Cette histoire c'est passé début décembre.
Pour des raisons professionnelles, je prend au moins une fois par mois le train pour un long trajet, devant faire RENNES - PARIS MONTPARNASSE dans un premier temps puis je dois changer de gare à Paris pour atteindre la Gare de Lyon et donc relié Genève.
Je partit de RENNES sur les coups de 14h et arrive à Paris Montparnasse sans encombre (pour une fois à l'heure). Une fois à Paris, je sors de la gare et me dirige vers l'arrêt de bus. Après quelques minutes d'attente, le bus n°91 arrive, il y avait beaucoup de monde alors je reste debout. En observant les personnes autour de moi, je remarque un magnifique black, difficile de lui donner un âge mais je dirais la vingtaine, son t-shirt noir moulé de beaux pectoraux, des abdominaux saillant et des bras puissants. Rien à que le regarder, je sentais l'excitation monté en moi, j'avais envie de lui et je comptais bien lui faire savoir alors je décidais de le regarder avec une très grande instance, ne dérivant quasiment jamais mon regard de lui.
Les arrêts défilant les un après les autres, jusqu'à la destination finale, Gare de Lyon, je descendais du bus et à cause de la foule, je ne voyais plus mon bel éphebe, je me faisais une raison et je me dirigeais vers le tableau d'affichage des voies, mais évidement la voie de mon train n'étais pas encore affiché car mon train ne part que dans un peu plus d'une heure.
J'attendais debout, en observant un peu la vie de la gare et tout d'un coup, je sentis une présence dans mon dos et une voix me dit tout doucement dans le creux de l'oreille :
- "Toilettes"
Je me retourne et là, j'aperçois mon beau black qui se dirige vers les WC, sans aucune hésitation, je décide de le suivre.
Heureusement pour moi, j'avais de la monnaie donc je paye et je rentre, je ne vois personne et soudain une porte de cabine s'ouvre, c'était lui, il m'attrape le bras et me tire dans la cabine avec puis il m'assoie sur la cuvette rabaisser, nous n'avons pas dit un mot mais on n'en avait pas besoin, il défait sa ceinture, ouvre les boutons de son jeans et baisse son pantalons à ses pieds.
Il était donc en boxer debout face à moi, une bosse énorme bosse se trouvait à hauteur de mon visage, je baisse son boxer et la un anaconda vient me frapper le visage, c'était la plus grosse bite que j'ai jamais vu, je le regarde et la il murmure :
-"Suce"
Je m'exécute, sa bite était encore molle, je m'applique afin de la faire grossir, ce qu'elle fit, je me régalé, puis je passa mes mains sous son t-shirt afin de lui faire comprendre que je souhaitait qu'il le retire pour que je puisse me sustenter de son torse, il le compris et le retira.
Wouaw ! Sa musculature était impressionnante, tellement que je retire ma bouche de sa bite et lui lèche le torse dans les moindres recoins tout en le masturbant.
Je n'avais jamais était autant excité, ce mec avait un corps splendide, en plus il était black, je qui était un fantasme depuis des années mais surtout le fait qu'il y est beaucoup de passage dans les WC et qu'à tout moment on pouvait se faire surprendre, me rendu complètement fou.
Après avoir exploré la totalité de son torse, je repris la suce, sa queue était tellement bonne, il était doux avec moi, même si quelques biffles venaient frapper mon visage mais c'est moi qui le voulait.
Je tentais des gorges profondes mais son penis était trop imposant pour cela et je risquais de faire trop de bruit, mais il prenait du plaisir, il levait la tête vers le plafond et se pinçais les lèvres comme si il voulait se retenir de gémir.
Au bout d'un certains moment, je ne tenais plus, je voulais qu'il me prenne le cul maintenant. Alors je me déshabille, me tourne et me cambre pour lui offrir mon cul. Je sentit alors un doigt sur ma rondelle, je lui tend une capote mais je n'avais pas prévu de me faire sauter par un black alors forcément ma capote était trop petite, alors il s'approche de mon oreille et me glisse tout doucement :
-"T'inquiète ! J'en est une et elle est à ma taille celle-là !"
Il l'a mît et je sentit alors son gland aux abords de mon trou et il commença doucement à me pénétrer, et à ma grande surprise ça rentre petit à petit, sûrement dû à ma grande excitation, mais je commençais à gémir, alors mon étalon pris son boxer et me le mis dans la bouche, il avait un aussi bon goût que la bite qu'il avait contenu, je le serrais fort pour faire le moins de bruit possible.
En même temps, mon homme arrive à entrer entièrement son penis en moi, puisque je sentit sa fine toison pubienne contre mes fesses, puis il commença à me baiser lentement, cela me procurer encore plus de plaisir, il colla son torse musclé contre mon dos, m'embrassa le coup avec passion tout en faisant des va et viens dans mes fesses.
J'essayais de contenir aux maximum mes cris mais je prenais un tel plaisir que je laissais échapper des petits couinements.
Au bout d'un certains moments, je ne serais estimé les minutes, il accélère légèrement le rythme et me dit dans l'oreille :
-"Je vais juter"
Je lui rétorque :
-" Fais-le dans ma bouche"
Du coup, il retire son sexe de mon cul, je me retourne, lui enlève la capote et four sa bite dans ma bouche.
Il ne fallu pas très longtemps pour que sa queue se contracte et qu'il lâche au moins 7 jets de spermes dans ma bouche.
Une semence que j'avale en plusieurs fois, tellement il y en avait, une fois cela fait, je nettoie sa bite qui ramolli en prenant soin de son gland.
Puis il ouvre délicatement la porte de la cabine et regarde si il y a quelqu'un dans les toilettes et il ramasse son boxer et me dit :
-"Putain, ta foutu de la bave sur mon boxer ! Mais bon je te pardonne tellement tu m'a fais kiffer!"
Il se r'habille, me prend par le menton et me roule une grosse pelle bien langoureuse pendant plusieurs secondes puis il sort une petite feuille de sa poche de jeans et me la met dans la bouche et pour finir il sortit des WC.
Je regarde la feuille et il y avait son numéro dessus.
Mais encore excité et n'ayant pas joui, je ramasse la capote et la positionne sur ma queue bien raide, elle est évidemment trop grande pour moi et 2-3 minutes après je joui en silence dans la capote, je pris mon pied comme jamais.
Je reprend mes esprits, me r'habille, balance la capote dans les chiotte et tire la chasse.
Puis je sortit des toilettes et me dirige vers le tableau d'affichage, regarde la voie de mon train et partit direction Genève.
Depuis, on a échanger pas mal de textos et d'appels mais à mon plus grand désarroi on n'a toujours pas réussi à se revoir.
Voilà, n'hésitez à me dire si cela vous a plu parce que moi ce jour la énormément cela doit ce sentir ! À plus
Detournix
Autres histoires de l'auteur : Rebeu à l'école militaire | Black | Un Hetero m'offre un très beau cadeaux