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Soumission & Domination 251
Nouvel an 2013
Le reste de la semaine s'est passé en préparatifs pour notre réception du 31. Comme tous les ans grosse teuf/touze pour le 31. Les amis arrivent de tous les cotés et ne manqueraient pour rien au monde ce grand moment de débauche sexuelle !
Les parisiens forment un bon contingent avec Kev que son boss/mari laisse libre ce soir là, Bo-gosse et Moitié. Alban sera des nôtres cette année, attiré par la présence de Ric !
Les potes de La Palmyre seront là aussi, Jérôme et son Frédéric, Manu et Théo.
Bruno et Arnaud nos voisins de la campagne, Igor et ses jumeaux Tic et Tac collés du petit Théo, et donc aussi son frère Ed ne manqueraient cette fête sous aucun prétexte. Second et Julien, nos " manuels " arriveront dès la fermeture de la boutique de Julien.
Nos architectes préférés, Olivier et Pierre nous ont répondu positif.
Les motards, Eric et son petit Cédric, Phil et Luc, Daniel, Franck et donc Louis ont répondus présent. Nous attendons de Suisse Pablo le grand frère d'Ernesto qui a négocié de travailler à noël pour avoir son 31 et 1er.
Absents, Jean coincé avec son client privilégié, nos amis du sud, Alex et Johan (mon sosie) qui sont en vacances au soleil.
Petit calcul : nous seront 33 sans compter Samir et Ammed. Belle logistique !
Pour être certain que Maxou ne fera pas de connerie ce soir là, je l'ai confié/loué à André le père de Ric avec qui il avait déjà passé les dernières vacances.
Nous ne sommes pas trop de trois pour tout mettre en place (bien secondés par Samir et Ammed). Toutes les chambres sont préparées et équipées, pas seulement de draps et couettes, mais aussi en kpotes, gels divers... Les salles de bain sont remplies de produits pour le corps et de draps éponge..
En ce qui concerne la bouffe, j'ai commandé tout le salé chez Julien et le sucré dans la meilleure pâtisserie de la ville.
Contingences matérielles, il a fallu augmenter nos capacités de froid et le 30 nous recevons deux énormes frigos qui trouvent place au ré de chaussée. Juste a temps pour recevoir les livraisons de bouffe. Pour éviter les mélanges d'alcool, nous optons pour du champagne avec deux variantes : brut et rosé. J'en avais fait rentrer 15 caisses toutes maintenues à 10° dans la cave.
Le 31 matin, je prête ma 300SLS à Ernesto pour qu'il aille chercher son frère à l'aéroport. Pendant ce temps là les invités commencent à arriver. Ric arrive avec Alban qu'il a pris à la gare.
Contrairement à ses habitudes, il amène avec lui les esquisses et les photos de nos cariatides en cours de création. Ric est aussi pressé que nous de les voir car il en est le modèle. Ça avance bien et même " soviétisé ", nous reconnaissons son visage.
Avant que les autres arrivent, Ric me demande où nous comptions les loger afin qu'ils puissent s'installer. Je les accompagne et leur laisse libre choix, tout en leur disant de prendre leur temps. Nous ne les reverrons qu'une heure et demi plus tard deux sourires béats ornant leurs visages. Pas besoin d'avoir vu ce qu'ils avaient fait pour le savoir !
Nos deux Espagnols de frères sont arrivés. Pablo roule des pelles à tout le monde, content de nous revoir.
Je le prends à part quelques minutes pour lui dire que je voulais lui faire une proposition avant qu'il ne reparte. Il me dit qu'on a qu'à en parler tout de suite avant que les autres invités n'arrivent.
Je lui transmets le désir de ma mère de le voir prendre la place de sa cuisinière vieillissante, à ses propres conditions si elles ne sont pas extravagantes. Il me demande s'il peut la rencontrer. Je téléphone direct à Emma et elle nous dit de venir en début d'après midi.
Nous déjeunons tous sur le pouce d'un brunch improvisé par Ammed.
Nous laissons les autres le temps de faire un saut chez ma mère. Elle nous reçoit dans le salon, explique à Pablo sa problématique et lui demande ses conditions. Le salaire expédié (elle s'aligne sans problème sur ses émoluments suisses), elle lui annonce le cadre de travail. Service des petit déjeuners, déjeuners et diners avec l'aide de sa vieille cuisinière dont il sera le chef, à lui de la prendre dans le sens du poil pour s'en faire une alliée, ce qui lui permettra de prendre du temps pour lui quand le service de la maison sera minimum. Logement T3 dans le pavillon d'entrée au dessus du garage avec entrée indépendante, utilisation possible des véhicules de la maison pour son service mais aussi pour ses déplacements personnels, selon leurs disponibilités, avec juste à prévenir le majordome. Il pourra aussi, s'il le désire, exercer à façon chez des amis et connaissances tant que cela n'entre pas en concurrence avec ses propres réceptions. Et bien sur les 5 semaines de vacances légales en France.
Ernesto demande un moment de réflexion. Emma le pousse dans son bureau et lui dit que s'il veut parler à Ernesto il n'a qu'à utiliser le téléphone. Avant que nous nous retirions, il me demande de rester. On discute un peu sur la charge de travail. Je lui dis qu'il aura le plus souvent une personne à servir, Emma, environ 1 fois par semaine un diner en petit comité et 6 à 7 fois par an une grande réception. Il me dit que les 5 semaines de vacances c'est génial par rapport à ses 3 semaines péniblement arrachées à ses suisses. Il me questionne sur ses possibilités de taf extérieur. Je lui parle des amis de ma mère qui, sans avoir de cuisinier à demeure seront très intéressés pas ses capacité dès qu'ils auront été conquis par sa cuisine chez Emma et je lui parle de mes " beaux parents ", qui ont parfois besoin de plus que leur cuisinière maison.
Je le laisse pour qu'il téléphone à Ernesto.
Quand il nous rejoint, il demande quelques précisions puis accepte mais avec un délai d'un mois pour se défaire de ses employeurs actuels.
Pendant le trajet de retour, il me dit qu'il n'aura peut être pas autant de repas de gala à faire qu'avec ses suisses mais qu'il disposera d'une totale liberté de création en plus de conditions de travail plus généreuses. Je lui propose alors que s'il a besoin d'un cadre légal pour vendre ses services culinaires, il pourra utiliser les structures de ma société. J'aurais même peut être des clients " sexe " intéressés par ses facultés.
Je lui demande ce qu'en a pensé Ernesto. Il me dit qu'il était super content car ils se verraient plus mais qu'il ne comptait pas pour le moment émigrer lui aussi. Il avait trouvé un bon équilibre entre leur appart (à Hervé et lui), leur vie semi-commune et ses clients Barcelonais.
Quand nous rejoignons le Blockhaus, nous y trouvons tous nos invités arrivés (sauf Second et Julien).
Le champagne est déjà débouché et tous se joignent à moi pour souhaiter à Pablo, une bonne venue en France. La fin d'après midi / début de soirée se passe en discussions diverses, prise ou reprise de contact pour certains. Pas encore de divergences vers le coté sexuel de nos retrouvailles, ils sont tous là jusqu'à demain soir !
Samir et Ammed ont toujours autant de succès dans leurs shortys en cuir noir que l'usure a moulés au plus près de leurs anatomies.
Quand second et Julien débarquent ça commence a devenir chaud. Faut dire qu'ils sont arrivés très " sex ", jeans slims moulant leurs cuisses musclées et leurs culs ronds et t-shirts exhibant leur travail en salle de muscu.
Ils n'avaient pas fini de dire bonjour à tous que leurs t-shirt avaient quitté leurs torses !
Je crois bien que c'est Moitié qui a lancé les hostilités en renversant sa flute de champagne sur les pecs épilés de frais de Second et en se précipitant dessus pour récupérer le vin avec sa langue.
A partir de ce moment là, j'ai perdu le déroulé de la fête. Attrapé par Pablo qui voulait être le premier à me remercier pour l'invitation et ses conséquences. Et surtout être le premier à m'enculer. Je me laisse faire non sans lui avoir prodigué une pipe en mode gorge profonde comme je sais bien le faire. Je retrouve la même bite que celle d'Ernesto mais avec une façon d'opérer totalement différente. Il est plus viril dans sa possession de mon cul, et ce n'est pas désagréable (mon coté salope qui se réveille...comme s'il s'était jamais endormi !).
Autour de nous les mecs se mélangent, se sucent, s'enculent, les " couples " se sont dissouts et les moitiés testent les autres mâles.
Louis, pour qui c'est la première touze de ce genre, s'est vite mis au diapason après quelques instants de timidité, vite dissipés par les avances des mâles en mal de chairs fraiches et encore inconnues.
Après mon intermède Hispano-suisse, je le trouve embroché par Bo-gosse et Igor. A l'occasion d'une prise d'air, il me dit que c'est trop fun cette touze. Franck, son " mari " est en train de se faire le cul de Théo.
Les fauteuils sont partagés, les canapés servent de supports aux baises de groupe et la table basse (heureusement très solide) permet de mettre 4 culs à la bonne hauteur pour les faire défoncer par 4 mâles debout.
J'ai faim. Le comptoir de la cuisine sert de buffet avec la grande table à manger. Je grignote, je ne tiens pas à gerber au prochain gland qui passera de l'autre coté de ma luette !
Après m'être penché sur la queue bandée d'Hervé pour m'assurer qu'elle est bien dure et prête à défoncer le cul de Tac dont il vient de faire la connaissance, je m'aperçois qu'il manque une partie des invités. Le temps de voir des jambes s'agiter dans l'eau au dessus de la cuisine et de m'apercevoir qu'une partie à du émigrer sur la terrasse, je les rejoins. Ils sont bien partis et je vois Jérôme et Manu commencer un concours de pipes en apnée sur Olivier et Kev. Je rappel juste qu'il ne faut pas juter dans l'eau sous peine de voir le bassin fermer. De l'autre coté de la rambarde monte jusqu'à nous des halètements caractéristiques d'une sodomie bien menée. Je me penche et entre les feuillages tropicaux, je devine Eric en train d'enculer un cul plutôt étroit pour son gros calibre (26 x 7). A l'occasion d'un changement de position je vois qu'il s'agit de p'tit Théo (celui de Tic, frère d'Ed). le plus petit format de la touze se fait sodomiser par la plus grosse queue présente. Je descends voir ça.
Quand j'arrive, Eric lime toujours la rondelle de p'tit Théo. Je m'approche. Il est en train de l'enculer en levrette. Pour me montrer la rondelle éclatée, il écarte les fesses de Théo avec ses pouces. La vue est superbe ! Sa grosse et longue bite noire pistonne le trou un peu rougi séparant deux fesses d'une blancheur et douceur juvénile. P'tit Théo m'aperçoit. Il me fait un grand sourire et me dit que c'est trop bon ! Je lui avoue tout bas que je l'ai testé avant lui et que je sais tout le bien que sa queue peut provoquer.
Des soupirs vers le fond du " jardin " m'attirent. Derrière les bacs de palmiers et de rhododendrons je découvre un quatuor qui ne manque pas d'imagination.
Cédric et Arnaud sont en train de se faire défoncer par Second et Julien. Les deux minets se roulent des pelles alors que nos deux " Musclors " les enculent tout en les portant. Je passe ma langue dans les bouches de mes deux sportifs et me place derrière second et kpoté m'enfonce dans la moiteur de son cul.
Et dire que la première fois où je me le suis fait, il venait d'être mis à la bite par son Maçon de patron et que j'avais du lui apprendre à sucer correctement enfin profondément !
Il s'est méchamment développé question muscles et diversifié coté sexe. Mais sa rondelle est toujours aussi bonne à limer.
Julien me voit faire et me demande comment je la retrouve (la rondelle de Second).
Je lui dis que l'utilisation qu'il en fait la garde bien nerveuse et voluptueuse à souhait.
Nous changeons de position, fatigue musculaire et équilibre précaire !
Arnaud dos sur un des bancs de notre jardin tropical supporte Cédric en 69 Julien et Second réinvestissent leurs rondelles en manque. Quand à moi, je passe du cul de Second à celui de Julien (qui est moins rodé à cette pratique) sans changer de kpote puisqu'entre eux, ils baisent sans (statuts sérologiques réalisés et similairement négatifs).
L'anneau de Julien est un peu serré et ce n'est que meilleur ! J'ai du lubrifier un max avant de réussir à le pénétrer. Second me dit qu'il n'y va pas assez souvent car il préfère recevoir son mec dans le cul. Entre eux, nos deux jeunes se défoncent leurs bouches respectives. Ils jutent les premiers, se couvrant mutuellement de sperme.
Je suis dans le cul de Julien au moment ou ce dernier jouit. Son sphincter me serre la queue délicieusement et je rempli ma kpote en trois coups de rein qui m'enfoncent au plus profond de son cul.
Nous nous désagrégeons. Les deux jeunes courent au monte-charge pour rejoindre les autres au 4ème, à la recherche de nouvelles bites à honorer. Avec Second et Julien, nous prenons un moment. Je félicite de dernier pour la finesse du buffet qu'il nous a réalisé. Je demande à Samir au 4ème de nous envoyer une bouteille de champ. Elle nous arrive par le monte-plat. Je fais sauter le bouchon et nous buvons à la bouteille vu que j'avais oublié de demander des coupes ! le champagne coule sur nos bustes et tous les trois, nous nous léchons pour ne pas perdre. Ils sont vraiment bien musclés eux aussi. Quand je leur demande, ils me disent avoir investis dans du matériel car l'un comme l'autre n'a le temps d'aller dans une salle de sport. Ils s'entrainent et s'entraident tous les deux. Nous prenons des poses faisant ressortir nos muscles. J'avais déjà vu la fermeté de leurs fessiers, le reste est à l'avenant. Quand nous remontons, les autres sont en " pause " sauf nos deux voraces qui se sont trouvé les queues de Marc et Hervé à faire dégorger.
Je m'aperçois que la soirée est bien entamée et qu'il ne manque que quelques minutes pour terminer l'année.
Bien que nous soyons tous à poil, les discutions reprennent. Alban est félicité par ceux qui ne le connaissaient pas pour la sculpture qui occupe le centre de la terrasse. Quand Ric dit qu'il lui sert de modèle pour la réalisation de deux cariatides, il se fait huer et arroser de champagne.
Minuit est là. Embrassade générale, qui dure ! Je crois bien que le roulage de pelle général nous a pris une bonne demi-heure. Les deux heures qui ont suivies ont permis les dernières permutations possibles.
A la suite de quoi, bien fatigués nous avons rejoints les étages de nuits (3ème et premier). Avant de tomber dans les bras de Morphée, j'ai lancé les enregistrements des vidéosurveillances des chambres.
Je me joins à mes espagnols trop heureux de se retrouver. Je me coule entre eux et m'endors dans les bras de Pablo serrant Ernesto dans les miens. Avant de tomber de sommeil, je m'aperçois que PH s'est enroulé dans ceux d'Ernesto.
Au réveil le premier janvier, j'entends gémir. C'est PH qui se prend Ernesto alors qu'il est encore dans mes bras. Je sens contre ma rondelle le gland enkpoté de son frère tenter de me pénétrer. Je me suis détendu et lentement je l'ai senti progresser en moi. Mes gémissements se sont joints à ceux de mon PH. Et c'est ensemble que nous avons jouis sous les coups des deux bites espagnoles.
Au petit déjeuner / brunch vu l'heure avancée de la matinée, certains sont déjà en train de pomper. Quand ils ne se font pas enculer, comme Cédric empalé sur sa bite préférée, les 26cm de chair noire d'Eric. Cela ne l'empêche pas de savourer son café entre deux périodes de limage.
Ayant eu notre dose pour quelques 10aines de minutes au moins, PH et moi nous nous restaurons en compagnie de Pablo et Ernesto. Marc nous rejoint et nous demande comment s'est passée la nuit. Je lui réponds que la nuit fut calme contrairement au réveil. Il éclate de rire et nous dit qu'il en a été de même pour lui avec le cul de Louis comme réceptacle de sa bandaison matinale.
Les exemples sous nos yeux réveillent les libidos encore somnolentes et les croissants ne sont pas finis que le séjour ressemble au bordel de la veille. Ça nique dans tous les coins. Après Cédric, c'est le cul de Kev qui s'embroche sur le barreau noir. Le gel coule à flot et les vapeurs de poppers envahissent l'air ambiant. J'encule Franck devant les yeux de son Louis lui-même sodomisé par Igor. Les couilles sont sèches et les montées en jouissances longues. Mais à l'heure du café, toutes sont de nouveau vides !
Le reste de l'après midi se passe en douches et barbotages dans les piscines.
Ernesto me redemande la 300SLS pour reconduire Pablo à l'aéroport.
Quand il revient, il me saute au cou pour me remercier du taf que j'ai trouvé à Pablo. Ne le voir que trois fois par an, l'avait peiné plus qu'il ne l'avait pensé au premier abord.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!