Je venais pour mes vingt ans de louer une maison à l'écart dans l'arrière pays de Montpellier pour mes vacances,mais après quelques jours de farniente et de bronzage, je m'ennuyais ferme. Je me suis alors connecté sur internet sur un site gay, où je discutais de mes fantasmes sur un forum commun. Je reçu alors un message d'une personne dirigeant un sex-shop, me proposant de les réaliser.N'y croyant guère cette personne me proposa de la rencontrer dans un café proche de chez moi,ce que j'acceptais piqué par la curiosité. Une heure après, il arriva, c'était à mon grand étonnement une personne assez jeune et bien bâti. Nous avons discuté une bonne heure et nous sommes tombés finalement d'accord. Il promit de réaliser mes fantasmes, et moi en contrepartie, je devais suivre le scénario de départ,le reste il s'en occupait me réservant des surprises, si cela marchait bien avec sa clientèle. Comme il voyait à ma dégaine et à ma tenue, que je n'y connaissais rien, il me préparerait un peu avant l'entrée dans l'arène. J'avais simplement une tenue imposée pour venir,basket, short très court de sport rouge échancré sans slip et tee-shirt blanc moulant.
Vers 23 heures, je me présentais ainsi à l'entrée où je fus pris en charge par le gérant qui me confia à son adjoint pour me préparer. Je fus emmené dans l'arrière boutique où je me déshabillais complètement, il m'expliqua que je devais avoir le cul propre. Il m'amena à la douche où un embout était vissé. Il fit couler de l'eau tiède et m'introduit l'embout et me purgea ainsi le cul, il recommença trois fois. Il me dit ensuite, tu finis tranquillement de vider ton surplus d'eau dans les w.c, et dès que tu te sens prêt, tu rentre baguenauder dans les rayons, tu te laisses faire et le patron s'occupe du reste, crois moi avec ce qu'il a prévu tu ne vas pas être déçu. Une demi-heure après, je me rhabille et pénètre dans le magasin,je farfouille un peu dans les rayons à la recherche de tout et rien. Au rayon des plugs, je sens une main qui me caresse les fesses puis devant mon inaction et mon sourire, me les pelotent. Un autre client voyant le manège s'approche et me prend carrément les couilles en mains et me malaxe les pruneaux. Le premier pendant ce temps a passé sa main sous l'élastique du short et me l'a descendu à mi-fesses.Je commence à gémir car mes couilles sont bien pressurées et mon cul commence à être doigté. Le spectacle ainsi donné a rassemblé pas mal de voyeurs qui assistaient à la scène.
Le patron est arrivé et m'a empoigné les bras avec son adjoint. Alors une petite pute se donne en spectacle? Il m'a collé deux baffes retentissantes et m'a emmené vers le fond de la boutique, tout en disant aux clients présents de le suivre et dire au caissier de fermer la porte du magasin. Je fus traîné avec mon short à présent à mi-cuisses, menotté et accroché à un crochet poulie,mes chevilles attachées à une barre d'écartement. Alors ça fait quel effet? Tu croyais faire ce que tu veux dans ma
boutique? Je vais donc te traiter comme une pute. Il invita les clients présents à faire cercle autour de lui pour mieux voir. Il arracha mon short à présent inutile et fit de même pour mon tee-shirt. Il dit alors, tu vois t'est même pas une pute t'est poilu. Il sorti alors une tondeuse corporelle et me rasa les bras, les aisselles, le torse, le dos,les cuisses et les jambes. Puis il sorti une paire de ciseau me tailla en gros les poils du sexe,et demanda en sortant d'un comptoir une bombe de mousse à raser et un rasoir, à l'une des personnes présente de bien vouloir me raser le sexe, ce qu'elle fit avec délectation pendant que des flashs crépitaient. Puis il demanda à une autre de bien rendre lisse ce petit cul blanc, ce qu'elle fit en me badigeonnant bien la raie et en écartant pour bien enlever tout les poils. Après cette séance de rasage, il laissa la clientèle me tripoter pendant un quart d'heure, ils n'hésitèrent pas à me tripoter, me pincer les seins et tout le corps,me comprimer les boules, j'étais un morceau de choix à leur disposition. Puis après cette séance éprouvante,il reprit les choses en mains. Il me fis subir le martinet frappant davantage les reins,les cuisses et de temps à autres le sexe, ma peau rougissant de stries et moi criant sous les coups. Au bout d'un quart d'heure de ce traitement, il me dit de répéter après lui, je suis ta pute, je ferais ce que tu veux. Chose que je refusais (c'était convenu). Simulant une déception, il prit un strap en cuir dans le rayon et frappa mes fesses, elles passèrent progressivement du blanc au rouge écarlate, je ne pouvais plus tenir, je donnais donc la phrase attendu, et dut ensuite la crier, car il voulait que tout le monde l'entende bien. Il m'en asséna encore vingt coups pour l'avoir fait attendre. IL me fit détacher de la poulie, me menotta dans le dos et me fit mettre à genoux. Il me dit alors, mes putes à moi ont aussi le crâne rasé et sur ce, me rasa la tête avec la tondeuse. Il héla un mec qui filmait et lui dit, il est tondu mais pas encore à blanc, ça te dit de finir le travail? Devant son acquiescement, il lui tendit mousse et rasoir. Cela lui prit dix minutes, mais j'avais le crâne vraiment à nu. Le patron me regarda et dit à l'assistance vous avez vu? Il vient de se faire raser et ça le fait bander. On s'occupera de ta bite tout à l'heure,pour l'instant suce la mienne. IL ouvrit son pantalon et je dus sucer avec application tout en prenant des baffes, une belle bite qui manquait de m'étouffer à chaque succion. Pendant ce temps son adjoint avait apporté un petit cheval d'arçon ou après cette suce, je fus promptement installé. Un liquide froid arriva sur ma raie et le patron appuya sa bite qui eut un peu de mal à forcer le passage, mais une fois rentré le mal fut pour moi, qui ait crié de douleur sous les rires de l'assistance. Il allait et venait lentement, puis accéléra le rythme. La douleur s'estompa et le plaisir venait, mais ne pus en profiter pleinement, car son adjoint présenta à son tour sa bite à sucer, pendant que le patron me pilonnait et ça a duré un moment, il est endurant le bougre. Puis il s'est vidé en moi me remplissant de sa semence chaude. Il laissa ensuite la place à son adjoint, et moi je devais lécher le sperme qui dégoulinait de son sexe. Son adjoint se révéla aussi endurant que son patron et une fois vidé me fit également lécher son sexe.
Mon cul débordait de cette semence et les flashs n'arrêtaient plus. le patron revint et me dit, avec ce que tu as encaissé dans le cul,je te mets un plug adapté pour ne pas nous oublier. La dessus, il m'enfile un plug boule inox qui malgré le sperme, a du mal à rentrer. Je sens que j'aurais des difficultés pour le retirer. Il me redresse, me rattache à la poulie toujours avec mes jambes maintenues écartées. Il me décalotte la verge, colle un adhésif, fait de même sous les boules et relie le tout à un petit appareil. Dès que je comprend ce qu'il vient de faire, c'est trop tard, les premières décharges électriques me font bondir sur place, devant l'hilarité générale. Il connait bien son appareil, car il me fait danser de douleur tout en évitant de me faire juter,les coups sont brefs ou des impulsions plus longues mais qui me secouent bien la bite. Cela dure un moment et me fait transpirer à grosses gouttes. Puis sentant que vais juter, me donne une décharge longue qui me libère de tout le sperme que je peux donner devant une clameur générale et joyeuse. La séance dure encore trois à quatre minutes avec un sexe bien raide, mais devenu douloureux car il ne peut plus rien donner, et que les décharges sont cette fois longues et bien sures violentes. Il me détache les mains, et je dois lécher tout le sperme étalé sur le carrelage. Tâche d'autant plus ardue, qu'il me cingle les fesses avec une baguette fine qui me fait bondir à chaque fois tant la douleur sur le point d'impact est efficace et que l'emplacement change à dessein. Cela me prendra dix bonnes minutes pour arriver à tout lécher. Je sens mon cul en feu, ressentant chaque emplacement de strie. Il m'attache ensuite les mains dans le dos avec cette fois une cordelette, défait mon entrave de pied, et m'emmène vers l'arrière boutique, en disant à la clientèle présente que cette fois la séance était terminée. Une fois là, il me dit, je reviens le temps de fermer la boutique et je m'occupe de toi et de ton retour.
Le patron revint au bout de trente minutes, moi toujours les mains attachées et le cul plugué. Il me dit alors comment a tu apprécié ta séance? J' ai un peu souffert, mais j'ai aimé. Mais une petite chose m'inquiète, dès le début de la séance,tu as déchiré mes vêtements, je fais comment pour rentrer? Ça c'est ma surprise,il m'enfile un bâillon boule-bite,enfile mes baskets et me dis, je te charge tel que, dans ma voiture. Ahuri, mais dans ma situation, je ne peux rien faire,il ferme tranquillement la porte de la boutique il est quatre heures du matin, je ne suis pas à l'aise. Sa voiture est un break de classe, mais en plein sous un lampadaire. Il ouvre le coffre, monte. Tant que nous étions en ville, la situation était calme, mais dès qu'il quitta la ville, les virages, pris un peu vite pour moi me trimbalait dans tout les sens. Enfin, il s'arrêta, me fit sortir et me dit, avant de te lâcher,je finis les derniers détails. Il me fit écarter les jambes et me dit,j'aime bien tes couilles pendantes et sur ce sortit une cordelette, me saucissonna d'abord les boules,puis la verge et noua le tout. Mon sexe est devenu rouge sombre. Un orage approchait, je n'aime pas çà. Il sortit un feutre et écrivit en gros, PUTE PUNIE, sur mon torse et dans le dos. Il me dit alors, connaissant ton adresse,je te dépose là pour ton dernier amusement. Tu n'as qu'a suivre ce chemin qui serpente à travers bois et champs. Tu ne peux pas te tromper,c'est direct vers ta demeure mais à six kilomètres,et il me mit les clés de la maison dans mes mains liées.Ah au fait,il est quatre et demi et le soleil l'été se lève tôt. Et il me planta là. Je partis en courant et au bout de dix minutes l'orage que je craignais se déclencha,me douchant généreusement. J'ai aimé cette sensation de ruissellement sur mon corps rasé. Mais ma joie fut de courte durée. Les chemins se transformaient en bourbier, et je ne voyais pas clair dans les sous-bois.Ce qui devait arriver se produisit. Dans ma course,je suis tombé, en me raccrochant à une racine, m'étalant de tout mon long dans la boue. J'ai lâché les clés, j'ai du me retourner et me traîner ensuite sur le dos pour les retrouver. Cela m'a pris cinq minutes à barboter comme un cochon. Je suis ensuite reparti, transi et l'orage s'est calmé.
Je courais maintenant à travers les sentiers campagnards et essayais de forcer l'allure, car je voyais le ciel se dégager et l'horizon poindre. mais avec ce bâillon, je bavais comme un malade et respirais difficilement. Je passais devant trois fermes heureusement encore endormies et je vis enfin ma maison de location. J'ouvrais la grille, et devant la porte de la maison, je fus rapide à ouvrir le verrou de poignée, mais le verrou haut avec sa clé plate me prit dix minutes mes mains liées étant dures à lever et à cette hauteur sans rien voir cela relève de l'exploit. Lorsque j'y arrive, le soleil levant m'éclaire directement depuis deux ou trois minutes, je me hâte de rentrer.Je mis un quart d'heure pour couper mes liens, je me débarrassais en premier de ce bâillon qui me faisait toujours baver, puis je coupais cette cordelette, qui enserrait mes couilles provoquant une douleur à chaque tour desserré, mais un soulagement au final. Je filais dans la salle de bain pour retirer ce plug qui mon dieu m'a fait mal pour le sortir. J'ai du m'y reprendre à trois fois. Je pris ensuite une bonne douche et alla me coucher, tout en pensant que bien qu'il m'ait fait une surprise angoissante et imprévue, je remettrais bien ça, une autre fois. Je le lui dirais à l'occasion. Ma soirée vacancière était d'enfer.
Toto56