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le deal -2
-as tu soif l'esclave?
-euh, oui maitre,entre deux grimaces.
Je ne le vis pas arriver mais maitre gilles me jeta soudain un seau d'eau froide à travers le corps et le visage.Le choc
fut plutot violent et me coupa le souffle.J'eus du mal à ne pas etre énervé et hurler ma colère.Trempé de la tete aux pieds,
je frémissais de partout, déclenchant l'hilarité générale.D'un meme mouvement, mes trois maitres attrapèrent chacun leur cravache personnelle et s'approchèrent de moi.Il s'amusèrent à me tourner autour tout en caressant la peau de mon corps entier du bout de leur jouet.
Tout à coup un premier coup siffla sur ma cuisse, laissant l'empreinte sur ma peau humide.Sans attendre, les autres coups suivirent et bientot un déluge de petites tapes cravachées s'abattit sur moi.J'essayais en vain de les éviter, me contorsionnant dans tous les sens pour fuir ces coups de plus en plus violents.Mais à chaque fois cela n'avait pour but que de me m'exposer à d'autres morsures.Mon corps entier fut bientot en feu sous l'effet de cette flagellation .
Et pourtant, et malgré tout, je sentis un extraordinaire frisson m'envahir et s'emparer de moi,tel un véritable orgasme féminin, et une vague immense de plaisir me secoua de tout mon etre, comme jamais.
Je gémissais et suais de partout,sentant mon sexe mou baver de mouille , sans retenues aucunes.Je crus jouir
et éjaculer ainsi sous leurs cravaches tellement j'étais excité intérieurement,sous leurs yeux ravis et pervers.
Lorsque maitre jean décida que j'avais assez subi,les coups céssèrent et ils firent redescendre de quelques centimètres la chaine du palan, me permettant ainsi enfin de pouvoir reposer mes deux pieds au sol.Sans un mot ils
sortirent de la pièce, me laissant tout haletant et pantoi au milieu du sous-sol.Je respirais, croyant pouvoir me reposer et reprendre mes esprits durant quelques minutes.
Mais cette pause fut vraiment de très courte durée car presque aussitot ils reapparurent dans l'entrebaillement de
la porte,cette fois entièrement nus.
Leur intention nouvelle me sauta vite aux yeux. Maitre jean tenait dans ses mains une bassine remplie d'eau alors que ses complices portaient rasoirs et mousse à raser.En bon soumis, je ne dis un mot et laissais mon dominateur
principal s'emparer de ma queue pour étaler la mousse sur mon pubis et mes couilles.
Je retenais mon souffle pour ne pas me faire blesser durant cette tache et maitre alexis en profita pour se faufiler derrière moi,m'écarter les fesses doucement, et m'oter de son rasoir les quelques poils se trouvant là.Pendant ce temps, telle une équipe soudée, maitre gilles passait son instrument sur mes aisselles, me rendant totalement lisse là aussi.
Je me sentais alors encore plus nu qu'auparavent devant leurs yeux vicieux.
Cette manipulation et cettes exposition face à leurs corps nus réveillèrent de plus belle mon excitation et je commençais à bander maintenat tres fort.En souriant ,et alors que leurs membres commençaient également à augmenter de volume, maitre alexis se saisit de mes testicules gonflés et tira mechament dessus.Un petit cri sortit de
ma bouche mais il n'en tint pas compte du tout.Il serra une fine cordelette autour de mes bourses.Tirant dessus vers l'arrière,il les ramena vers mes fesses avant d'encercler mes cuisses de chacune des extrémités de ces liens.
Mes couilles tendues à l'extrème en arrière eurent pour effet de décalotter mon gland déjà injecté de sang et de tendre au maximum ma queue lisse.Maitre jean en profita pour serrer une autre cordelette très fortement à la base de ma queue , près de mes couilles prisonnières et de mon pubis devenu inexistant.Faisant quelques tours autour de ma tige,il emprisonna le sang dans ma verge,et ainsi ligoté je ne pouvais plus débander.Je sentais les battements de mon coeur cogner dans ma bite .Dans un état second,ils me contemplèrent et m'écoutèrent longuement gémir et souffrir,haleter, voire baver de plaisir.
Chacun de mes mouvements tendait au maximum tous mes membres.Mon corps entier était stimulé par ces tortures divines.De leur coté, maitre alexis et maitre gilles étaient aussi raides que moi.
Maitre jean s'installa confortablement sur le canapé pour se caresser en nous matant:
-Félicitations batard, tu es bien endurant pour un débutant! Les choses sérieuses vont maintenant
enfin pouvoir commencer!!!!!!............
J'écarquillai les yeux, me demandant ce qu'ils envisageaient de plus quand je vis maitre alexis sortir d'une malle
un petit martinet orné d'une dizaine de lanières de cuir.Je frissonnai d'effroi pendant que maitre gilles , face à moi, se posait sur le sexe un préservatif enduit de gel.
Bientot le martinet se promena sur ma peau et je sentis les lanières venur exciter toutes mes terminaisons nerveuses.Quelques petits coups bien placés et très légers commençèrent à claquer sur mes fesses, mes cuisses et mes abdos, me coupant le souffle à chaque fois.J'étais trempé de sueur et mon sexe emprisonner me faisait de plus en plus mal, mais je me refusais à mettre un terme à ce supplice.
Alors que maitre jean se masturbait maintenant devant moi,maitre gilles me contourna et vint se placer pour pointer son sexe droit sur ma petite rosette.Sans hésiter il s'introduit en moi au plus profond , m'arrachant un cri de douleur, avant de venir se coller à mes fesses trempées et de saisir de ses mains viriles mes poignets attachés.
Maitre alexis commença alors à le flageller en meme temps que moi, de plus en plus fort.
En ralant de bonheur, il entama un va-et-vient dans mon cul serré, recevant des coups de fouet autant que moi, si ce n'est plus,me faisant hurler d'extase douloureuse.
Ce petit jeu pervers dura au moins un quart d'heure, alternant les cadences et les coups,jusqu'au moment ou il se plaqua violemment contre mon corps meurtri pour se répandre en un dernier ràle dans le preservatif, fichu au plus profond de mes entrailles.
Lorsqu'il se retira et que maitre alexis reposa son jouet, je respirai un instant et soufflai bruyamment.Je commençais à etre épuisé, vidé intérieurement autant que physiquement par cette séance de choc.Mais très vite mon
enculeur vint poser lui-meme un préservatif sur le membre de son compagnon pour qu'il puisse gouter à son tour à sa part de jouissance.
Certes, le passage était déjà fait et maitre gilles avait déjà travaillé longuement mes muscles fessiers, mais maitre alexis était beaucoup plus membré que l'autre et lorsqu'il me perfora sans preliminaires,je beuglais litteralement de nouveau.
Sans se soucier de mes cris, il commença à me pilonner sans ménagements, me claquant les fesses au passage,me triturant la queue et les couilles sauvagement.Tirant vicieusement sur la chainette de mes pinces à seins, il aimait me faire mal et ne s'en privait nullement!
D'ailleurs,n'avais-je pas été payé pour ça?
Mon bourreau se déchainait sur moi et je crus défaillir plus d'une fois.Je n'avais meme plus la force de pleurer, de crier ou de dire quoi que ce soit.J'étais juste un jouet à plaisir, et malgré moi, je dus admettre un fait avéré:j'aimais leur apartenir!
j'aimais cette souffrance somme toute tolérable! et j'aimais etre considérer comme cette petite pute, ce batard qu'ils me disaient etre!
Il finit tout de meme par se contracté et je le sentis se vider à son tour dans mon cul, me griffant sévèrement les cotes au passage.Il resta sans bouger ainsi de longs instants afin de se calmer et d'attendre que sa queue désenfle , puis en profita pour me titiller la queue encore.Je la croyais prete à exploser et n'avais qu'ine hate, une envie, un besoin meme:etre libéré de ce bondage pour pouvoir me masturber et jouir à mon tour.
Au contraire, ils passèrent de longues minutes à reprendre leurs esprits en sirotant un verre de whisky devant moi,en examinant mon corps offert mais désormais en piteux état.
Le deal 3
J'allais pour répondre mais me retins prudemment et m'éxécutais. Il me fis alors mettre jambes écartées et bras
tendus avant de sortir de l'autre sac de larges sangles de cuir qu'il me fixa aux poignets et aux chevilles.Un gros
anneau était fixé sur chacunes d'elles et le tintement du métal donna à la scène une couleur toute particulière,Je
pensai malgré moi aux bagnards et à leurs fers aux pieds.
Enfin, il finit par sortir un large collier à chien , à clous, qu'il me fixa sans ménagements au cou, le serrant assez
fort pour me géner, sans toutefois m'étouffer.
-ainsi te voila plus présentable , petite pute.A quatre pattes maintenant petit batard, viens embrasser
les pieds de ton maitre!
Un peu étonné de cet ordre, j'obéis et marchai ainsi jusqu'à lui pour poser mes lèvres sur ses basquettes,
tout en repensant à mes jeux d'antant, dans la ferme familiale, avec mon premier amant et maitre,Emmanuel.
Mais je sentais qu'aujourdhui cette expérience allait etre d'un tout autre degré.Ainsi ma bouche à peine posée
sur ses chaussures, il sortit de nulle part une cravache et m'en claqua doucement les fesses:
- leche maintenant ! et tend bien ta petite croupe de pute!
L'effet fut immédiat et je sentis ma queue se tendre.alors je passais délicatement ma langue ou il le désirait,
écartant les genous pour offrir ma croupe tendue à un éventuel visiteur.
Après quelques minutes de ce petit jeu, il se recula, me laissant dans cette position, docile et soumis à souhait.
Il se fixa près du véhicule :
-allez! en voiture salope!
Je me relevai et me dirigeai vers la portière avant quand il me stoppa net:
-Eh mais que fais-tu là petite pute?les petits batards de ton espèce ne voyagent pas à l'avant!!
ouvrant la malle arrière:
-voilà ta place! installe toi vite batard!
Je fixai alors le coffre, regardai son visage sévère, puis baissai la tete pour me contorsionner et rentrer à l'intérieur
du coffre sombre.Il prit alors mon sac de vétements,le jeta negligemment sur moi avant de sortir une phrase qui me glaça
littéralement d'effroi:
-Maintenant tu es à ma merci petite pute, et tu n'imagines meme pas tout ce que tu vas subir!
avant de claquer la portière, me plongeant dans le noir total et mes pensées apeurées.
Le trajet me parut durer une éternité et je m'imaginais déjà la proie de pervers sadiques m'infigeant les pires
sévices.Comme je regretais d'avoir accepter ce deal! Et surtout pourquoi n'avais je pas prévenu au moins une personne de mes intentions du soir?
Mon esprit travaillait dans tous les sens quand je sentis la voiture ralentir et s'engager sur un petit chemin de
terre.J'allais bientot etre fixé sur mon sort! Acceptant presque la fatalité,je m'en remettais au bon gré de maitre jean.
Quand le moteur s'arreta, mon ventre se crispa et j'entendis des bruits de pas se rapprocher.Le coffre s'ouvrit
alors et la première chose que je constatai fus qu'il faisait dejà nuit.Me redressant, je distinguai trois silhouettes
debout devant moi.Mon maitre fis les présentation:
-Voyez messieurs je ne vous avais pas menti! Regardez comme elle est belle cette jeune pute docile!
vous allez vous régaler croyez moi!
puis s'adressant à moi:
-Allez descend de là batard que je te présente tes nouveaux maitres! voici maitre alexis et voici maitre gilles.
tu devras leur obéir comme à moi! eh bien aurais-tu perdu ta langue petit batard??
-Euh non maitre, bonjour maitre alexis, bonjour maitre gilles
-voilà qui est mieux. bien maintenant gilles va t'installer dans tes appartements pendant que nous allons nous abreuver.J'ai une soif de dieu avec ce voyage!
En un éclair Gilles sortit une laisse et la fixa à mon colliersans que je puisse réagir.Il tira alors vivement pour m'emmener vers le sous-sol de la demeure, sous les yeux des deux assoifés.A l'intérieur se trouvait un canapé près d'une table nue. Au centre de la pièce un palan supportait une grosse chaine.De grandes malles étaient là pour meubler
la pièce vide.
Je commençais sérieusement à paniquer et mes yeux s'engluèrent de larmes alors que mon guide fixait ma laisse à un crochet et sortait de grosses chaines pour m'attacher les mains au palan.Il remarqua alors mon expression de terreur
et comprit de suite mon épouvante:
- eh!!! du calme mon petit, ce n'est qu'un jeu.
-oui maitre
-laisses tomber le maitre pour l'instant veux-tu.On ne va pas te faire du mal à ce point tu sais! C'est toi qui fixe
les limites. Le reste n'est qu'apparat,un scénario de plaisir, ni plus ni moins,mais si tu veux stopper tout on arrete sur
le champ je te le promets.
Quelque peu rassuré,je séchais mes larmes et décidais de jouer le jeu à fond.Lui montrant mon plus beau sourire:
- Merci maitre gilles, j'avoue avoir eu peur mais je suis tout pret à vous servir désormais,
baissant la tete en signe de soumission.
- bien! alors prépares toi à le jouissance de satisfaire tes maitres, en me fixant les poignets au palan.
Il tira alors sur les chaines pour tendre celui ci et me mettre les bras levés vers le ciel, puis sortit rejoindre ses
complices , eteignant la lumière au passage.Le noir m'envahit à nouveau.
Je restais de longues minutes ainsi exposé nu quand la porte s'ouvrit et la lumière revint m'éblouir.Mes trois
geoliers entrèrent ensemble , maintenant torses nus.
Maitre alexis s'approcha et sans préambule m'attrapa un téton pour le triturer sans ménagements.Je criais de
douleur mais mautre jean, insensible à ma plainte,fit de meme avec l'autre sein.Le troisième maitre en profita pour
agriper dans sa main ferme mon service trois pièce et tirer dessus fermement.Me fixant près du visage:
-Tu as été payé généreusement pour cette prestation et tu vas maintenant devoir nous en donner pour
notre argent!
- euh!!! oui maitre!!! réussis-je à dire entre deux grimaces.
Mes tétons étaient tout endoloris et rouges de ce traumatisme mais mes deux bourreaux s'amusaient à pincer fortement la pointe toute tendue de leurs ongles acérés.Maitre gilles ouvrit une malle pour en sortir une chainette reliée à deux pinces métalliques.Il les apposa aussitot sur mes tétons durcis et la machoire broya littéralement mes chairs.J'étais déjà en sueur mais ils rirent de me voir me crisper sous la douleur, avant de tendre encore davantage le palan.
Très vite je dus me mettre sur la pointe des pieds et ils me contemplèrent ainsi un long moment.Maitre jean
sortit alors deux cordelettes qu'il noua chacune à un anneau de mes chevilles.Et ce que je craignais arriva sans tarder:
ils tirèrent chacun de leur coté pour m'écarteler au maximum.Les cordes bien attachées sur les cotés, je soufflais de
fatigue et de douleur ,la peau et les membres tendus de toute part
floboy
Autres histoires de l'auteur : Le mariage
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