Hétéro footballeur violé par une racaille trop puissante
Vous auriez du me voir, ce soir là. Notre équipe avait gagné, alors avec mes potes, on avait bu, franchement pas mal. Vers 3 heures du matin, je sortais du mec chez qui on avait fêté ça. Notre équipe avait gagné bordel ! On était une bande de footeux, ensemble depuis plus de dix ans. On jouait dans le même club, pas un gros club bien sûr, une équipe locale. Mais on avait remporté le championnat, on avait foutu trois buts dans la gueule de l'autre équipe, et nous voilà donc champions. On était refaits ! Pendant le match, c'était moi qui avait marqué le premier but, et autant dire que ça avait électrisé tous mes potes, qui ensuite, s'y étaient donnés à coeur joie. L'autre équipe n'avait fait que subir notre attaque, impossible pour elle de se défendre, et on y était allé ! Un but à 10 minutes, un autre avant la mi-temps, et le dernier à cinq minutes de la fin, le pied quoi !
Bref, nous avions fêté ça, on avait bu, on avait déconné, et surtout, on avait profité ! Peut être un peu trop ? En tout cas, à trois heures du matin, je me voyais mal rentrer chez moi en voiture, alors comme je n'habitais pas loin, à environ dix minutes à pied, je décidais de rentrer comme ça, et puis, ça me ferait prendre un peu le frais. Rien qu'en sortant dehors, je me sentais un peu moins bourré. Je commençais à marcher tranquillement, quand j'eu envie de pisser. Normal, avec les bouteilles de bière que je m'étais enfilé toute la soirée. Il était trois heures du mat', autant dire que je pouvais pisser sur le mur, personne me verrait ! Je me dirigeais donc vers un petit renfoncement, et je commençais à pisser pépère sur un tag, sans vraiment y faire gaffe. Je tenais à peine debout, j'étais obligé de me tenir. J'étais encore avec mes crampons, mon short et mon tee-shirt, on avait passé la soirée comme ça, habillés comme pendant le match. Il faut dire qu'on ne pouvait pas fêter la victoire sans être habillé avec nos tenues. J'essayais de pas me pisser dessus, ça me ferait chier de pisser sur mes chaussures, elles étaient assez chères comme ça.
Alors que je me terminais, j'entendis quelqu'un approcher. Mais trop bourré pour réagir, je me secoua simplement la bite pour me terminer sur le mur. C'est alors qu'on m'attrapa violemment par la nuque, et qu'on m'explosa la gueule contre le mur en face. Autant dire que le coup, la surprise plus l'alcool conjugués m'ont laissé comme un con. Je me suis étalé par terre comme une merde, la gueule dans ma pisse. Dégueulasse ! Je me retournais, tant bien que mal. J'avais l'air malin, 1m91, 85kg de muscles et j'étais même pas foutus de résister à un pauvre coup. Faut dire que j'avais déjà du mal à tenir debout, donc bon, j'étais excusable.
Lorsque je me retournais, je pu voir mon agresseur. Il était immense. Déjà que moi, on me regardait souvent avec mon mètre 91, alors lui, il ne passait pas inaperçu, carrément pas ! Pourtant, j'avais du mal à trouver des gars " grands ", vu ma taille, mais là, je devais bien avouer qu'on ne jouait pas dans la même cours. D'ailleurs, au niveau de la carrure non plus. Et pourtant, les meufs, elles raffolaient de mes muscles. Faut dire que j'étais bien taillé. Des pects épais, bien durs, avec deux tétons foncés. Un bon pack de six biens visibles, comme taillés dans la roche, avec des obliques tout aussi bien tracés. Des cuisses très larges, de bons gros mollets très musclés, normal vu que je pratiquais presque tous les jours. Mais ce type, putain, il avait les épaules deux fois plus larges que les miennes, et j'vous parle même pas de ses biceps, on aurait dit mes cuisses ! Et pourtant, encore une fois, vu le foot, mes cuisses étaient sacrément développées ! Ouai, ce type devait mesurer plus de deux mètres, facile, et faisait bien le double de ma carrure. J'étais impressionné sur le coup, mais toujours choqué. Je bafouillais alors, en sentant ma pisse sur mon visage.
" Bordel, qu'est-ce t'as mec ? C'est quoi ton problème ?
- Le blem ? Tu pisses sur notre tag putain, sale bâtard ! T'as cru quoi ? Qu'on était tes chiottes ?
Hein ? Quel tag ? Ha ... ouai non mais je pissais sur le mur, pas sur le tag !
- C'est ça ouai ! Sale bâtard ! J'vais te faire passer l'envie d'pisser sur notre clan ! "
C'est là que ça me revenait. Ce tag, c'était le signe d'un clan bien connu, du village d'à côté. Le même village qu'on avait éliminé quelques heures avant d'ailleurs. Putain, ce type pensait vraiment que j'avais pissé sur son tag exprès ? J'en avais tellement rien à foutre !
Pourtant, lui prenait la chose au sérieux. Il se pencha, loin d'être bourré pour sa part et donc en pleine possession de ses moyens, contrairement à moi, et m'agrippa par les cheveux. Il me tira, pendant que je grognais de douleur, et m'envoya un putain de coup dans les abdos. J'eu à peine le temps de les contracter. Personne ne m'avait jamais fait autant mal en me tapant dedans. Putain, pourtant dans les vestiaires, c'était pas rare qu'on teste les abdos des autres, en donnant des coups pour déconner. Avec moi, les mecs y allaient forts, et pourtant, je résistais tout le temps. Mais là, il me sécha, clairement. J'eu le souffle coupé, et je ne vis même pas le coup de poing arriver dans ma gueule. Je me retrouvai le nez en sang en moins de deux, et le souffle court.
" Tu fais moins ton malin hein, sale merde ? Putain t'as d'la chance que j'étais seul, mes potes et moi on t'aurait crevé sinon ! "
Je ne savais même pas quoi répondre. Il me relâcha, la gueule encore dans ma pisse. Je pensais qu'il allait me laisser là. Je pensais qu'il avait sa " revanche ", mais il semblait sacrément énervé. Et quand il remarqua la couleur de mon maillot, son sang du ne faire qu'un tour. Il posa son pied sur ma queue, et se mit à me l'écraser violemment. Je me mis à hurler de douleur, et essaya de lui retirer le pied en m'agrippant à son mollet. Un mollet énorme d'ailleurs putain, mes biceps quoi !
" H putain .... Arrête sale enfoiré !
- T'es un putain de fils de chienne, putain j'y crois pas ! T'es un de ces enfoirés qui a éliminé l'équipe de mon bled ? Putain, tu pisses sur notre clan, et en plus tu fais parti de ces enculés ? J'vais te démonter sérieux ! "
Il me broya presque la queue avec son pied, puis me choppa par le col, me souleva sans peine, malgré les 85kg, et me donna un nouveau coup dans les abdos. Je réussi à les contracter totalement cette fois-ci, mais je sentis quand même le coup passer, et un sacré coup, encore une fois ! Il me cogna la gueule contre le mur, puis, il se mit à m'étrangler. Je commençais à tourner de l'oeil, mais il n'en avait pas fini avec moi, ho non.
Il me relâcha, me refit tomber dans ma pisse, et me donna un coup de pied dans les burnes, puis dans la gueule. Putain, je me faisais éclater comme jamais ! Moi qui n'avais jamais perdu un seul " combat ". Et pourtant, c'était souvent arrivé, avec des équipes adverses après un match, ou avec des cons à l'arrière d'un bar. Jamais je m'étais fait défoncer comme ça. J'étais paumé, je savais même plus comment réagir. Je levais les yeux, alors que la tête me tournait, et je le vis sortir sa bite. Elle était à l'image de son propriétaire. J'avais une queue déjà franchement pas mal, bien au-delà de la moyenne, mais la sienne bordel ... . Mais, pourquoi sortait-il sa teub ? Je le découvris bien vite, puisqu'un jet de pisse explosa sur mon maillot. L'odeur était immonde ! Là, mon sang ne fit qu'un tour. Alcoolisé, certes, mais il me redonna pas mal de forces. J'arrivais à me relever, et je lui pris la queue pour me mettre à la serrer de toutes mes forces. Et même si ce type était un vrai colosse, j'avais quand même assez de force pour lui broyer la queue ! Il se mit à hurler, voulu me cogner, mais j'eu le reflexe, malgré mon état, de l'éviter. Il cogna le mur, laissa un beau trou dans la brique, et j'eu alors l'occasion de lui cogner les abdos à mon tour. Sauf que mon poing se fracassa dans un bruit sourd et douloureux. Je me mis à gueuler, putain, je m'étais pété le poignet contre ses abdos à cet enfoiré ! J'avais l'impression d'avoir cogné une plaque blindée ! Je me mis à me tenir la main droite, à me la secouer, alors que la douleur me lançait terriblement. Lui se remettait de mon serrage de queue. Et il se remit très vite, trop vite pour moi. Il me foutu un coup de genou dans les couilles qui me fit me mettre à genoux. Je n'arrivais même plus à me tenir les burnes ou la main, j'avais tellement mal putain !
" T'as pissé sur mon clan ? Tu croyais que t'allais t'en tirer avec des bleus ? Putain, j'vais te défoncer sale pute ! "
Je levais les yeux, il venait sérieusement de me traiter de pute ? Moi ? Ca se voyait qu'il ne me connaissait pas ! En général, c'était plutôt moi qui traiter les meufs de pute ! Je m'en étais envoyé tellement, et à chaque fois elles se comportaient comme des chiennes face à mon corps et à ma bite. Elles sautaient dessus comme des affamées, la bouffaient, et surtout, se régalaient de mon jus. Et là, ce connard me traitait de pute ? J'avais tellement envie de l'éclater ! Mais sa bite était toujours sortie, et quand je baissai les yeux je la vis s'approcher. Je refermais tout à coup la bouche, car comme un éclair, j'eus la sensation qu'il avait l'intention de se servir de moi comme d'une nana. Pas manqué, son gland rencontra mes lèvres. Heureusement, elles étaient bien closes, et je n'allais certainement pas les ouvrir. Mais il avait les moyens de me faire flancher, il l'avait déjà prouvé. Il me prit le crâne, et se mit à me le broyer dans sa main. Je gueulai alors, et il m'enfonça violemment sa bite dans la bouche. Putain, elle était énorme, et dégueulasse ! Elle me remplissait les joues, et elle me donnait un goût acre. J'étais dégoûté, j'étais en train de me faire violer la gueule par un titan, qui m'avait même pissé un peu dessus ! Je voulu serrer les dents pour lui mordre la bite, mais il me saisit le menton, comme sachant ce que j'allais faire, me cracha à la gueule un gros mollard et posa son pied sur ma queue, sur mon entre jambe à travers mon short.
" Si tu essayes ne serait-ce que d'y mettre les dents, putain tu deviendras vraiment une femelle, pigé ? "
Je voulais la lui couper avec les dents, putain, mais je tenais à ma bite, et je ne fis donc rien. Il se mit à sourire, le sourire machiavélique qu'on voit chez les enfoirés qui réussissent leur coup. Il se mit à appuyer sur ma bite, pour me prévenir, puis commença à me donner de gros coups de bite dans la gueule. Il se mit à soupirer de plaisir, et sa queue, inévitablement, commença à m'étirer les lèvres. Il se mit à bander, de plus en plus, à un point tel que son gland seul se mit à me remplir la gueule. Sa verge était énorme, elle était aussi épaisse que mon poing, et putain, il était à vingt deux centimètres de moi et je l'avais quand même à la limite de la gorge ! J'étais encore plus choqué, et il en profita pour se mettre à m'ouvrir la gorge avec son gland. Il se mit à me pénétrer la gorge, d'un coup de rein violent, et commença à me violer la bouche plus violemment. En trois coups, qui furent d'une violence énorme, et qui à chaque fois, me firent percuter avec l'arrière du crâne le tag derrière moi, il s'enfonça totalement dans ma gueule. Je suffoquais, je bavais, j'avais envie de vomir. Je ne pouvais plus respirer, je me débattais, mais il se mit à m'appuyer bien plus sur la queue, et j'arrêtai aussitôt, même si les larmes coulaient sur mes joues. Je ne chialais pas, non, je m'étouffais ! Il me cracha encore à la gueule, et se mit à me démonter la gorge violemment.
Au bout d'un quart d'heure comme ça, il se mit à gueuler plus fort, puis se retira d'un coup, se branla deux secondes, et je me reçu alors un jet très épais et brûlant sur la gueule. Il me zébra le visage des cheveux au menton. Un deuxième jet, qui atterrit sur le mur derrière. Un troisième, sur mes cheveux. Un quatrième, dans les yeux, et enfin, un cinquième, directement dans la gueule. Dégoûté de sentir son sperme sur ma langue, je voulu cracher, mais il ne m'en laissa pas le temps. Il enfonça son gros gland dans ma bouche, et m'obligea à avaler son jus. Une fois qu'il eut fini, il s'essuya sur mes joues, étalant encore plus de foutre bien chaud, puis se recula, en souriant, la queue bien tendue, énorme, comme son corps très musclé.
" Voila, maintenant, t'es ma femelle. Je t'ai marqué, comme une pute. Alors la prochaine fois que tu oseras pisser sur mon tag, et que tu marqueras contre mon village, laisse moi te dire que je te ferai ça devant tous mes potes, pigé ? "
Je ne répondis pas. Il me gifla alors violemment, me cogna avec sa bite, puis, pour finir, me prit la gueule, et me la colla violemment contre le mur, contre le sperme qui coulait dessus.
" Lèches. "
Je me pris le mur trois fois, avant de sortir la langue, pour lécher son tag et le sperme. C'était dégueulasse, humiliant. Finalement, il me laissa tomber au sol, rangea sa queue énorme, et partit comme il était venu. Moi, j'étais au sol allongé, le corps couverts de bleus, le nez en sang, et le visage plein de sperme. J'avais honte, je venais juste de me faire violer la gueule par un racaille. D'ailleurs, je remarquais qu'il n'était pas habillé en tenue de foot. Il ne jouait donc pas dans l'équipe, mais il devait être un supporter, et un supporter de la cité d'à côté, vu comme il était habillé. Un jogging noir, des baskets et un tee-shirt qui moulait ses énormes pecs. Ouai, je venais de me recevoir le sperme d'un racaille dans la gueule ! J'étais donc là, ce pur hétéro à niquer meufs sur meufs, à avoir une réputation de coureurs, à avoir aussi cette réputation de gros juteur et de très grosse bite, allongé au sol, le corps meurtri. Malgré mes muscles énormes, qui avaient collé des gars bien taillé au sol en deux minutes, je venais de me faire démonter par un colosse de deux mètres, et surtout, je venais juste, moi, l'hétéro footballer d'1m91, de me faire juter dans la bouche par un enfoiré.
Je me relevais, tant bien que mal, humilié. J'avais mal à la bite, mal aux abdos - je découvrirais plus tard un énorme bleu dessus - , mal à la gueule. Le sperme séchait sur mon visage, dans mes cheveux, et je puais la pisse de cette racaille. Je me mis debout, et je rentrai chez moi, tant bien que mal. Une fois arrivé, je pris une douche, je m'allongeai, je m'endormis, et je me réveillai le matin avec l'impression d'avoir rêvé. Je me relevais, ravi que ça n'ait été qu'un mauvais cauchemar, jusqu'à ce qu'une douleur énorme me fit me rasseoir. Je relevais mon tee-shirt et découvrait un énorme bleu sur mes abdos, et dans le miroir, je découvrais aussi de gros bleus sur ma gueule. Ca n'avait pas été un cauchemar, et quelques semaines plus tard, ça ne serait pas un cauchemar non plus ... mais ça, vous le saurez plus tard.
Pour toute réaction, avis, critique ou pour me dire à quel point vous avez aimé mon histoire, ce qu'elle vous a fait : resleztx@hotmail.fr .
Heterofooteux