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WE à Paris-1
Comme cela fait longtemps que nous sommes allés à Paris. Henri et Kev insistent pour nous recevoir depuis la soirée chez Emma.
Nous débarquons un vendredi soir tous les trois à la gare Montparnasse. Kev nous attendait sur le quai. Nous nous entassons dans un taxi qui nous emmène chez lui.
Ludovic admire le duplex. Notamment la toile de Moitié que lui a offerte Henri. Quand je demande où est la sculpture d'Alban, Kev me dit qu'Henri l'a gardé dans son appartement.
Nous prenons un rafraichissement et Kev nous annonce le programme.
Ce soir, nous dévons aller chercher Ernesto à Orly puis dîner dans un petit restaurant qu'il aime bien dans le 5ème. Il a déjà retenu une voiture avec chauffeur pour aller le chercher. Ce soir Henri à des obligations, nous le retrouverons demain.
Je suis content qu'il ait pris l'initiative de faire venir Ernesto, le 4ème mousquetaire !
Ludovic est intrigué par la vue de l'appart. PH lui indique les monuments visibles par les fenêtres.
La voiture s'annonçant, nous descendons et partons à l'aéroport. Nous sommes en avance. On traine dans le hall en attendant. Son avion est annoncé et rapidement il nous rejoint. Pas de valise en soute pour le retarder.
Embrassades, ici pas de remarques désobligeantes comme en province. Ernesto est tout content d'être avec nous. Nous rentrons sur Paris et le chauffeur nous laisse directement au restaurant.
Kev est connu dans l'établissement. Nous avons une table un peu à l'écart, plus tranquille. La bouffe est bonne et le service rapide. Avec le vin, nous sommes tous très " heureux ". Les gestes ne se font pas plus tendres mais moins retenus, les rires aussi. Heureusement que le restaurant se vide en même temps que nous montons en puissance. Le cuisto-proprio, nous rejoints à la fin du service. Il s'assoit et nous fait servir un alcool de sa réserve. Ça va nous achever ça !
Nous le félicitons pour ses plats. Il balaye ça d'un revers de main. J'insiste, il finit par rosir un peu. Quand nous partons la nuit est bien avancée. Plutôt que de prendre le métro nous décidons comme la nuit est douce de rentrer à pied. A vue de nez on en a pour 1/2 heure de marche. Et c'est pas 5 mecs, carrés, qu'on va venir chatouiller !
En effet nous rentrons sans nous faire emmerder. Sans faire peur pour autant notre petit groupe faisait changer de trottoir les gens que nous croisions.
Un dernier verre à l'appart. Avachis dans les canapés en cuir, nous sirotons un Jet27 sur glaçon. Kev nous raconte ses plans à côtés d'Henri. Je lui demande s'il voit toujours son musclor. Il rit et me dit qu'un mec pareil, on se le garde toujours pour le fonds de commerce.
J'explique aux autres la bête en question. Ludovic remarque qu'il ne s'en fait pas notre ami.
Ernesto, lui, remarque que question bite, Kev devait quand même pas trouver tous les jours un engin comme le sien pour se faire du bien.
Eclat de rire de l'intéressé. Il nous dit qu'il aime bien se faire défoncer mais pas tous les jours par un calibre pareil. Comme ça il apprécie quand ça lui arrive.
Ludovic ne s'étonne plus de la liberté avec laquelle nous parlons de sexe entre nous.
Kev raconte à nos amis comment nous nous sommes connus, enfin rencontrés puis " connus " ! Si PH connaissait l'histoire, ce n'est pas le cas d'Ernesto et de Ludovic.
Evidemment je passe une nouvelle fois pour un obsédé. Je m'en fous, je lui rappelle qu'il passait son temps à l'époque à enculer des vieux dans les dunes pour payer ses études. Je pense que c'est même lui qui m'a donné l'idée de ma boite.
Ludovic n'avais pas pensé qu'il faisait ça ! Il commence à ouvrir les yeux sur le monde réel. Même si chez eux ce n'est pas la richesse, il n'a jamais eu à subvenir à ses propres besoins. Il s'aperçoit qu'il a grandi dans un cocon.
Fatigués, nous nous entassons tous les 5 dans la chambre de Kev.
Evidemment, d'être collés nus contre les autres, ça ne peut que donner des idées et, multipliées par 5, ça dégénère vite !
L'alcool n'as plus d'effets, on est soudain tous réveillés et bandant comme des cerfs. Ça commence lascivement par de grandes pelles, dès léchages de corps. Des pecs aux bites. Il n'y a pas beaucoup de surface qui n'ont reçu le passage d'une langue ou d'une autre. Kev est un peu au centre et à un moment il se retrouve avec une bouche sur chaque téton occupée à mordiller ses extrémités sensibles, une à lui bouffer les couilles la dernière, la mienne, servant de capuchon à son gland.
Je prends plaisir à reconnaitre les particularités de son sexe. Son prépuce qui dégage très largement son gland. Le frein étiré qui vibre sous ma langue, la peau lisse et tendue par son érection, l'effet bouchon du rebord évasé de son gland dans le passage de ma gorge, me rappelle des souvenirs.
Nous le " martyrisons " jusqu'à ce qu'il demande grâce.il gueule qu'il veut aussi profiter de nous et de Ludovic en particulier qu'il ne connait pas encore. Dès que nous relâchons la pression, il se redresse et l'attrape pour faire " connaissance " !
Comme je trouve que leur pelle dure un peu trop longtemps, je pousse Ernesto à intercaler sa bite entre leurs bouches. Ils ne sont pas désarçonnés pour autant et notre Ibère se voit gratifié d'une pipe à deux bouches.
Je me glisse sous Ludovic et commence à lui bouffer la rondelle. Comme il va prendre grave bientôt, vaut mieux que cette dernière soit bien souple.
Quand je me redresse le travail fait, je vois que PH s'était occupé de celle de Kev.
Y'a de l'enculage dans l'air c'est sûr !
Je tire le bassin de Ludovic en arrière et me voyant faire, PH fait de même avec Kev. Ils se laissent faire et en rajoute même en cambrant au maximum leurs reins. Ça, c'est réclamer de la bite ou je ne m'y connais pas !
Comme je m'y connais, j'encule direct mon petit mec alors que PH se kpote avant de faire de même dans celui de Kev. Sous les poussées de nos bites, nos deux enculés gémissent de concert, s'écartant momentanément de la queue d'Ernesto, ils laissent échapper tout le bien que ça leur fait.
Je ne me lasse pas de la rondelle de Ludovic. Le petit spasme qui emprisonne mon gland juste après son entrée, la pression qu'il maintient pendant la pénétration de mes 17cm restants, tout en lui exacerbe la dureté de ma queue. Je ne peux me retenir de caresser la peau de son dos, de prendre ses épaules pour, avec un dernier coup de rein, affirmer ma prise et son appartenance à moi. Les laisser descendre sur sa taille fine, les poser sur ses hanches pour donner le mouvement de va et vient qui nous fait du bien à tous les deux.
En face de moi je vois mon PH prendre son pied à limer Kev. Quand je pense qu'avant que nous nous connaissions, il n'était qu'un actif qui enculait des vieux, il a bien évolué. Ma rondelle y a été pour quelque chose à l'époque !
Maintenant nos deux enculés se partagent alternativement le sexe entier d'Ernesto. Il y même comme un concours entre eux à qui en avalera le plus de cm. Ernesto commente et ça participe à la montée de l'excitation commune.
Nous changeons de positions et les bites changent de cul aussi quand ce n'est pas les culs associés qui se font perforer à leur tour.
C'est comme ça que je rajeuni en me prenant à nouveau celle de Kev dans le cul. Même les yeux bandés je le reconnaitrais entre mille. Pas à la forme ou à ses dimensions mais aux coups de rein qui la propulse à travers ma rondelle. Si je ferme les yeux, je sens le sable et l'iode que j'associerai toujours à lui.
Ludovic est sous moi en 69. Il se prend PH qui lui-même se fait enculer par Ernesto. Ce dernier le délaisse et je devine où il est arrivé quand le rythme de ma sodomie de détraque. Je délaisse le gland de Ludovic pour tourner la tête.
Gagné ! Ernesto se fait Kev. Effets collatéraux : rythme différents et augmentation notable de la bite qui me lime la rondelle. Notre ami Kev bande plus fort quand il est lui-même sodomisé. Intéressant comme information ! En attendant, ça me fait de l'effet et Ludovic en profite, je lui enfonce encore plus loin mon gland dans sa gorge.
Mais entre sa pipe qui excite à mort mon gland et la sodo qui brutalise ma prostate, je ne tiens plus très longtemps et je me vide de litres de foutre gluant.
On entend distinctement Ludovic déglutir pour avaler ma production. Je ne sais si c'est cela ou un timing précis mais les autres participants jutent à leur tour. Kev et Ernesto dans leurs kpotes alors que PH dose à crue mon ludovic.
C'est quand on se réveille qu'on s'aperçoit que nous n'avons même pas eu le temps de prendre une douche avant de nous écrouler de fatigue. Ça poisse et ça pu le sperme froid (pas mieux que le tabac froid !).
Bousculade pour s'entasser sous les douches. Quand nous en sortons, propres et sentant bon, nous sommes accueillis par les effluves du café fraichement passé et des croissants que Kev à couru nous chercher.
Malgré nos fringales, nous attendons avec un premier café qu'il nous rejoigne après la douche pour attaquer le tas de viennoiseries. Nous sommes encore avec nos serviettes autour des reins et ça aurait bien tendance à repartir en baise si je laissais faire Ludovic.
Nous avons un programme chargé nous devons être à midi chez Henry pour le déjeuner et il est déjà 1h30 et nous sommes 5 encore à poils. L'aprèm va se scinder entre l'atelier d'Alban et la galerie de Bo-gosse et Moitié où nous sommes invités à un vernissage.
Alors que nous pensions déjeuner chez lui, à peine arrivé, il nous embarque au restaurant. Notre arrivée provoque un léger remous dans la salle. Un quinquagénaire encore bien de sa personne encadré par 5 jeunes hommes bien faits, ça se remarque. Notre table a beau être isolée, dos au mur, je peux surveiller la salle.
Nous avons droit à de fréquents coups d'oeil de notre côté, aussi bien des Femmes que des hommes d'ailleurs !
C'est pas difficile de deviner ce qu'elles pensent. Vu comme certaines passent leur langue sur leurs lèvres, elles nous laisseraient pas dormir dans la baignoire ou le canapé.
Les mecs, c'est plus disparate. Entre ceux qui trouvent qu'on est trop beaux pour être de simples collaborateurs, ceux qui vont jusqu'à penser que l'homme doit être méchamment riche pour se payer 5 escorts en même temps et peut être, une personne dans le lot pense qu'il n'a surement pas dû avoir tous ses fils d'une même femme mais ça c'est sans garantie !
Je fais part de mes réflexions à la table. Rires discrets d'Henri qui est au-dessus des qu'en dira-t-on. Rires plus appuyés de la part de mes autres amis.
Cela ne nous empêche pas de déjeuner et d'apprécier les plats.
Ernesto nous lâche, il a un rendez-vous avec un de ses clients en déplacement pour négocier une prestation particulière. Il nous rejoindra directement à la galerie.
En attendant nous allons à pied jusqu'à l'atelier d'Alban. Quand nous y arrivons j'ai la surprise d'y découvrir Ric. Enfin une surprise ! Oui un peu. Qu'il soit là ce WE là mais pas qu'il soit là tout court. Je sais que depuis que j'ai demandé à Alban de faire les cariatides du blockhaus avec pour modèle Ric, ces deux-là s'étaient " trouvés ".
Il me saute dans les bras bien que tout nu puisqu'il posait. Enfin je suppose bien qu'il soit en train de bander ferme. Des yeux, je parcours l'atelier. S'ils étaient en séance de pose moi je suis le pape (bon faut pas voir coté des Borgia bien sûr).
La sellette sur laquelle Ric était assis quand nous sommes arrivés comporte au centre un gode de belle dimension ! Faut pas être sorcier pour deviner le reste. Si j'avais encore un doute, mes doigts dans le cul de Ric m'en auraient apportés la preuve ! Et puis Alban en slip déformé par ses 21x6 est une preuve supplémentaire.
PH qui est en train de l'embrasser lui dit que c'était pourtant l'heure convenue. Alban lui répond qu'ils n'avaient pas vu le temps passé.
Vu qu'on ne s'était pas vider les couilles depuis la veille au soir, ça évidemment dégénéré ! J'ai juste eu le temps de présenter Ludovic à Alban et Ric que les vêtements des autres volaient dans l'atelier.
Vu comme ça partait, avec Alban, j'ai mis à poil Ludovic pour qu'ils fassent mieux connaissance ! Le temps que je me dénude et je retrouve mon Ludo dans les bras d'Alban en train de se faire galocher. Je passe derrière le sculpteur et baisse son slip. Sa queue remonte entre les cuisses de Ludo et va direct soutenir ses couilles. Je passe de l'autre côté du couple et m'agenouille pour attraper le gland qui dépasse entre les cuisses de Ludo. Bien gros ce dernier me remplit bien la bouche. Je le relâche de temps en temps pour bouffer la rondelle de Ludo. Il est souple mais quand même pas au point de se manger dans le cul une bite de 21x6 sans lubrifiant.
De l'autre côté, PH et Kev s'occupent de Ric. Ce sont de vieilles connaissances et ils savent ce qui lui fait plaisir. Comme Ric avant de l'avance en préparation, il se retrouve vite fait enculé par les deux bites de ses partenaires.
Je continu ma préparation et quand j'estime la rondelle de Ludo prête à se faire défoncer, je l'attrape sous les genoux et le tire vers le haut. Surpris, il se retient au cou d'Alban. Ce dernier le retient au-dessus de sa bite le temps que je le kpote puis il le laisse retomber. Je vois mon Ludovic se mordre les lèvres alors qu'il se fait emmancher jusqu'aux couilles. Oups ! Pas assez de lubrifiant. J'attrape un tube de gel qui trainait par là et j'en enduis la queue d'Alban pendant ses premiers va et vient. Ludovic me remercie dans un souffle. Il garde ses forces pour aider au mouvement d'ascenseur qui lui fait du bien.
Cela fait je me retrouve tout seul !
Le trio s'est écroulé au sol. Kev est dos au sol avec Ric qui le chevauche et PH qui continue à frotter sa queue contre la sienne. Je me place à genoux au-dessus de la tête de Kev pour que Ric me suce. Il m'avale entier et c'est bon ça ! c'est encore meilleur quand je sens mes boules se retrouver au chaud et malaxer. Kev attaque de son côté. Il alterne le massage de couilles par un léchage pointant de mon anus.
L'atelier est maintenant rempli de gémissements de plaisir, d'ahanements d'efforts. L'atmosphère se charge en effluves excitantes.
Les positions changent, les emboitements aussi. Seul Alban reste uniquement actif. Et personne ne s'en plaint. Ric partage les 21cm de son mec sans jalousie. Faut dire que je l'ai bien élevé !!
Le temps passe et bientôt nous seront en retard au vernissage.
Tant pis le plaisir d'abord, Bo-gosse saura nous pardonner quand je lui expliquerai.
Il n'empêche que j'accélère le mouvement. Et bientôt, je jouis à crue dans le cul de mon PH alors que Ludovic teste l'assaut final d'Alban. Les rois autres jutes et nous nous pressons maintenant sous la douche.
Le rhabillage donne lieu à des fous rires mais nous arrivons quand même à lisser suffisamment les devants de chemises pour faire illusion.
Nous partons à pied accompagnés d'Alban et Ric.
Bien sûr nous sommes en retard ! Même Ernesto est déjà là et il nous fait les gros yeux quand nous entrons. Bo-gosse nous repère alors que nous nous faufilons discrètement.
Je me fais tirer l'oreille lors que ce n'est pas moi le fautif ! Je n'ai pas besoin d'expliquer, Alban lui dit que nous étions passés à l'atelier. Il devine le reste !
Heureusement le buffet est conséquent car un après-midi de baise ça creuse ! On se retient quand même, pas la peine de passer pour des goujats. Je n'aime pas l'artiste qui expose. Son style son parti-pris m'énerve faire et refaire le même motif en changeant le nombre présent sur la toile, la taille et la couleur, ça déjà été fait ! Même si ce n'était pas avec ce motif-là.
Enfin, quand je vois l'artiste je comprends mieux Bo-gosse. Ce petit mec, il a dû l'enculer pas mal de fois avant l'expo ! Un peu le physique de Moitié en plus jeune.
Notre petit groupe reste à la fermeture de la galerie. Alors que les autres achèvent le buffet, Bo-gosse me pousse dans son bureau où nous attend l'artiste. Il me glisse que ce petit con mouille pour moi depuis notre arrivée.
J'aime aps son travail mais par contre sa plastique, plus. Je m'approche et sans avoir le temps de réagir, il est à mes pieds et m'a ouvert le pantalon sans que je n'ai pu l'en empêcher (enfin si j'avais voulu). L'air frais me fait bander illico et il se met à pomper mes 20cm.
A nos côtés, Bo-gosse me parle de Ludovic. En plaisantant (qu'à moitié je pense) il me dit que c'est gentil d'avoir amené de la chair fraiche.
Alors que l'artiste me pompe avec une facilité due à une pratique certaine, j'explique à Bo-gosse les relations qui nous lient avec Ludovic.
Il comprend et ajoute que c'est aps une raison pour ne pas lui mettre sa queue dans le cul. Je suis d'accord avec lui, l'amour qu'on lui porte n'est pas une ceinture de chasteté.
Je repousse la tête de l'artiste et dis à Bo-gosse qu'on pourrait peut-être passer aux choses sérieuses et se faire une petite touze improvisée.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!