Il y a dans le quartier des Halles à Paris un sex shop Gay qui a la particularité d'avoir des cabines en sous sol qui permettent de voir des films en continus et de faire des rencontres immédiates. De passage à Paris je m'y rend ce lundi soir vers vingt heures. J'ai cinquante ans et suis très porté sur la baise. Je suis marié mais cela est mon jardin secret, j'ai besoin d'assouvir des besoins avec des mecs. Je suis actif depuis prés de vingt ans il m'est nécessaire d'avoir ce genre de relations épisodiques. Une bite me fait bander c'est impulsif. J'ai toujours su au fond de moi que je suis homo.
J'aime ma femme, j'ai des rapports sexuels normaux avec elle, mais je pense avoir une double personnalité. A dix ans je jouais à touche pipi avec un voisin du même age. Je me suis cherché pendant longtemps en ayant jamais eu de rapport homo, mais quand je me masturbais c'était toujours en pensant à un mec. Enfin bref tout cela pour vous expliquer pourquoi je suis dans ce lieu.
Je règle mon droit d'entrée, laisse mon blouson au vestiaire en me dirige au sous-sol. Après une visite rapide des lieux pour mater ce qui s'y passe, je rentre dans une cabine. A mon age on intéresse pas les minets et ce que je recherche c'est un contact rapide, et c'est vrai qu'avec mon crane dégarni et mon embonpoint, mon atout principal c'est ma bite.
Les quelques mecs croisés en rentrant ne se sont pas tournés vers moi. J'adapte ma stratégie. Je rentre dans une cabine inoccupée qui diffuse un film. Je me caresse en laissant la porte ouverte, qui donne sur un couloir ou il y a sans cesse des allées et venues. Mon sexe prend alors de l'ampleur, de biais dans la cabine je regarde d'un oeil l'écran et de l'autre ceux qui passent à l'extérieur. J'ouvre ma braguette et sors ma bite bien tendue, car je remarque un petit mec qui est déjà passé deux fois dans les deux sens et qui matte de plus en plus. Ça c'est ma technique pour les attirer. Je passe comme une salope ma langue sur le bord de mes lèvres pour qu'il comprenne que je suce aussi, mais c'est ma teub qu'il vise. Il tend la main de l'embrasure de la porte comme pour bien en vérifier la rigidité. Un beau petit mec brun la trentaine, belle gueule d'ange, le voila qui entre dans la cabine que je prends soin de verrouiller. Nos bouches se rencontrent, nos langues se mêlent, il branle ma bite et caresse mes burnes, mon désir monte de plus en plus. J'aventure ma main sous son polo et le caresse, sa peau brune est douce, son bas de jogging est tendu par sa bite, je dénoue le cordon du pantalon pour y glisser ma main à la rencontre de sa queue déjà décalottée.Nous virons mutuellement nos fringues pour ne pas être embarrassé, nos bouches sont aimantées je le lèche dans le cou, derrière les oreilles, sur son torse magnifiquement dessiné. Il me rend mes caresses buccales et tombe à mes genoux pour emboucher mon membre, bandé au maximum.
Quel délice cette pipe, sa langue tourne autour de mon gland turgescent, se lèvres inspectent la moindre parcelle de peau, il salive un max pendant ce temps je caresse ses fesses, un doigt fureteur commence à titiller son petit trou. Il gémit et dit qu'il aime ma queue et sa rigidité. Je l'encourage à accélérer sa cadence par moments, puis le fait ralentir en saisissant son crane pour éviter que ma semence ne vienne trop vite.
Je l'invite à se redresser et le pompe à mon tour, sa bite est assez fine je la prend à pleine bouche en gorge profonde. Et je kiffe, elle est douce et sent bon. Je m'active en lui tétant le bout et en parcourant le pourtour de ce sexe latino. Je caresse toujours de mes mains son beau corps parfait, sans une once de graisse. C'est là que je réalise que mon atout charme est ma bite. Nos râles de plaisir sont synchros, je lui dit qu'il est beau, que c'est bon. Nos corps se collent l'un à l'autre, face à face, ils ondulent de désir. Nous nous caressons la pine et je sens qu'il m'appelle à prendre possession de son corps. J'enfile un préservatif, ouvre un sachet de gel et je lui masse lentement son intimité d'un doigt je passe à deux puis trois pour bien l'élargir. Il semble aimer, ses mouvements de hanches m'invitent à le posséder. Lentement j'introduis ma bite dans son postérieur qui n'en est pas à sa première. Je m'arrête à mi parcours, me retire puis me réintroduis au plus profond. Il glousse et pousse des cris de contentement, il m'encourage. Une bonne petite salope qui prend du plaisir. Je le ramone par de puissants coups de reins, je vois qu'il se branle, donc je saisi sa bite par en dessous mes jambes, je lui caresse les boules, il couine de plus en plus. Je sens la sauce monter, je suis en sueur et continue mon va et vient dans ses entrailles. La jouissance est toute proche, ça monte. Il déverse soudain trois jets de foutre en ahanant. Le plaisir est croissant, de le sentir jouir me libère. Je jouis à mon tour et lance de profonds soupirs de contentement. Il incline la tête et nous nous embrassons fougueusement. J'aime cette bestialité, quel bonheur de se libérer ainsi.
Après quelques va et vient pour le plaisir de rester planté en lui, je m'écarte, vidé. Ma pine bande toujours et serait prête à repartir pour un nouvel assaut, mais je sens mon partenaire comblé. J'entends le verrou de la cabine d'à coté qui se débloque et je réalise qu'au travers du glory-hole nous avons été maté pendant notre petite séance. Nous sommes tous deux tout sourire et nous retrouvons nos vêtements réciproques que nous avions éparpillés en faisant attention de pas les laisser trainer sur le sol souillé par le sperme déversé pendant toute la journée. Nous nous essuyons avec de l'essuie-tout puis nous nous séparons repus, comblés tous les deux. Un beau moment de baise comme je les aime.
Dav28
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