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Enguerrand et Max-2
Le vendredi, j'ai pris mon après-midi, un peu nerveux quand même. Ok c'est un homo mais c'est aussi un policier. PH rit que ça ne m'inquiète que maintenant.
Max et Enguerrand sont venus directement de leurs lycées. Enguerrand me dit que son histoire s'est rependue dans son lycée. L'état des mecs qui les avaient agressés aussi ce qui fait que son coming-out involontaire a moins été pris en compte que le fait qu'il ait cassé la gueule à 4 cons.
Je les envois se laver avant l'arrivée de notre invité. Ils ont beau être arrivés une bonne heure avant lui, ce n'est que quand il sonne au porche que nous voyons réapparaitre leurs deux têtes !!
Je descends le chercher. Il est surpris de l'aménagement de l'entrepôt. Je le vois mater les voitures et motos qui encombrent le garage alors que je le pousse vers le monte-charge. Il trouve intéressant que nous ayons gardé ce moyen d'élévation. Il mate au travers de la porte moitié bois moitié verre chaque étage. Quand nous arrivons au 4ème, il me dit que j'avais réussi à utiliser tous les niveaux. Je cite : bureau de ma société, salle de sport, espace nuit et espace de vie plus au-dessus la terrasse. Je le débarrasse de son blouson et Enguerrand s'avance pour le saluer. Il salut Ludovic et Max avant que je lui présente PH. Je remarque que là aussi, il note tout d'un seul regard. Sa tête a fait un 360° et s'est figée quelques dixièmes de seconde sur la cuisine. Je suis sûr que c'est plus sur les deux torses nus qui dépassent du plan de travail que pour la piscine qui la surplombe.
Il nous donne des infos sur l'avancée de notre dossier. Puis on passe aux conseils pour lesquels nous l'avons fait venir (entre autre...). Je lui propose de mettre en pratique et nous descendons tous au second.
Il est impressionné par l'installation de muscu qui entoure le tatami central. Les deux petits se mettent en tenue c'est-à-dire avec seulement leurs petits shorts moulants sur les fesses. Notre invité est surpris et son paquet enfle nettement. Les deux trublions se positionnent l'un en face de l'autre et lui font une petite démonstration de leurs connaissances dans l'art de mettre à bas un agresseur. Dans un premier temps c'est Max qui fait le méchant puis c'est le tour d'Enguerrand. Max a plus de mal à se débarrasser d'Enguerrand que l'inverse. Flic s'en rend bien compte et me demande si Enguerrand ne ferait pas de la boxe française. Je confirme son intuition. Il se rapproche des deux protagonistes et leur explique comment dévier les chocs à la tête.
Malins, ils l'obligent à leur démontrer les gestes. Il est vite engoncé par ses jeans et son polo. Je lui propose un short. Il veut bien s'il lui colle moins qu'à ces deux " petites frappes ". C'est dit avec un ton affectueux qui enlève le côté insultant.
Je lui sors ceux que mes deux gamins avaient refusés et les lui tends. Il regarde à droite et à gauche pour se trouver un coin pour se changer mais ne voit que les bancs avec patères qui sont dans l'entrée. Il retire ses vêtements et en slip (Dim sport bien rempli) enfile le premier short. C'était un de ceux que j'avais voulu imposer aux deux gamins et à lui, ça moule bien. Comme il va pour essayer l'autre je lui dis que ce n'est pas la peine, il est de la même taille. Je le sens un peu gêné mais il s'avance pour lutter avec eux. Je profite qu'il commence à se frotter aux petits jeunes pour dire à Ludovic et PH que ce serait dommage de ne pas profiter nous aussi de ses conseils. Il ne nous remarque que quand nous les rejoignons en jocks.
Ça l'arrête et il me demande si c'est un piège. Je fais l'innocent (et ça je le fais très bien) et l'assure que non, c'est juste notre tenue pour faire du sport. Il essaye de me croire et nous passons une bonne heure à intégrer les évitements qui nous laisseront le minimum de marque nécessaire à justifier le cassage de gueule de l'adversaire.
Sa gêne réapparait quand je pousse tout le monde sous les douches. Mais le peu de cas (forcé) que nous faisons de sa mise à poil le rassure et nous nous douchons dans une bonne ambiance. Je note quand même en passant qu'il dispose d'un bel outillage. Il ne semble pas très poilu à moins qu'il ne s'épile le torse lui aussi. Ses couilles sont rasées mais la touffe est broussailleuse. Séchages individuels sauf pour nos deux belligérants qui se sèchent mutuellement.
Sans faire de cas, je lui tends un trunk ADDICTED pour remplacer son slip DIM trempé de sueur. Il accepte tout en me disant qu'il me le rendrait propre. La poche met en avant son paquet d'un plus bel effet. On se rhabille, ses jeans font plus " remplis ". On monte diner.
Il est maintenant complètement détendu avec nous. Il commence, je pense, à bien cerner les liens affectifs qui nous unissent tous. Nous faisons avec lui comme avec un ami homo déclaré. C'est-à-dire que nous n'en parlons pas mais que nous n'écartons aucuns sujets ou gestes qui nous sont propres. L'apéritif le surprend non par les alcools proposés mais par mes hommes de service.
Il prend le parti d'en rire et nous dit que c'est vraiment une drôle de maison que nous formons.
Nous passons une bonne soirée. Nous apprenons qu'il n'a que 28ans. Le vin aidant, sans que nous soyons souls pour autant, il se détend vraiment jusqu'à nous avouer au détour d'une conversation que ce n'est pas toujours évident de rencontrer des mecs vu sa situation. Si ce n'est pas interdit dans la maison poulagas, ça reste encore difficile à dire sans que cela n'amène quand même des réflexions et de la gêne.
Max saute alors sur ses genoux, lui roule un patin qu'il n'a pas le temps d'esquiver et lui dit qu'avec Enguerrand et lui-même, il dispose de deux petits copains discrets, mais très très chauds. Il enfonce le coin en ajoutant qu'il va leur falloir encore quelques cours d'évitements afin de bien les intégrer à leurs techniques de combat.
Il est scié et ne se dégage même pas de Max. Il arrive juste à dire que ce n'est pas possible tout en posant ses mains sur la taille de Max. Enguerrand en rajoute en avançant que même s'ils lui sont redevables de bien plus, il est sûr qu'ils prendront tous du plaisir.
Flic me regarde, cherchant de l'aide de mon côté. Je hausse les épaules dans un geste d'impuissance et appuis en ajoutant que ce n'est plus des enfants que l'on peut dresser mais des jeunes adultes qui maîtrisent leurs vies. Ludovic qui est pris à parti en tant que frère d'un des deux petits tentateurs lui dit la même chose.
Il est évident que la situation le fait bander à mort ! Je le sens prêt à nous quitter de peur de céder à la tentation. Mon petit " beau-frère " me fait signe qu'il veut que nous gardions Flic pour la nuit au moins. Je lui fais comprendre de se débrouiller par eux même. J'aide juste en offrant un Jet 27 sur glaçon après le café.
Il finit par nous dire au revoir et je laisse ses deux " élèves " le reconduire à la porte.
Nous allons nous coucher sans attendre leur retour.
C'est donc très surpris qu'au petit déjeuner, nous voyons apparaitre Flic avec nos deux impertinents pour prendre un café. Il est gêné mais, poussé par Enguerrand et Max, il nous rejoint dans la cuisine.
Je lui souhaite la bienvenue et lui dit que s'il porte plainte pour viol, il aura du mal à convaincre un juge vu ses capacités à maitriser les contrevenants. Ludovic qui voit plutôt l'autre facette, lui garanti que ce n'est pas par nous qu'il sera embêté.
Il arrive quand même à avaler un café. Les deux gamins sont eux tout contents du coup qu'ils lui ont fait. Max ne peut s'empêcher de nous dire que la nuit avait été grandiose.
Comme je sens Flic gêné, je l'affranchis que nous somme rarement pudiques entre nous et qu'un mec arrive à satisfaire ces deux petites " salopes " ne peux être qu'élogieux pour le mec en question. Nous sommes passés avant lui et connaissons l'exigence de ces corps en fin de croissance !
C'est à ce moment-là, je crois, qu'il a décidé de laisser vivre. PH l'a encore une fois assuré que tout ce qui se passait ici n'était jamais arrivé dès qu'on passait la porte sur la rue.
Du coup il accepte des oeufs brouillés, du bacon et des pommes de terre sautées, base de nos petits déjeuners de fin de semaine. Nous échangeons nos cartes de visites avant qu'il ne parte avec la promesse de nous revoir.
Je conduis Max et Enguerrand à la propriété.
Quand je rentre je m'arrête à mon bureau. A cet étage, dès qu'une porte de chambre s'ouvre, les caméras enregistrent tant qu'il y a du mouvement. Le fichier est lourd, signe qu'ils ne se sont pas endormis tôt ou plutôt si mais très tôt ce matin.
Je passe en vitesse rapide et ralenti de temps à autre. Il assure notre Flic. Sans débander il a réussi à mettre sur les genoux mes deux protégés. Max a eu un peu de mal avec son ecchymose sur les côtes. Plusieurs fois je l'ai vu grimacer. Par contre ils sont très complices tous les deux. Je crois bien que Max a appris d'Enguerrand si je comprends bien ce que la vidéo me montre. Ils se complètent et en duo ils ont l'air bougrement efficace. Si après un tel traitement, flic n'est pas accros à nos deux trublions alors je ne comprends pas. Même un hétéro se serait fait plaisir avec eux.
Je crois bien que c'est la première fois que deux mecs arrivaient à l'avaler entier au cours de la même baise. Il a adoré enculer en alternance les deux culs. Je le vois tester plusieurs positions : Enguerrand dans les bras de Max, Max sur le dos d'Enguerrand ou les deux culs positionnés côte à côte les deux petits mecs en levrette collés de l'épaule au bassin. A chaque fois, Flic plongeait dans un cul puis dans l'autre. Pour finalement retirer sa kpote et arroser de jus les deux dos accolés. Puis je vois les regarder se finir en 69. On voit nettement quand ils se " nourrissent " respectivement. D'après le temps qu'ils mettent à se téter, la production est bonne. Si Enguerrand est comme ses deux frères, il " donne " au-dessus de la moyenne.
Flic nous recontacte le soir même. Je l'invite à passer. Ça sonne aussitôt. Il avait appelé de sa voiture devant notre porte.
Il monte nous rejoindre. Il semble embêté par son aventure de la veille. Il me demande où sont les jeunes et si ils vont bien.
J'éclate de rire. Il s'en fait pour ces deux petites salopes qui ont pris un pied d'enfer à se faire défoncer à tour de rôle. Je le rassure, ils ne sont en aucun cas traumatisés par leur nuit passée avec lui. Ça l'inquiétait car pendant un moment ils avaient réussi à lui faire oublier que ce n'était pas des mecs de son âge comme à son habitude. Du coup il avait été fort dans la baise.
Je fais attention à ne pas me couper avec ce que j'ai vu sur l'enregistrement. Ludovic lui dit que c'était leurs désirs à eux aussi. Vu comme ils étaient content ce matin même et d'après ce qu'ils nous avaient confié, lui (Flic) avait assuré et qu'ils avaient trop aimé cela. Ils espéraient même pouvoir recommencer.
Flic nous dit que c'était une première pour lui. En général il trouvait des partenaires dans ses âges et plutôt sur internet pour ne pas tomber sur des mecs du coin. Cette contrainte plus celles dues à son travail, faisait qu'il ne baisait pas tous les jours. Ça, plus leurs corps très excitants, il n'avait pu se retenir avec eux.
Je lui prends l'épaule et je lui dis que s'il le veut, il dispose maintenant de deux petits mecs affamés de sa bite. J'ajoute que s'il a peur de les ramener chez lui, il y a toujours une chambre de libre au premier pour abriter leurs ébats.
PH lui dit qu'il faudra quand même leur laisser le temps de travailler leurs cours !
Flic s'offusque qu'il n'était pas question qu'ils loupent leur année à cause de lui. On est sur la même longueur d'onde.
Ludovic le sent quand même encore en retenue. Il appelle son frère et lui dit que Flic est avec nous. La réaction est directe " il est à nous celui-là ". Max ponctue d'un " pas touche les obsédés " quand Enguerrand lui dit avec qui nous sommes.
Comme il a mis le haut-parleur, Adam, notre " Flic " entend tout comme nous les réactions de ses deux compagnons de jeux.
Il est d'accord avec eux mais les met dans le même sac que nous. Surtout quand je lui dis que le jour où la viande fraîche le sature, on est prêt à prendre la relève.
J'ajoute : t'en a pas déjà assez par hasard ?
Il rit et nous dit qu'il peut attendre quelques jours de les revoir. Le téléphone de Ludovic est encore en ligne avec celui de son frère. Nous entendons en sortir un " vous pouvez venir nous chercher demain soir pas trop tard qu'on passe au blockhaus avant de rentrer chez Max ? " suivit de " au fait t'es libre demain soir Adam ? ".
Je gueule que j'espère qu'ils ont fait leur devoir sinon ça va chauffer pour leurs fesses. Réponse impertinente de Max, " on préfère se les faire chauffer par la police". Je capitule et, d'un coup de menton, signifie à Flic de nous donner sa réponse.
Il se tortille un peu sur le canapé mais se laisse tenter. Max nous supplie alors de venir les chercher vers 16h qu'ils aient quand même un peu de temps avant de regagner leur chez lui.
Samir arrive avec l'apéritif. C'est vrai que c'est l'heure. Nous causons un peu. Nous apprenons qu'il vient du 93. Muté il y a presque un an, il avait passé plus de temps à accumuler les permanences que de WE de liberté. Mais ça le changeait agréablement des racailles du 9.3. Par contre ça ne facilitait pas les rencontres.
On parle études supérieures et sport. Il nous demande qui nous a formés en self-défense. PH lui dit qu'il a été le premier à enseigner le karaté puis que nous avions rencontré un pratiquant de Krav Maga. Depuis nous avions mâtiné nos pratiques de techniques militaires US, de boxe Française avec Ludovic et dernièrement nous avions intégré à notre petit club un pro de Capoeira.
Il comprend mieux notre niveau. Ce qui le surprend c'est ma référence aux techniques américaines. Sans dévoiler comment je lui explique que nous avons deux amis qui ont eu l'honneur de faire un stage auprès d'eux l'été dernier. Ils nous avaient enseigné un peu de ce qu'ils avaient appris.
Il me demande si ce serait trop demander que de les rencontrer. J'hésite. C'est quand même un flic et s'il vient à nos séances d'entrainement, il ne mettra pas longtemps à découvrir le pot au rose. Il y aura bien un de mes escorts pour manger le morceau sans le vouloir. D'un autre côté, il s'est un peu compromis avec Enguerrand et Max et s'apprête à le refaire demain soir. Ça plaide pour lui !
Après 5 minutes de réflexion, je lui dis de passer le mardi soir suivant. Mes deux mecs me regardent comme si j'étais fou.
Je préviens Flic que si tout ce qui se passait ici était top-secret à l'extérieur, ce serait pareil pour tout ce qu'il y verrait et entendrait. C'était la seule et unique condition à respecter de sa part et de notre côté nous la respecterons aussi.
A son tour de réfléchir. Il se doute bien qu'il risque de flirter avec l'illégalité mais je crois qu'il est trop intrigué pour refuser. Ça plus les deux culs de nos " petits frères ".
Il reste diner avec nous, personne ne l'attendait dans son appartement vide. Je prends quand même le temps de textoter à DGSE pour demander le dossier complet du type.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!