Mon beau-père est un coquin -2
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Je ne sais plus quel jour férié nous étions, il me semble que c'était au mois de novembre. Ma mère travaillait malgré tout, donc j'étais seul à la maison avec mon beau-père. Bizarrement, depuis la dernière fois, nos rapports n'ont pas changé, on s'entend toujours bien et on n'en a jamais reparlé.
On est tous les deux en survêt', sur le canapé, en train de regarder une série policière assez nulle. Soudain, je sors "je reviens, je vais prendre ma douche". Il me répond "merde, je comptais la prendre aussi" - "et alors ?" - "ba ta mère l'a prise ce matin avant d'aller au boulot et elle y est restée pas loin de trois quarts d'heure, j'ai peur qu'il n'y ait pas assez d'eau chaude pour deux douches supplémentaires" - "merde, tant pis, vas-y" - "non, vas-y, toi" et ce jeu continue, jusqu'à ce qu'il me dise "au pire, on peut la prendre tous les deux".
Sur ces mots, j'ai quelques secondes de bug. Je repense à la dernière fois et je suis de nouveau gêné. "Non, t'inquiètes, vas-y" - "ça ne me dérange pas, c'est plus pratique et ça nous évite à tous les deux d'être crado". Je finis par accepter. Je lui dis de partir devant, que je le rejoins après.
Le fait de savoir que j'allais voir complètement nu cet homme qui m'a tant fait fantasmer m'excite et m'inquiète. Idée idiote, je décide donc de me branler dans ma chambre avant de le rejoindre, comme ça, je me suis dit que je n'aurai pas d'érection en le rejoignant. Et quand je me branle, je pense à lui, à l'idée de le voir nu, le corps trempé. Je ne tarde pas à jouir. J'entends déjà l'eau couler quand je me décide enfin à le rejoindre. J'ai quelques secondes de bug devant la porte de la salle de bain mais je prends mon courage à demain et entre.
La buée est telle sur la paroi de la cabine de douche que je vois juste sa silhouette. Merde, ça m'excite. Je ne bande pas mais je suis excité. Il m'a entendu entrer et me dis "viens, l'eau ne va pas rester chaude éternellement". Je me désape et le rejoins. Forcément, il est totalement nu et je ne peux m'empêcher de le regarder. Au repos, sa queue est magnifique. Épaisse, avec veines apparentes. Il me sourit et m'invite à aller sous l'eau. Tout le long, je le regarde. J'admire aussi son cul, parfaitement bombé. Putain, je bande. Je me tourne donc, de sorte à être dos à lui pour pas qu'il me voit, car je me sens assez honteux.
D'un coup, il me demande si je peux lui passer du gel douche sur le dos. Gêné, je lui réponds malgré tout que oui, il n'y a pas de problème. Je m'exécute, en essayant de m'appliquer. Je suis encore plus excité. Là, il me dit "eh, Thomas, je t'ai juste demandé de me mettre du gel douche, pas de me faire un massage" - "désolé" - "nan mais c'est très bien, tu pourras m'en faire un en sortant ?" encore plus gêné, je lui réponds que oui. Je continue et me met à laver ses fesses. Bon sang, qu'elles sont fermes et poilues, parfaitement viriles. "Oh, Thomas, je peux le laver seul, ça" me dit-il en riant. Gêné, j'arrête et me retourne, je ne veux pas qu'il voit mon érection.
L'eau commence à devenir vraiment froide, il sort donc. "Toujours ok pour le massage" - "Ouais ouais" - "Super, je t'attends dans ma chambre". Moi, je reste un peu sous l'eau froide, rien de tel pour calmer mes ardeurs. Je m'essuie et le rejoins dans la chambre. Il est allongé sur le lit, sur le ventre, complètement nu, comme si son cul bombé était à ma merci. Je l'admire et il me lance en riant "c'est quand tu veux, Thomas" - "ouais, pardon".
Je commence à le masser en m'asseyant à côté de lui. Je passe mes mains sur ses épaules, son dos, en insistant bien. Il lance quelques gémissements et quelques "c'est bon". Ça m'excite. Moi, j'ai juste une serviette autour de la taille. Je commence ensuite à lui masser les fesses, il ne me dit rien. Putain, je suis de plus en plus excité et cette excitation me donne des ailes. J'enlève ma serviette et m'assoit à cheval sur lui, sur son cul. Il ne dit rien. Je prends un putain de plaisir à le masser, à l'entendre gémir. Ma queue est raide comme jamais, mais j'essaye d'éviter qu'elle se pose sur lui. Heureusement, quand je bande, ma queue a tendance à pointer vers le ciel. Le ciel, le septième ciel, ouais, je suis au septième ciel.
Je prends mon courage à deux mains. Toujours assis sur son cul de rêve, je me penche et commence à l'embrasser dans le cou. Je le sens se raidir, il me dit de m'arrêter. Mais je continue. Après tout, il ne me repousse pas. De temps à autre, il continue même à gémir. J'embrasse son cou en lui massant les épaules. C'est d'un érotisme pur. Soudain, il tourne sa tête. Nos regards se croisent. Pour une fois, c'est lui que je sens gêné. Mais il continue de me regarder dans les yeux. Ma queue raide et chaude et allongée sur sa raie, il le sent sûrement. Nous nous fixons quand je me décide de lui lâcher un baiser. Un simple baiser, sans langue, rien. Un smack, comme on dit. Il me sourit, gêné. Putain, qu'est-ce qu'on fait ? M*rde, c'est mon beau-père, le mec de ma mère.
Je descends et m'allonge à côté de lui. Il me prend dans ses bras, pose sa tête sur la mienne. Il me caresse les cheveux. Je me décide à l'embrasser, un vrai baiser. Il ne me repousse pas. C'est un long et tendre baiser, comme si aucun de nous deux ne voulait qu'il s'arrête par peur de ce qui pourrait se passer après. Je finis par m'endormir, dans ses bras. À mon réveil, en début d'après-midi, il n'est plus dans le lit. Je descends, je l'appelle, il est parti. Je suis seul. Putain, où il est ? Qu'est-ce qu'il va se passer, maintenant ?
Tommie
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