Notre salope est une perle -1
Avec un pote on a tous les deux des problemes de couple : on a la quarantaine, avec nos femmes c'est la routine, plus les gosses et le boulot. Au pieu c'est plus vraiment la fête. On fait du sport ensemble et on s'est raconté souvent nos malheurs, heureusement parce que j'allai péter les plombs. Un jour qu'on se douchait on s'est fait allumé par une petite tapette qui montrait bien son cul et qui bandait en se savonnant et nous regardait. On l'a ignoré et il a pas insisté mais à la fin de la douche mon pote et moi on bandait. On en a pas parlé sur le coup. Plus tard on a pas revu le ptit jeune et mon pote me l'a fait remarquer. Je lui a idemandé si il regrettait. Blanc. Et puis il a dit qu'on devrait peut-être s'en faire un, histoire de s'amuser un peu. J'ai pas trop hésité je dois dire : j'en avais marre de réclamer des pipes à ma femme, je me rappellais la fois où j'aurai bien voulu qu'elle me bouffe le cul : toute une histoire ! Le genre de ptit mec qu'on avait vu ça devait lui plaire tout ça. Et la sodo ! défoncer un ptit cul serré, ça faisait des annees ! Et la femme à Hervé mon pote elle lui avait fait la gueule une semaine quand il lui avait mise dans le cul. Bref, j'ai dit à mon pote banco ! On a cherché de notre coté. J'ai vite trouvé un site (ça manque pas !). J'ai mis l'essentiel (et toutes les infos sont vraies, à bon entendeur...) : 41ans marié actif grosse bite brun poilu 180 80 kg. Les messages ont pas trainé. Mais y en a un avec qui j'ai senti le bon plan : il voulait un mec marié pour avoir du jus et pour qu'on se défoule sur lui comme on pouvait pas le faire avec nos femmes. Du jus, j'en avais en réserve ! et me défouler je pensais qu'à ça. Lui c'était 30 ans passif 174 65 kg yx verts, chatain ch mâle bien directif à satisfaire. On a parlé plus longtemps, hisotire de voir à quelle salope j'avais affaire et si y avait moyen pour un plan régulier, et meme à 3. La salope m'a dit qu'elle en salivait d'avance. J'ai parlé à mon pote, qui cherchait toujours, avait des pistes. Il m'a dit d'!
aller l'essayer et de lui raconter.
J'ai dit à ma salope ce que je voulais en arrivant chez elle (elle adore que je lui dise salope, elle se reconnaîtra, elle écrit beaucoup ici) : à genoux à poil pour me sucer direct à la porte, après dans son pieu je lui défoncerai son ptit cul (il m'avait envoyé des photos et putain je me disais que j'allais bien lui élargir avec ma bite). Il disait oui à tout mais voulait etre sur qu'il aurait ma jute à avaler, sans danger, et si possible pas qu une fois. J'avais une trique ! pratique au boulot... Bref je suis passé deux trois jours après. Il m'avait tout bien indiqué et c'était pas tres loin de ma salle de sport. Je suis entré il était dans le couloir à genoux il bandait, à poil. Un joli ptit mec c'est vrai et des beaux yeux verts : il lorgnait ma braguette. Je lui ai collé la téte dessus, j'ai bandé aussitôt. J'ai demandé à ma salope si elle voulait de la bite et en se frottant elle m'a dit oui. Je l'ai sortie et elle s'est jeté dessus. Une bouche ! putain, un délice ! Je lui ai demandé depuis quand elle avait rien bouffé : elle m a avalé jusque aux amygdales : ce pied quand mon gland lui forçait le fond ! elle s'est empalée la tronche sur ma bite en me baissant plus mon boxer et m'a agripé aux fesses. Il devait avoir une sacrée expérience en matière de suce. Je lui ai prisl a tete et j'ai défoncé sa bouche. C'est pas qu'elle encaissait bien mes coups de bite, elle en redemandait ! je lui ai pris les cheveux pour sortir ma bite : il m'a regardé les yeux pleins de larmes, tu m'étonnes, ma bite était énorme. Je lui ai dit de me bouffer les couilles et de se cambrer. Un beau cul à ce que je voyais. En deux deux j'avais les couilles trempées. Je lui a iredonné ma bite pour un pompage d'enfer. J'avais une heure devant moi, j'ai décidé de me vider tout de suite ; je l'ai laissé me gober à fond ; je déboutonnai ma chemise et elle est allée chercher mes tétons (j'en avais parlé) ; ils ont gonflé direct, et moi je donnais des ptits coups de reins pour lui limer la glotte. Je pouvais pas résister à cette bouche!
de pute, je lui ai dit qu'elle allait avoir sa dose et je lui ai envoyé j'ai cru me décoller le fond des couilles. Fallait l'entendre couiner en se faisant remplir la gueule ! Elle savourait un max. Elle continuait de téter le gland, elle a pas laissé une goutte et m'a bien léché. J'ai demandé si c'était bon, elle a dit oui avec un grand sourire et en se passant la langue, la salope ! Je lui ai donné une petite tape et j'ai dit : au pieu ! Mais à 4 pattes, que je puisse voir son cul bouger. Putain, ce cul j'allais lui mettre la misère. Dans la chambre je me suis foutu à poil. Je lui ai mis une bonne fessée et j'ai bien écarté pour cracher sur son trou et j'ai commencé à la doigter. Elle avait du se préparer le cul, qui glissait déjà bien. Un doigt et un autre et j'ai limé et elle a plus arreté de gémir et de gueuler. Son cul s'ouvrait bien ; j'ai un peu forcé pour le3eme mais elle a réclamé et j'ai limé à mort. Elle a tourné la tête vers moi en me prenant une cuisse. Elle voulait quoi ? Elle s'est mise sur le dos, reécartant aussitôt les cuisses, mais voulait que je m'assoirs sur elle. J'étais pas sur de comprendre. Alors elle a pivoté et a glissé sa tête entre mes cuisses, m'a pris à la taille pour me forcer à m'asseoir sur sa gueule : elle voulait me bouffer le cul, putain ! J'ai senti sa langue m'astiquer la rondelle, toute la raie et la rondelle surtout. Putain, le bonheur ! et elle adorait ça elle en couinait de plaisir ; elle m'a écarté les fesses au max et attiré ppur que je me pose carrément. Et ben elle l'a eu mon cul, et moi je lui remis 3 doigts ; j'avais envie de la viander comme une bonne chatte, et plus je doigtais et plus elle me ventousait l'oignon et sa langue de salope s'enfonçait. Ce pied bordel ! J'ai libéré son trou et je me suis branlé, j'ai vite bandé dur, et là j'avais bien l'intention de la cartonnait. J'ai mis une capote (elle a vait tout préparé sur la table), lui ai dit de se tourner : elle cambrait déjà comme une petite chienne. Le gland l'a bien fait morfler, son trou aussi était !
une sacréé ventouse. Je lui ai mis lentement jusqu'au fond et je l'ai écouté souffler ; et bien calé je lui ai dit qu'elle allait pleurer, la salope, et j'ai commencé à la défoncer comme un gros bourrin. La gueule écrasée dans l'oreiller, j'ai bien aimé l'entendre gueuler ses oui oui ! J'ai fait le marteau piqueur en lui tenant bien la taille et elle était rudement secouée. Quand j'ai senti le jus monter déjà j'ai ralenti ; son trou était un aspirateur comme sa bouche. Alors en bon ptit passif il a bougé du cul pour branler ma bite avec sa rondelle bien éclatée et je lesentai serrer et dilater. Je le fessais en l'insultant et ça lui donnait encore plus d'energie. J'ai jeté un oeil à son reveil, fallait pas tarder. J'ai repris mon bourrage viril en appui sur les bras et elle se prenait mes 80 kg d'elan, ça claquait bien. J'ai vidé mes couilles, c était encore meilleur et je l'ai écrasé sous moi. Comme je suis sorti il avait le trou bien rouge sang. Je m'etais mis sur le dos et il est venu direct à ma bite : y avait une bonne dose dans la capote, il me l'a enelvé et m a nettoyé la bite. Mais je voyais bien qu'il matait la capote. Je lui ai demandé s il voulait encore de ma sauce, alors il a mis sa tête en dessous et j'ai renversé la capote sa bouche s ouvrait grand. Il a rien laissé ! une bonne femelle, putain !
Je me suis rhabillé et on était d accord pour remettre ça : il ma dit que je l'avais bien sauté. J'ai dit qu'on verrait pour d'autres scénars et je suis parti, je me sentais bien leger. Le soir j'ai raconté à Hervé qu on tenait une championne. Il a halluciné. J'ai donne l'adresse et le tel et c est lui qui y est allé après. Il ma appelé au boulot pour me raconter les grandes lignes.
Je vous dis ça bientôt, faut bien bosser, merde ! @+
Marco