Épisode précédent
Hétéro footballeur violé par une racaille trop puissante -2
Un mois avait passé depuis mon " agression " suite au match de foot que j'avais remporté avec mon équipe. Nous avions laminé l'équipe adverse, elle n'avait eu aucun chance face à notre attaque. Nous avions donc fêté notre victoire dignement, chez un des joueurs, un de mes potes, et bien entendu, j'étais parti de la fête un peu bourré. Tellement bourré que lorsqu'un racaille de deux mètres m'avait attaqué plus tard dans la rue, alors que je pissais contre un mur, je n'avais pas été capable de me défendre. Moi qui pourtant faisait normalement peur aux mecs, voila que je m'étais fait exploser. Pire, cet enfoiré m'avait pissé dessus et m'avait forcé à le sucer et à avaler son sperme dégueulasse. Le lendemain matin, je m'étais réveillé couvert de bleu, le nez presque pété et avec un goût dégueulasse dans la gueule. Et quand j'avais découvert, sur mon maillot, des trainées de sperme et l'odeur de la pisse, j'avais failli dégueuler.
J'avais passé trois jours au lit, à prétendre être malade, pour ne voir personne et pouvoir me remettre un peu, tant physiquement que sur le plan moral. Putain, je m'étais fait violer la gueule par une racaille quoi ! Je me sentais comme une merde, limite j'avais l'impression d'avoir perdu ma virilité, pourtant énorme.
J'avais lavé et relavé mon maillot, mais j'avais toujours l'impression de sentir la pisse de ce mec dessus.
Malgré tout, un mois plus tard, je retrouvais finalement mes potes pour un entraînement entre nous. J'avais enfilé mon maillot, même si je me sentais sali avec, mais je faisais mine de rien. Arrivé au terrain, j'avançais tranquillement, bien qu'ayant encore un peu mal aux abdos. Mes potes me chambraient alors d'avoir été malade trois jours, n'arrêtant pas de déconner sur le fait que ça soit à cause de l'alcool, disant que je ne le tenais pas tant que ça etc ... . Je rigolais avec eux, même si, au fond, j'espérais qu'ils n'apprennent jamais la vérité sur ma " maladie ". Je n'avais pas vraiment envie qu'ils sachent qu'une racaille du village d'à côté m'avait éjaculé à la gueule et m'avait cogné tellement fort qu'en deux coups j'étais à terre, moi qui n'avait jamais perdu le moindre combat.
Le match se déroula bien, je me défoulais, et je marquais aisément des buts, juste en m'imaginant viser la gueule de ce bâtard. Au vestiaire, mes potes me félicitèrent cette fois-ci, et arrêtèrent de me chambrer sur l'alcool. On prit notre douche ensemble, comme d'habitude, mais j'avais carrément du mal, cette fois-ci, à oser aller avec eux. Pourtant je le fis, et heureusement, personne ne remarqua que j'avais un léger bleu sur les obliques. Il avait disparu, heureusement, parce qu'il était énorme quelques jours avant.
Bref, après le match, on me proposa d'aller boire un verre. Cette fois-ci, je refusais, et j'expliquais que je devais rentrer chez moi parce qu'une " cochonne " m'y attendait. Je prétextais donc devoir niquer une nana histoire que mes potes ne me fassent pas chier, et au contraire, évidemment, ils me félicitèrent, et me dirent qu'avec ma grosse queue, elle allait prendre cher.
Requinqué par cette ambiance qui m'avait fait oublier mes déboires du dernier match, je rentrais donc tranquillement chez moi. En avançant dans la rue, je me rendis alors compte que j'étais dans la même rue que lors de mon " viol ". Le tag était encore sur le mur, et à côté, il y'avait une croix, qui, je l'étais sûr, n'y était pas quelques semaines avant. Un peu intrigué, je ne m'arrêtais pas cependant et je me dépêchais de rentrer chez moi.
Arrivé devant la porte de mon appartement, je l'ouvrais quand j'entendis des bruits de pas derrière moi. Je n'y prêtais pas attention, pensant qu'il s'agissait d'un voisin, jusqu'à ce que je me fasse pousser violemment à l'intérieur de chez moi. Je ne tombais pas, cette fois-ci, mais je trébuchais et avait bien du mal à garder mon équilibre. Surpris, je me retournais donc, et c'est à cet instant là que mon sang ne fit qu'un tour. Devant moi, à l'entrée de mon appartement, se tenait cette racaille énorme, géante. Il me paraissait encore plus impressionnant maintenant que j'étais sobre. Il portait des baskets, un jogging, qui était bien rempli à l'avant, et un tee-shirt, gonflé, très gonflé, par des muscles énormes. Ses biceps étaient incroyables et une énorme veine parcourait ses bras. Je me ruais alors sur la porte pour essayer de la fermer, mais il m'en empêchait et rentrer. J'allais hurler, histoire d'attirer les voisins, mais en un coup de poing, il m'aligna au sol. Je tombais comme une merde, le nez déjà en sang.
Il fermait alors la porte à clef, avec un sourire sadique.
" Dis donc petite pute, je croyais avoir été clair la dernière fois ... tu passes encore dans notre rue ?
- Tu m'as jamais dit ça ! Putain lâches moi, barres toi !
J'te l'ai dis, tu dis quoi, que j'mens, c'est ça ? "
Il me saisit alors par le col de mon tee-shirt et me souleva, comme si je ne pesais rien. Je jetais un regard sur ses biceps, encore plus impressionnants contractés. Il me cracha alors vulgairement à la gueule.
" C'est bizarre mec, depuis qu'tu m'as pompé la teub, j'ai du mal à oublier ta gueule. "
Il me relâchait alors et commençait à descendre son jogging. Mais cette fois-ci, j'étais sobre. Je donnais donc un violent coup de pied au niveau de ses couilles, puis je me relevais et lui assénait un coup de poing dans le menton. Il était surpris que je me rebelle, et j'étais ravi de pouvoir le cogner. Cependant, vu la taille de ses muscles, je savais que j'aurai du mal à gagner ce combat. Je me barrais donc en direction du salon où il y'avait mon portable, que je n'avais pas emmené au match.
Je le saisissais, et commençait à appeler la police. Mais la racaille se mit derrière moi, me donna un coup de coude dans la nuque et me saisit mon téléphone. Il le jeta alors violemment contre le mur, mon téléphone se brisa net, et alors que j'étais plié sous la douleur du coup, il en profita pour baisser mon short, découvrant mon cul très musclé par le foot et totalement vierge bien entendu.
" Ton cul a l'air d'être un vrai garage à bite ! "
Il posa alors son doigt sur mon anus. Je me redressais tout à coup, électrisé par ce contact. Je lui donna un violent coup de coude dans la gueule, et je saisis sur la table du salon mon cendrier. Il n'était pas solide, mais je n'avais que ça. Je lui envoyais donc à la gueule, et j'enchaînais avec une série de coups de poings dans ses abdominaux. Et comme quelques semaines avant, c'était moi qui me fit le plus mal. Mes poings étaient écorchés, et surtout, surtout, j'avais à nouveau terriblement mal au poignet. Mais cette fois-ci, c'était une douleur bien plus vive. J'avais du me faire un peu mal le mois d'avant, mais là, je venais de me le finir. Je grognais alors de douleur en me le tenant, je n'arrivais plus à bouger la main sans souffrir. Il en profita, et me saisit les couilles. Il me les broya violemment, puis m'asséna un puis deux coups de tête dans la gueule, avant de me saisir les cheveux pour venir m'exploser la gueule contre ses pecs. Et croyez moi, c'était comme se prendre le mur le mois dernier. Je tombais violemment sur la table, qui se brisa sous mon poids, le nez en sang, la main droite très douloureuse et les couilles à moitié écrasées.
" Tu crois quoi, que t'es la première pute à te rebeller ? Hein ? T'as vu tes muscles de fiottes ? Tu crois pouvoir me défier, sale pute ? "
Il retira alors son tee-shirt, et je restais scotché face à un torse aussi musclé. Il semblait imbattable, comme si rien ne pourrait le blesser. Il s'approcha alors, je tenta de le faire plier en lui foutant un coup dans le genou, mais il ne fit que lever la jambe, et abattit sa basket dégueulasse sur ma gueule. Il m'écrasa violemment le visage, puis se mit à me donner coups sur coups dans la gueule, jusqu'à ce que je tombe inconscient, le visage plein de sang.
Je me réveillais une heure après, j'étais à poil par terre, j'avais sa chaussette enfoncée dans la bouche, et une odeur déguuelasse me vint au nez. Ce n'était pas sa chaussette, qui puait aussi cependant, mais une odeur que je ne connaissais déjà que trop bien : sa pisse. Ce bâtard m'avait pissé dessus !
Il était là, devant moi, assit sur le canapé tranquille, en train de faire une vidéo de mon état. Il était à poil, et putain, sa queue était énorme, et déjà dressée contre son torse incroyable. Elle remontait jusqu'à ses pecs carrés, sans problème. Son gland était circoncis, elle était très bronzée, presque noire même, et ses burnes étaient bien poilues, et surtout très grosses.
J'essayais de me relever, mais cet enfoiré m'avait cogné tellement fort que j'avais encore du mal à bouger convenablement.
Il se mit alors à rire, comme un sadique, et posa son téléphone sur la table, de façon à pouvoir me filmer encore sans le tenir.
" Alors grosse chienne, t'as fait une sieste ? J'en ai profité pour me soulager, j'avais envie de pisser et j'trouvais pas tes chiottes, et puis j'me suis souvenu que t'étais un très bon trou à pisse ! "
Il m'agita sa queue énorme au dessus de la gueule, puis se pencha pour la laisser traîner sur mes pecs. Il me fourra bien sa chaussette dans la gorge avec ses deux doigts, à tel point que je n'arrivais presque plus à respirer.
Puis, les choses s'accélèrent. Il vint se mettre entre mes cuisses musclées, me les écarta, et glissa un doigt sur ma raie d'hétéro.
" Alors, tu t'es déjà fait prendre ma salope ? Mmmh ... t'as l'air serré, rien qu'au toucher ... peut être bien que tu fais que pomper ? Mais avec moi, on se fait niquer aussi, et crois moi, putain, j'ai les burnes bien remplies là ! "
Il titilla ma rondelle vierge, en effet, puis cracha sur sa bite énorme, et la présenta à mon cul.
" T'as des capotes ? Je pense ouai ... mais sûrement pas à ma taille, ta bite est trop petite ! "
Quel enfoiré ! Je me foutais des king size, et déjà j'avais la queue qui serrait dans la capote, mais c'était clair que la sienne était tellement énorme qu'il aurait peut être bien du mal à en enfiler une.
Bref, il cracha sur sa bite puis sur mon trou, et alors que je recommençais à me débattre, car je sentais qu'il voulait m'enculer, il me prit le poignet et me le tordit. Le droit, oui. Je me mis à hurler, mais avec sa chaussette dans la gueule, impossible qu'on m'entende. Il me tordit violemment le poignet, déjà bien gonflé, puis me foutu un violent coup de poing dans les abdos, et un autre, et encore un, pour me finir. J'avais putain de mal, des larmes coulaient, encore. Je ne pleurais pas, mais je suffoquais et j'avais tellement mal putain.
" TRAINEE "
J'ouvris alors les yeux en grand. Une douleur énorme me prit, je cru que j'allais crever. Mes abdos, mes pecs, mes biceps se contractèrent. Je me mis à hurler de toutes mes forces, mais encore une fois, on ne m'entendit pas. Je le regardais alors, lui se mit à gueuler de plaisir. Et je vis, dans le miroir de l'autre côté de la pièce, qu'il s'était rapproché de moi. Putain, ce bâtard était en moi ! Je me faisais déchirer en deux. Mon cul saignait, il venait de me prendre à sec, il venait de niquer l'hétéro que j'étais pour la première fois, sans préservatif ou lubrifiant, avec une bite de 25 bon centimètres !
Même moi, avec ma queue de 21 centimètres, certes moins longue et large mais tout de même, je prenais le soin de lubrifier les salopes que je niquais ! Je hurlais, je pleurais, je me débattais. Mon cul souffrait, putain j'avais chaud, j'avais froid, je douillais vraiment ! J'avais l'impression qu'on me déchirait en deux, j'avais l'impression qu'on m'avait crevé !
Il me saisit alors à la gorge et se mit à m'étrangler violemment, puis il me cracha un énorme mollard à la gueule, et se mit à m'enculer violemment. Toute sa queue était rentrée, son gland énorme cognait ma prostate, mais cognait surtout bien au fond de mon cul. Je pissais le sang sur sa bite, il s'en tapait royalement. Je hurlais, encore et encore, mais j'étouffais surtout, et je commençais à tourner de l'oeil. Il me foutait des baffes pour me réveiller, et continuait de me niquer, en me cognant par moment dans le bide. Puis, il cracha sur ma queue, et il se mit à me cogner bien plus fort dans le cul, et surtout, à cogner ma vessie. Incontrôlable, je me mis à me pisser dessus. J'étais humilié putain, je me faisais enculer par une racaille de deux mètres, qui me maitrisait sans mal, et en plus, je me pissais dessus. J'avais les larmes qui coulaient, qui imbibaient sa chaussette déjà pleine de bave. Lui il rigolait, il gueulait de plaisir, il bandait ses énormes muscles, il me cognait.
Il me baisa presque 40 minutes, de très très longues minutes. Finalement, il se retira, se branla, et s'enfonça d'un coup. Il hurla de plaisir, me saisit la gueule, et me la cogna violemment contre le sol. Il éjacula alors, en moi, dans mon cul, dans mon bide. Je sentis les jets, mais surtout, je sentis sa queue se contracter, et je l'entendis hurler de plaisir. Il venait de me marquer comme sa femelle putain ! Il se retira, se termina sur mon torse, puis il agita sa queue, pleine de sperme et de sang, sur ma gueule.
" T'es vraiment une bonne pute, t'as une gueule de pute, un corps de pute, une bite de pute et un putain de cul de pute ! J'suis sûr que t'es qu'une grosse lope mec ! Et maintenant, t'es ma lope putain ! "
Il me cracha encore à la gueule, se releva, me marcha dessus, sans y mettre tout son poids sans quoi il m'aurait sûrement broyé, puis se dirigea vers la porte de ma chambre.
Il en ressortit avec un boxer à moi, une paire de chaussette et surtout, le maillot de rechange que j'avais pour mon équipe. Il le roula en boule et se dirigea vers ses vêtements pour les renfiler.
" J'te laisse mes chaussettes et mon boxer, ça te fera un souvenir grosse salope ! Ha et au faite ... essayes pas d'en parler, sinon j'la fais tourner. "
Il me montra alors son portable, qui avait tout enregistré. Il le prit d'ailleurs et le rapprocha de mon cul, très ouvert, en sang, déchiré et rempli de sperme. Puis il filma bien mon visage, ma gueule pleine de sa chaussette dégueulasse, et mes larmes, avant de se rhabiller et se diriger vers la porte.
" A plus, grosse pute. Maintenant que je sais où t'habite, je viendrais souvent te voir, dès que j'aurai envie d'me vider les burnes ! "
Il ouvrit la porte, sortit puis la referma, me laissant là, au sol, le cul déchiré, le corps plein de bleus, de mollards, de sperme et de ma pisse et en plus la bouche encore pleine avec sa chaussette.
Je mis dix minutes à me la retirer, j'étais sous le choc, je n'arrivais pas à me relever. Mes jambes tremblaient, mais surtout, je douillais au cul. Je montais sur mon canapé tant bien que mal, et je glissais des doigts vers mon anus. Putain, il était déchiré, et plein de sperme. J'avais les doigts couverts du jus de ce bâtard. Et sans savoir pourquoi, je les porta à ma bouche. C'était dégueulasse, mais putain, j'avais besoin de contrôler quelque chose. Je me mis donc à bouffer le sperme qui sortait de mon cul, pendant vingt minutes. Et finalement, je le regrettais, et je me relevais tant bien que mal. J'alla me doucher, et je du m'asseoir dans ma douche pour ne pas tomber dans les pommes.
Je ne pouvais rien dire, et je ferai mieux de ne rien dire, car cet enfoiré avait tout enregistré. Il savait où je vivais, et en effet, deux jours plus tard, j'allais vite savoir qu'il avait une bonne mémoire.
Pour toute remarque, avis, proposition : resleztx@hotmail.fr
Merci à vous !
Heterofooteux
resleztx@hotmail.fr