ils avaient du être vraiment très bon tous les deux.
Je le laisse tranquille pour les vacances, il a ses partiels début janvier.
D'ailleurs pour les vacances nous arrivent d'Espagne, Ernesto et Hervé. Marc a pris aussi des vacances et nous nous retrouvons tous les 5 au blockhaus (sans compter Samir et Ammed et Jimmy qui nous rejoint de notre campagne).
Les retrouvailles sont bruyantes. Cela faisait plusieurs mois qu'ils n'étaient remontés.
Avec Ernesto et PH, nous nous isolons un peu histoire de tout nous raconter. Il est de plus en plus beau ce salaud. Il s'est inscrit à un club de sport à coté de chez lui et les effets commencent à se voir. Il était déjà bien bâti mais maintenant, ses muscles plutôt longs se sont un peu plus gonflés et le résultat est hyper bandant.
Sous prétexte de l'aider à défaire les bagages, nous l'accompagnons à l'étage du dessous.
Dans le monte charge, nous ne pouvons nous retenir et les pelles et les caresses se succèdent au point que nous nous retrouvons à poil, les jeans sur les chevilles quand les portes se rouvrent. Titubants, manquant de tomber plusieurs fois, nous titubons jusqu'à la chambre d'amis, où nous nous affalons sur le lit. Quelques battements de jambes plus tard (pour nous débarrasser de nos pantalons), et nous commençons un câlin de la mort.
Les 24cm de notre ibère nous avaient manqués et nous nous chargeons de le lui prouver. Ce qui est bien avec une telle bite c'est qu'il y a de la place pour deux. Il nous demande de nous tourner et comme cela il n'a qu'à tourner la tête à droite pour me sucer et à gauche pour sucer PH.
Je mets un peu de temps à prendre son gland dans ma gorge. Mais c'est trop bon quand j'y arrive. C'est du moins ce que me dit Ernesto. PH me suit aussitôt, pas question qu'il se laisse distancer sur le sujet, et quel sujet !
Nos trois bites sont raides de plaisir. J'imagine l'effet de mon cadeau de noël quand Ernesto le portera (j'ai prévu de lui offrir un cockring en or rose).
Cela ne m'empêche pas de me battre avec PH pour lui sucer la queue comme un ouf en attendant.
Nous alternons bouffage de queue avec malaxage de boules et inversons régulièrement.
Nous passons en triangle, chacun s'occupant de la bite d'un autre et nous intervertissons pour les avoir tous à un moment où un autre dans la bouche. C'est Ernesto qui, le premier, attaque l'autre versant en ventousant la rondelle de PH. Je le rejoins et à nous deux nous chauffons PH.
Bien qu'affamé de la queue espagnole, je laisse mon PH en profiter le premier.
Quand Ernesto va pour l'enculer, je remarque qu'il lui a super bien préparé la rondelle. Elle est ouverte et luisante de salive. Je roule un patin à PH tout pendant qu'Ernesto s'enfonce en lui. Quand il est bien carré au fond, je le laisse respirer. Il me glisse que c'est trop bon.
Je m'assois sur sa tête afin qu'il me prépare mon petit trou. Sa langue s'agite, pointe et lubrifie ma rondelle comme il sait si bien le faire. Il ajoute deux doigts et je me déclare prêt à subir, à mon tour, l'invasion espagnole.
Ernesto nous suggère alors de nous coucher l'un sur l'autre afin qu'il ait nos deux trous superposés.
PH reste due le dos et je me couche sur lui en coinçant nos deux bite l'une contre l'autre entre nos abdos. Il croise ses jambes autour de mes hanche et je replis les miennes pour laisser la place.
Ernesto se kpote et commence par reprendre le cul de PH. Je sens qu'il fait couler un peu de gel sur ma rondelle et qu'il l'enfonce avec ses doigts. Ernesto se retire complètement de PH et je sens aussitôt ma rondelle s'ouvrir sous la pression de son gland. Je me détends et laisse passer son gland. Dès ce dernier totalement entré je serre mon anneau. Ça le stoppe dans sa progression et il nous pousse de quelques cm sur le lit emporté par l'élan qu'il avait mis à me pénétrer.
Je relâche la pression et il m'enfile le reste de ses 24cm au plus profond de mon cul. Il est vraiment trop bon ! Il ne reste pas longtemps au fond et se retire pour me limer la rondelle. Ses coups de reins sont dévastateurs et son gland frotte ma prostate avec une efficacité qui m'emporte. Avant que j'explose, il sort de mon trou pour s'enfoncer dans celui de PH. Il se décolle de ma bouche pour respirer un grand coup avant de me rouler de nouveau une pelle.
Ernesto n'a le temps que de changer deux autres fois de cul avant de remplir sa kpote et que nous mélangions nos spermes entre nos abdos.
Une douche plus tard, retour à l'étage du dessus où Marc et Hervé nous accueillent avec de grands sourires et en nous demandant si nous nous ne sentions pas un peu plus légers avec les couilles vides.
Je m'approche d'Hervé et lui roule un patin en lui disant qu'il ne devait pas être aussi possessif car sans nous il n'y aurait pas de " Hervé & Ernesto ".
Pendant l'apéritif, nous discutons de l'organisation de noël.
Le 24 au soir c'est juste entre nous 8 avec, je pense, une fin en partouze comprenant exceptionnellement Samir, Ammed et Jimmy.
Pour le 25 nous sommes invités chez Emma (ma mère) tous les 5.
L'initiative vient d'elle. Elle m'a dit qu'elle ne voulait pas passer cette journée seule dans sa grande maison.
La veille de noël :
Samir et Ammed ont fait les choses en grand et nous régalent d'un diner plus que parfait. Le foie gras fait maison est un délice. On se régale de langoustes thermidor avec pour finir un saint Honoré tout à fait convainquant.
Nous échangeons les cadeaux.
Ernesto est ravi de son cockring et l'essaye de suite. Comme il bande dès la pose, il ne remballe pas sa bite qui de toutes les façons ne rentrerait plus dans son jeans !
(Jimmy se glisse entre ses cuisses et embouche le boa). Il reçoit d'Hervé un simple mais magnifique anneau en or qui, d'après ses dires, est la preuve de son amour.
Evidemment, nos lazzis couvrent la fin de son discourt et l'empêche de tomber dans la sensiblerie.
Hervé est content des livres de photos de Pierre & Gilles qu'on lui offre. On voit ses yeux briller quand à son tour il reçoit d'Ernesto un anneau semblable à celui qu'il vient de lui offrir. Là c'est le grand éclat de rire.
Marc reçoit de notre part (PH et moi) un cockring spécial voyage, je l'ai fait faire ouvrant pour qu'il puisse le porter en bracelet. C'est plus discret pour passer les portiques d'aéroport !
De sa part nous recevons des " jouets " sexuels en provenance directe d'Asie. Après quelques minutes de réflexion, nous comprenons comment ça marche et devant tout le monde nous nous foutons à poil pour les tester.
Avant que cela n'aille trop loin, Marc propose à tout le monde de descendre à la " cave ". Ammed nous apporte, à PH et moi, deux peignoirs et nous descendons tous par le monte-charge. Le jouet que j'ai dans mon cul me chauffe à chaque pas que je fais. La traversée du garage est faite en courant. Et nous descendons l'escalier.
L'entrée dans le nouveau donjon provoque des Oh et des Ah plus intéressés qu'admiratifs. Je lance la projection d'un film bien chaud pour faire le fond sonore et les éclairages qui soulignent tel ou tel " agrès ".
Avec Jimmy et PH, je mets Ernesto à poil alors que ses " oncles " font de même avec Marc et Hervé. Eux n'ont qu'à faire sauter les pressions de leurs shorty en cuir pour nous rejoindre dans le même appareil.
Les bites encore moles se détendent et gonflent sous l'afflux de sang bouillonnant.
Les bidules asiatiques ont bien fait leur taf et je suis chaud prêt à me faire saillir comme la salope que je sais parfois être.
Marc en tant que " propriétaire " est le premier à me passer dessus. Il se glisse le long du truc qui encombre déjà mon trou et me pilonne le cul. Pas de risque qu'il m'enfonce involontairement le jouet, celui-ci à une sécurité qui est passé autour de mes couilles.
En attendant, la présence des deux engins, le naturel et le synthétique me font grimper. Les coups de gland sur les boules qui encombrent mon boyau envoient des vibrations dans tous mon corps et pulsent jusque dans ma bite.
PH qui a remarqué que je bande comme un fou, se glisse sous moi et se défonce le cul sur ma bite.
A nos cotés Hervé se fait le cul de son Ernesto. Je vois juste dépasser de sous notre ami, les jambes de Jimmy surement en train de lui avaler ses 24cm.
Samir, de son coté, a immobilisé Ammed sur la croix de saint André et commence à le " torturer ". Nous le voyons travailler comme un pro. Cela nous fait tous cesser nos propres mouvements pour admirer l'adresse avec laquelle il oeuvre sur le corps d'Ammed.
Je ne les avais pas suivis depuis longtemps même si je savais qu'Ammed était devenu très maso. L'autorisation que nous leur avons faite d'utiliser les installations n'est pas restée lettre morte et cela se voit.
Nous nous déboitons même les uns des autres pour regarder Samir travailler. Seul Jimmy ne s'intéresse pas au spectacle et passe de bite en bite, couvrir nos glands de sa bouche chaude et glissante.
Samir va progressivement dans la " stimulation " d'Ammed, mais il stimule la moindre parcelle de ce corps musclé. Bien sur les tétons sont mordus par des pinces crocodile et les couilles étirées par un parachute lesté de quelques poids en plomb.
Sa bite est bientôt enrobée d'un stimulateur électrique et son trou occupé d'un plug métallique branché au même appareil. Nous admirons après les effets de la " fée électricité ". Samir commence doucement mais augmente rapidement les intensités. Ammed bande à mort et nous voyons son cul et sa bite tressauter à chaque impulsion.
Quand il en termine avec lui, une demi-heure plus tard, ce dernier explose et déverse des litres de jus dans une délivrance visible.
Nous reprenons nos propres ébats. Qui sur un banc, qui sur un des slings à disposition. Les deux heures qui suivent nous pénétrons et nous faisons sodomiser à tour de rôle. A un moment je ne sais qui m'encule que par les sensations d'écartement que me retransmet ma rondelle.
Je crois bien qu'à part Jimmy et Ammed, tous m'ont labouré le trou dans la soirée. De mon coté, à part les culs d'Hervé et de Marc, j'ai trempé ma queue dans tous les autres.
Dans celui d'Ammed, après le travail que lui avait fait subir Samir, c'est à deux que nous y sommes rentrés.
Je me souviens même de l'avoir limer avec Ernesto. Ça lui faisait un bel effet. Ce n'est pas le seul à avoir subit des doubles sodos, Jimmy, avec sa souplesse exceptionnelle, réclame le même type de traitement. Marc et Hervé se font un plaisir de remplir son petit trou.
Ce n'est qu'après s'être vidé au moins deux fois les couilles que nous décidons d'un arrêt des " hostilités ".
Nous laissons Samir, Ammed et Jimmy se laver en premier. Le fond du donjon, carrelé de noir blanchit, par contraste, les corps nus sous les jets d'eau.
Ils remontent préparer un dernier cordial pendant que nous nous douchons à notre tour.
A notre arrivée au 4ème c'est une coupe de champagne qui nous attend. Eclusée rapidement nous allons tous nous coucher.
Alors que je voulais inviter nos invités dans notre grand lit, Ernesto me fait signe qu'il préférait dormir seul avec son mec. Faut dure que nos deux hommes (Marc et Hervé) revenaient tout juste de voyage et qu'ils n'avait eu qu'une nuit avant d'arrivé chez nous.
Noël :
Je suis le premier réveillé. Je secoue PH tout en faisant attention de laisser Marc dormir. Nous glissons hors de la chambre et rejoignons celle de nos invités.
Ils dorment encore. Hervé tient Ernesto dans ses bras, le chauffage les a fait rejetter leurs draps et nus, ils sont beaux.
Je me charge de réveiller Ernesto. C'est chose faite 2mn plus tard sans autre effet sur Hervé que de le faire basculer sur le dos. Même le claquement de sa queue bandée sur ses abdos ne le réveille pas. J'envoie PH sucer le dormeur alors qu'avec Ernesto nous entamons un 69.
C'est évident qu'Hervé finit par ouvrir un oeil. S'il est surpris que ce soit une tête blonde qui le pompe, il s'en satisfait et ses mains viennent régler le rythme sur la tête de PH.
Quand apparait Marc, réveillé par le vide crée par notre départ, je me décolle d'Ernesto et tous les deux, nous nous occupons des 22cm de Marc. Nous faisons jouir nos deux " hommes " avant de nous même éjaculer dans une branlette triangulaire.
Douche et petits déjeuners en boxers. Vu l'heure, passage par la case dressing pour trouver des vêtements un peu chics. Ernesto tape dans notre stock. C'est limite si mon smoking lui irait mieux qu'à moi ! Il en mâtine la veste avec un Jeans noir D&G.
Nous empruntons la " bétaillère " (la Chrysler 300C) qui, seule, peut nous accueillir tous les 5.
Jardinier