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Salut à tous
L'aventure ne pouvait s'arrêter à ce simple plan, aussi bon soit-il pour nous deux !!! En effet, Gaël et moi avons continué à échanger sur le plaisir pris dans ma caisse. Il me confiait avoir adoré mes fesses. Je ne vous cache pas que je lui retournais le même type de compliment. Mon étalon d'un soir et son mandrin m'avait fait découvrir un plaisir réel que je ne soupçonnais pas aussi intense ! et pour autant, je pense que j'aime toujours autant prendre un mec. Je suis juste beaucoup plus polyvalent ! et prêt à d'autres types de rencontres...
Je revoyais régulièrement les images de son visage, si mignon et surtout de notre baise bien torride. Nos positions, limitées par l'espace, ont dû ajouter au charme, ou plutôt à l'intensité de nos ébats. Je le revoyais me limant, et moi complètement pris par ce mec, sans trop de possibilité de m'échapper et juste couinant mon plaisir. Gaël me confiait :
- " En plus je pense que j'ai été empêché d'aller à fond en toi "
- " Ça m'a suffi pour que je comprenne largement ce qui se passait t'inquiètes et j'ai kiffé "
- " je suis sûr que je peux mieux faire encore "
- " à l'occasion alors ? "
- " grave "
Je le lançais volontairement, même si j'étais pas certain qu'on se capterai à nouveau. Ca semblait compliqué pour lui sans caisse et Agnetz n'était pas mon chemin direct. Je me disais que ça resterait un super souvenir de baise...jusqu'à ce qu'il me parle d'une virée potentielle sur Paris pour une rencontre genre salon pour étudiants. Malheureusement pas disponible ce jour !
- " Et le soir t'es chez toi ? "
- " à part si je suis sur un plan caisse, habituellement oui "
- " bon point " répondait-il à mon humour
- " tu veux passer vendredi soir ? "
- " bah ouais, ça m'occupera ma soirée. Mieux que rien "
- " .... un point partout "
La visite de Gaël me réjouissait d'avance. Et j'avais hâte d'être à vendredi. Je l'invitais pour le repas et il était prévu qu'il vienne après avoir été chez un de ces potes.
Le jour J, on était toujours aussi chaud pour se revoir et je faisais le nécessaire pour pas trainer au taf. J'avais du rangement ! J'en profitais aussi pour me faire beau - de partout ;)
Il faisait un temps magnifique et je mis la table sur le balcon. Gaël arriva, toujours aussi mignon. A tomber, avec un petit costard. Sa gueule d'ange était toujours aussi fascinante et on sentait toute la puissance du jeune adulte. On s'embrassait et après trois banalités sur l'appart qu'il aime beaucoup, il m'avoue avoir les crocs mais souhaite prendre une douche après cette journée épuisante.
Je lui laisse la salle de bains, n'ose même pas aller le mater et retourne à mes affaires en cuisine ! J'imagine l'eau qui ruisselle sur son corps, le long de ses muscles bien dessinés et sur ses fesses bien dures... j'en ai la gaule. Il me rejoint en petit calbut moulant bleu et avec sa chemise blanche ouverte sur son torse. J'ai juste envie de me jeter sur ses pecs finement sculptés et lui triturer ses tétons tout en malaxant son boxer. Je revois presque son monstre avec un brin d'imagination. Mais je n'en fais rien, je matte juste plus ou moins discrètement pour montrer mon intérêt... Le repas se passe calmement, toujours très cool et je lui demande ce qu'il veut en dessert.
- " je prendrais comme toi "
- " c'est un peu particulier mais tu aimeras je pense "
- " pas un problème, du moment que c'est bon ! "
Et là, je me jette illico sur son boxer et commence à lui couvrir son paquet de bisous et de coups de langue.
- " parfait, et super naturel en plus ! ça me va" me lance Gaël
Je reprends donc mes caresses sur son calbut, qui commence déjà à se tendre, à croire que Gaël n'attendait qu'un déclic pour bander. Je me suis mis sur mes genoux et lui restait assis ; je voulais l'exciter, en caressant ses abdos, ses cuisses. Gaël souffle son plaisir et passe ses mains dans mes cheveux. Sa bite glisse sur le côté, de plus en plus dure et volumineuse, prête à jaillir. Son engin grossit encore et encore. Je mordille son boxer à l'endroit supposé de son gland dont la chaleur passe par le tissu. Il ne tient plus en place mon Gaël, il gesticule sur son siège, me tirant presque par moment les cheveux. Je pince d'une main ses pecs, il grogne de plaisir. Je commence sérieusement à être bien excité, d'autant plus que n'importe quel voisin en face peut me capter la tête dans son froc...
Il se lève alors et me pousse m'appuyer en arrière sur mes genoux. Il est debout face à moi et j'ai son caleçon gonflé à mort devant les yeux, je baisse son boxer et je vois son engin se tendre devant mon nez.
- " content de la revoir ma queue ? "
- " toujours aussi belle "
Majestueuse, épaisse, longue : inchangée. Gaël s'était taillé les poils et elle ressortait encore mieux, tout comme ses boules, pendantes et lourdes, probablement pleines de jus. Son gland luit de son jus et est bien lisse, tout excité. Je souris et passe ma main sur son morceau puis sous les pressions de Gaël qui me tient fermement la tête, je glisse ma langue sur sa tige, de haut en bas et de bas en haut. Je reprends possession de mon jouet, si doux et si dur... Puis son gland rejoint ma bouche et je suis inondé de plaisir de retrouver cette chair en moi. J'avale sa bite et le pompe, centimètre après centimètre, toujours plus loin et plus incapable de bien respirer. La mouille de Gaël se mêle à ma salive, je trouve mon rythme et Gaël me laisse un peu de liberté dans mes va-et-vients. Sa bite dure cogne l'entrée de ma gorge et il grogne de plaisir. Je caresse dans le même temps ses boules en m'agrippant à une de ses superbes fesses. Son souffle saccadé m'indique le plaisir qu'il prend par l'action de ma bouche et de ma langue sur son engin. Je prends son sexe dans ma main et le branle tout en gardant son gland dans la bouche.
Il sort sa bite de ma bouche pour mieux me flageller le visage avec. Son gland caresse ma peau puis je me prends un coup de queue direct sur les joues, puis la bouche. J'ouvre grand la bouche et je tire instinctivement la langue et Gaël me la tape avec sa bite puis me surprend en m'enfonçant à nouveau son chibre. Je le positionne sur le côté de ma bouche et incline la tête pour que mon beau mec mesure la déformation de la joue qu'il provoque avec son monstre. Je kiffe trop cette queue et ce que ce mec en fait...
J'ai mal à mon paquet, tout compressé dans mon jean, mes genoux sur le balcon me lancent. Je suis néanmoins grisé par le fait de faire ça dehors, quasi devant tout le monde qui veut bien mater (sans savoir si cela est le cas !).
Gaël me défonce bien la bouche en gémissant, mes succions accompagnent par moment ses souffles et il veut toujours forcer plus loin son incursion de queue. Il me redresse, on rentre et il m'allonge sur mon canap'. Il se positionne au-dessus de moi et je suis direct attiré par ses 2 boules pendantes que je m'empresse de glisser entre mes lèvres. Gaël feule un bon coup et se " venge " en appuyant sur mon entre-jambes, ma queue bien tendue toujours prisonnière de mon fut'.
- " tu vas l'avoir bien profond maintenant, je te l'avais promis "
Et là, parfaitement calé, il me remet sa queue en bouche et la descend. Dans cette position, ma gorge n'oppose plus de résistance, son mandrin m'étouffe mais Gaël n'en a rien à battre : il veut voir ses 20 cm au fond de moi. Je me pensais incapable d'avaler tout ça et après quelques essais infructueux (et limite carrément étouffants) j'ai mon nez dans ses poils et son gland dans ma gorge. Sa tige est plantée toute entière en moi, sa dureté écarte ma gorge. Son corps tendu au-dessus de moi est magnifique.
- " Yessssss " " tu la sens bien là " ?
- " Humpf " peine-je à cracher
Gaël pratique, doucement mais sûrement, des descentes au fond de moi que je subis docilement ; j'ai une trique d'enfer malgré la sensation d'étouffement viril que je supporte. Gaël adore ce va-et-vient. Il ressort complètement le temps de me laisser prendre une petite bouffée d'air mais remet sitôt sa queue au plus profond et lâche régulièrement un grognement de satisfaction en voyant son membre glisser entièrement sans se voir opposer de résistance. Il s'arrête calé au fond et m'ouvre ma braguette et me serre de sa poigne mon paquet et notamment mes burnes. Je me cambre mais je suis complètement embroché. Il refait ça plusieurs fois de suite, je suis rouge de suffocation mais aussi de passion. Il finit par me libérer, ma salive pend sur son chibre en sortant. Je reprends mon souffle, à moitié cassé par le traitement de choc infligé par mon étalon ces dernières minutes. J'en reviens pas du plaisir pris pendant cet échange, malgré ma mâchoire disloquée par l'effort.
- " Ta bouche est parfaite Marco "
- " tu m'as bien limé, j'ai jamais pris autant de queue en bouche "
Il m'embrasse et nos lèvres s'amusent, c'est reposant.... Gaël en profite pour me dessaper et me tirer pour me mettre ensuite à poil sur le ventre sur le parquet. Ma queue me rentre dans le bide et je sens les mains de mon amant décaler et écarter mes fesses. J'ai à peine le temps de retourner mon visage que Gaël disparait dans mon cul. Il mordille mes fesses et rapidement c'est sa langue qui me ravit le cul. Il me tient bien écarté et me pine la rondelle avec sa langue. Je me fais à nouveau bouffer le cul par mon étalon et le plaisir revient comme dans ma caisse... J'avais repris mon souffle depuis la pompe mais je commence déjà à me tortiller tellement sa langue me chatouille le cul et les sens. Je m'ouvre totalement à lui et sa salive inonde ma raie, je lui fais part de mon plaisir par mes râles continus ; Gaël crache dans mon trou et glisse un doigt dans mon intimité lubrifiée. Je couine un bon coup avec ce doigt qui m'électrise. Je pense plus trop à ma mâchoire, le plaisir revient par mon cul qui brûle d'excitation. Je mouille probablement tellement je suis en transe...
Il recrache et renfonce son doigt en le faisant bien tourner puis aller et venir, de plus en vite. La friction me fait déjà presque délirer et je sens encore plus mon membre me rentrer dans mes abdos. Gaël me bouffe le cul pendant un temps qui me parait ne pas se terminer, ne relâchant sa langue que pour un ou plusieurs de ses doigts. Ma rondelle s'écarte, je suis super dilaté et j'imagine déjà la suite des opérations une fois ce traitement accompli, avec un tel " doigté ". Je gémis continuellement sur mon parquet, lézardant un peu mon corps sous les tortures digitales de Gaël.
- " Quel kif "
- " j'aime ton cul, il est divin, trop serré et trop beau "
- " lime-moi maintenant " et je lui montre le tiroir de la table basse
Il y attrape illico une capote et le tube de gel. Il habille sa bite et me glace le cul avec une noisette de gel qu'il enfonce d'un doigt sûr au fond de mon intimité. Il me relève à peine les fesses et vient de tout son poids appuyer sur son gourdin positionné sur ma rondelle.
Je crie au moment précis où il me rentre dedans ; Gaël a appuyé un bras sur mes épaules et je ne peux plus bouger. Je dois subir les centimètres les uns après les autres. Il m'encule de manière assez nette et je suffoque. Mais je ne peux pas faire le moindre centimètre de côté. Ce soir, c'est comme il le veut lui ;)
Au bout de quelques instants, le répit est là, sa bite me remplit. Mon cul s'habitue et je tortille légèrement. Gaël s'en aperçoit et il lâche dans un sourire un peu carnassier :
- " tu sais que t'en as pas la moitié dedans ? "
- " tu déconnes ? "
Et il me donne pour toute réponse un autre coup d'engin qui enfonce ma résistance. Je feule comme un pauvre animal mais qui prend son pied bien comme il faut. Il commence à me limer et je sens toute sa puissance en moi ; je ne préfère pas savoir où nous en sommes du monstre et de sa progression mais j'ai l'impression que mon cul se déforme encore et encore à chaque coup de butoir bestial. Gaël reste au-dessus de moi, je sens son souffle et ses gémissements, mêlés à mes couinements de sodomisé qui ne peut (et surtout ne veut !) rien faire ...
Après plusieurs minutes, il me relève et me prend en levrette, les mains appuyées contre le canap'. Il s'astique dans mon cul sans problème, ses 20 centimètres coulissent dans mon cul et j'hurle bien ma race. La sensation est divine, il ne lâche pas les fesses, je me cambre du mieux que je peux et ses coups claquent rapidement. Sa bite me défouraille bien et je prends un kif absolu de me faire dresser à coup de bite. Mon cul pourtant bien ouvert prend cher ; il m'encule comme une bête, je me fais ravager. Je gémis de plaisir et lui intime de continuer encore. Je me surprends à en redemander. Il redouble de vitesse son pilonnage, je suffoque et mes cris de plaisir s'accentuent ; je suis à la limite de m'effondrer avec de tels coups de reins, mes jambes semblent toutes molles. Il me fourre son engin, quasi direct au fond et je le sens me percer encore un peu plus. Je suis complètement harponné, transis de plaisir. Il me prend la queue et m'astique tout en me sodomisant. Je kiffe ce double traitement simultané.
On se relève, on se met sur mon canap', il me retourne, me cale deux coussins sous le dos. Gaël lâche :
- " on y est presque, tu vas voir "
Il saisit le tube et remet du gel sur sa queue. Je passe une main sur mon trou que je sens ouvert comme jamais. Il me relève les jambes. Je sais que je vais être pris comme de rien avec cette position, que je contrôlerais plus rien et ferais que subir ses assauts. Mon cul fait face à ses 20 cm bien tendus et il m'attrape par les chevilles.
- " ton cul est bien ouvert "
- " Vas-y à fond " - je sais que je vais déguster mais sur-kiffer
- " Monsieur sera servi "
Je le vois ajuster son engin face à mon trou qui lui fait face et me replace pour être pile-poile dans le bon angle et qui va permettre un ramonage le plus profond. Il s'engouffre au fond en une fois et j'hurle de ressentir son membre en moi. Il relime un peu mes fesses de sa queue si épaisse et je sens ses boules claquer contre ma peau et là je sais qu'il est le plus au fond, que les 20 cm sont pas loin d'être tous rentrés vu la position et que mon cul doit s'y adapter d'une manière ou d'une autre. Il m'éclate, je ne résiste plus du tout dans cette position et il me déchire le cul avec bonheur. Je vois son visage plein de bonheur, ses muscles bandés par l'action et le rythme qu'il impose. Sa fougue fait des ravages dans ma tête et dans mon cul, ou chaque centimètre de peau me renvoie des décharges dans tout le corps. Gaël me lime encore et encore...et je feule encore et encore... ça dure une éternité mais je suis dans une telle extase que peu importe ce qu'il restera de mes fesses ! Il ressaisit ma bite de sa main et me branle, j'en peux plus, j'ai l'impression que je vais exploser entre ses doigts. Mes doigts s'agrippent dans le canap' pour tenir le coup.
Gaël m'entreprend avec un bon rythme pour me défoncer le plus à fond, je grogne à chaque coup de burinage, l'intensité est forte et ma tête est aussi en vrac que mon cul, ma queue brûle entre ses mains. Pas de répit de la part de Gaël qui compte bien se servir de mon trou à fond et le plus longtemps possible. Je me rappelle son endurance dans ma caisse...Mon cul engloutit sa bite et Gaël alterne rythme saccadé et plus lent avec une entrée-sortie complète de son engin. Il pilote complètement et je m'abandonne, complètement dominé par ses coups de mandrin. Je gémis à mort dès que je sens sa queue tout au bout et il ponctue ses coups de reins d'un soupir de plaisir. Je pense pas possible d'être pris aussi intensément et profondément. C'est violent mais délicieux...
Ne devant plus trop tenir après toute cette baise, Gaël se libère de mon cul et retire sa capote. Il prend alors nos deux bites dans sa main et les branle l'une contre l'autre. Il hurle un bon coup et je sens son corps se tendre. Sa bite crache son jus bien blanc qui vient se projeter sur mes abdos et mes pecs. Ses boules bien pleines déversent leur jus et je compte plus les grosses trainées blanches et chaudes qui s'additionnent sur mon corps. Gaël balance toute sa sauce patiemment contenue dans un râle et une grimace de plaisir. Il serre fort ma queue dans ce moment d'orgasme et moi aussi je lâche tout. Ma purée vient se mêler à la sienne et je suis en pleine extase, mon gland me brûle dès qu'un flot de sperme sort. Gaël me fait tout cracher et je suis sidéré de ma quantité de foutre lâchée. J'ai mes pecs et mes abdos qui sont inondés de nos jus. Je suis vidé et recouvert. Mon cul est en feu, toujours bien ouvert, mais je suis heureux comme c'est pas permis. Gaël a été divin et m'a recouvert de son jus... Il m'embrasse délicatement
Gaël lâche ma queue et me réserve une belle surprise en s'approchant de mon torse et mélange de ses doigts les trainées blanches. Il sort sa langue et commence à me lécher mes tétons puis mes pecs de manière consciencieuse en avalant par moment notre sperme. Il revient ensuite régulièrement à ma bouche pour partager un baiser, gluant de plaisir. J'apprécie de sentir couler dans ma gorge nos sauces. C'est divin de le voir aller et venir avec sa langue sur mon corps à le nettoyer progressivement de nos ébats. Il kiffe d'avaler tout cela et de m'en ramener. J'adore le voir revenir avec ses lèvres luisantes de jus et les mêler aux miennes. On s'amuse comme des fous à ce petit jeu.
Je suis repu de sexe, lui aussi (enfin surtout de nos sauces) et on s'affale tranquille sur le canap' à reprendre nos esprits. J'ai plus de jambes, et surtout plus de cul et mon amant est tout chaud et suant après ses efforts. Décidément ce mec est un dieu au pieu ! Encore une fois j'ai été éclaté pendant un temps de dingue et lui aussi a pris son pied. On s'avoue kiffer réciproquement notre baise du soir, qui a été ultra-torride. Je le félicite à nouveau pour son endurance et il met ça sur le compte de mon petit cul. On s'embrasse pendant un bon bout de temps.
On prend un sacré moment à reprendre nos esprits puis on décide d'aller se payer un verre dans un bar sympa du quartier, sans même se doucher. On convient que Gaël raconte un mytho à sa mère pour ne pas rentrer. Le week-end commençait de la plus belle des manières et Gäel n'allait pas être déçu d'être resté...
Marco
PS : merci pour vos messages et commentaires, toujours sympa à lire !
Marco
Autres histoires de l'auteur : L'oise en caisse