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Mon beau-père est un coquin -3
Depuis la dernière fois, mon beau-père ne me parle que lorsqu'il est obligé. Il ne porte aucune attention à moi alors qu'au contraire, il est beaucoup plus attentionné avec ma mère, lui fait plein de cadeaux et l'emmène souvent en sortie, sans moi. Je me suis doucement fait à l'idée que la matinée charnière que nous avions passée n'était qu'une erreur, une putain de grosse erreur.
Quelques mois plus tard, alors que j'étais en cours, ma mère m'envoie un sms pour s'excuser et me dire qu'elle ne pourrait pas venir me chercher à la sortie du lycée car elle allait sortir très tard du boulot mais que Laurent passerait me récupérer. Suite à ce message, je me dis "ok, c'est bon, je suis bien parti pour rentré en tram". Ben ouais, vu comme il se comportait avec moi, il me laisserait dans la m*rde.
17h arrive, je sors du lycée et je vois sa voiture garée devant. Surpris, je m'approche, monte dans la voiture et dis juste "bonjour". Le trajet est long, il ne me parle pas et je ne lui parle pas. Mais je ne peux m'empêcher de le regarder. Il est tellement beau... Arrivés à la maison, il se pose sur le canapé et lit son journal. Je m'assieds à l'autre bout pour regarder la télé. Ce silence est vraiment pesant. Je le regarde, mais lui ne me calcule pas. Je me décide à rompre le silence. "Tu vas bien ? - Ça va.", ouah, quelle conversation.
C'est la première fois depuis l'incident que l'on se retrouve seul à seul et je me décide à lui poser cette question qui me trotte dans la tête depuis des mois. D'un coup, je lâche "Pourquoi t'es parti la dernière fois ?". Sans sortir la tête de son journal, il me répond "De quoi tu me parles ?" - "Ne me prends pas pour un con, tu sais de quoi je parle...". Il lâche son journal, devient rouge écarlate et se met à crier "Tu veux savoir pourquoi je me suis barré ? Hein ? Tu veux savoir ? Parce que je me suis senti et me sens toujours comme une merde, comme une putain de merde, une grosse pédale. J'aime pas les mecs, moi, j'aime les meufs. Mais toi... toi, putain. Je me sens super mal, super mal de ne jamais avoir autant vibré, de ne m'être jamais senti aussi bien que sous les baisers d'un pauvre môme de 18 piges.". Je baisse les yeux, je suis super mal. Il reprend, "Je ne te parle pas car je ne veux pas que tu interprètes mes propos, que tu commences à tomber amoureux de moi car moi, ouais, j'ai peur de ça.". Il est super énervé, je le sens hors de lui, en panique. Je me lève, je le prends dans mes bras. Cette étreinte dure. Je suis bien. Je sens son coeur battre super vite. Je l'embrasse, on s'embrasse.
Sa main commence à me caresser un peu partout. Il la rentre dans mon jean et sa main caresse mes fesses. La mienne est sous son t-shirt, je caresse son torses, viril, poilu. Je le repousse et me déshabille sous ses yeux, je ne garde que mon boxer. Il me rattrape, me serre contre lui et m'embrasse langoureusement. Il lève les bras, je lui enlève son pull et son t-shirt. Nos corps sont serrés, je sens ses poils chatouiller mon corps et je bande déjà comme un fou.
Je me mets à genoux, j'enlève sa ceinture et baisse son pantalon. Par dessous son slip, je vois que sa queue est déjà bien dure, le gland dépasse même. Elle paraît être d'une longueur normal, un 18, mais putain, qu'elle est épaisse. Je la sens, la renifle par dessus son slip. Je baisse ce slip et prend direct sa queue en bouche. Il kiffe, j'entends ses râlements et ça m'excite comme un fou.
Après dix bonnes minutes d'une pipe intensive, il m'allonge sur le canapé et se met par dessus moi. Il m'embrasse, fourre sa langue dans ma bouche, je kiffe. Il baisse mon boxer et se retrouve nez à nez face à ma queue. Je le sens hésitant, au début. Il la prend en main et commence à me branler doucement. Il me regarde, je lui souris et d'un coup, il la met en bouche. Il me suce, putain, mon beau-père me suce. Il s'y prend plutôt bien. Au fur et à mesure que je gémis, je le sens s'exciter, il suce de plus en plus vite. Il s'arrête et revient m'embrasser. À l'oreille, il me murmure de me mettre à genoux. J'exécute ses ordres. Il commence par me cracher sur le trou et me lèche le cul. Je gémis. Il commence ensuite par me mettre quelques doigts. Il alterne entre sa langue et ses doigts. "T'as une capote ?", qu'il me dit. Je lui dis d'aller regarder dans mon sac. Il la mets et commence des va et viens assez ralentis.
D'un coup, il accélère la cadence. Ses reins claquent contre mon cul. Il va super vite, il est vachement endurant. Je prends mon pied comme jamais, je ne gémis plus, je hurle comme une m*rde. Il pose sa main droite contre ma poitrine et me reléve. Je suis toujours à genoux mais mon dos est contre son torse et sa queue toujours dans mon cul. Il continue à me fourrer en m'embrassant. L'une de ses mains caresse mes tétons et l'autre me branle. Je ne tarde pas trop à gicler. Lui, est toujours à fond, le rythme est rapide mais soutenu, j'en prends pour mon grade.
Il sort de mon cul, je lui dis de s'allonger. Je m'asseois sur sa queue et il continue, encore et encore à me déboiter. Je le sens de plus en plus tendu, comme si après ces trois quarts d'heure de baise intensive, il allait enfin jouir. Je sors sa queue de mon cul, l'embrasse et lui mordille les tétons. Il adore, il lâche des "putain, c'est bon". Je me mets ensuite à resucer sa queue.
D'un coup, il se met sur les genoux et me dit de s'allonger. Il se branle par dessus ma gueule et se met à gémir en hurlant, je me prends cinq bonnes grosses jetées de sperme dans la gueule. Il tapotte son gland contre mes lèvres pour l'essuyer. Malgré que le canapé ne soit pas très large, il se glisse entre le dossier et moi et s'allonge contre moi. Il m'embrasse. Nous sommes bien, là. Je lui sors "Tu n'as plus intérêt à m'ignorer, maintenant". Il rit, m'embrasse et me dit "Ça me serait impossible, tu fais parti de moi, maintenant".
Les jours suivant, ma mère et lui s'engueulaient de plus en plus souvent. Elle lui reprochait de ne pas être assez attentionnée avec elle et lui lui reprochait d'être toujours au boulot. J'étais chagriné de voir ma mère triste mais dans un sens, pas tant. Après tout, c'est vrai qu'elle ne le traitait pas super bien mais ses absences à répétition avaient offert à Laurent et moi des parties de baise mémorables. Après leur séparation, lui et moi nous voyions très souvent. Je prétextais même de dormir chez des potes juste pour passer la nuit entière dans son lit, à me faire démonter. Il m'en a fait découvrir, des trucs. Me baiser attaché, me baiser sous poppers, m'attacher et me trainer comme un chien, il était un peu SM, parfois, mais soft. On se kiffe vraiment, en fait, lui et moi. Mais une fois descendu de notre nuage, on a bien réalisé qu'avec nos genre vingt ans d'écart, on ne pouvait rien espérer de plus. Mais on se voit encore, de temps à autre. Je vous raconterai peut-être quelques unes de nos expériences, qui sait. ;)
N'hésitez pas à m'envoyer un mail.
Tommie