Il s'appelle Thomas ? il est à la fac, en droit.
Lorsqu'il sonnera à mon interphone, je dois lui entre-ouvrir ma porte et me mettre à genoux devant en attendant qu'il monte les trois étages. Il a exigé que je porte un collier et une laisse afin d'être immédiatement à ses pieds comme une chienne.
" Une fois que je rentre chez toi, tu es ma chose. Tu ne réfléchis pas à ce que je te demande de faire, tu exécutes. Si je te demande de lécher le sol, tu lèches le sol en remuant du cul de contentement. Si je te demande de me lécher les couilles pendant une heure, tu me laves les couilles même si tu n'as plus de salive. Si je te mets la tête dans la cuvette des chiottes, tu ne la bougeras pas quand je te pisserais dessus".
Avant son arrivée j'ai préparé ce qu'il m'a demandé : du vin, divers fruits dans une corbeille, une gamelle en inox à côté du canapé. Bien évidemment je me suis lavé. Thomas ne supporte pas avoir une chienne sale. C'est la première fois que je vais le rencontrer ? si c'est exigences sont à la hauteurs de sa maîtrise du jeu de domination, cette soirée va être mémorable !
21h, ça sonne ? je me dépêche de déverrouiller la porte de l'immeuble et d'entre ouvrir la porte de mon appartement. Comment je dois lui offrir ma laisse ? Je lui donne directement ou je la laisse par terre ? Non, mieux vaut que je lui offre des deux mains en baissant la tête.
Il entre.
" Embrasse les chaussures de ton maître ". Se faisant, il crache sur l'une d'elle et me prend la laisse des mains. Bonne entrée en matière !
Comme une bonne chienne je me penche pour lui lécher ses chaussures lorsque je sens une gifle m'arriver sur la gueule au premier coup de langue que je mettais à ses godasses.
" Je t'ai dis d'embrasser, pas de lécher ! Ne penses pas par toi-même ? tu obéis c'est tout. ".
Reçu 5 sur 5 ! J'en ai l'oreille qui siffle encore.
Le maître sait imposer son style dès le départ ? après un aller-retour dans ma bouche d'un plug de petite taille, il me l'enfonce sans ménagement dans le trou.
" Si tu perds ce plug slave, tu prends deux gifles. Au bout de la deuxième fois tu prends dix fessées et la troisième fois je me lève et je m'en vais. Aboie si tu as compris".
J'aboie. De l'autre côté de la laisse je le sens qui tire d'un coup sec comme pour me faire marcher au pied. C'est d'ailleurs ce qu'il fait : nous marchons d'un bout à l'autre de l'appartement, faisant demi-tour une fois arrivé à l'une de ses extrémités. Pendant que nous marchons je sens le plug qui commence déjà à bouger de mon cul ? je flippe à mort ! Deux baffes me font pas peur, dix fessées non plus, mais voir Thomas partir alors qu'il vient à peine de me prendre en mains, ce serait rageant après un début si prometteur.
Je ne l'ai pas encore regardé mais je devine un corps ferme sous sa tenue BCBG. En passant par la salle de bain, je vois dans le reflet du miroir qu'il porte un polo à manche courte et une fine ceinture de cuire lui ceint la taille. Sans être athlétique, il a allure sportive. Une montre à large cadran au poignet et des biceps qui remplissent tout l'espace de ses manches. Je comprends mieux ma douleur avec sa gifle de tout à l'heure ! Après m'avoir promené comme dans un concours canin, il m'arrête devant la cuvette des toilettes d'un coup de laisse. Ses ordres sont dit avec fermeté. Il attend que j'ai terminé avec le premier pour me donner le second.
" Ouvre la cuvette.
Déboutonne mon pantalon et sors ma queue.
Tu vas la tenir avec ta bouche pendant que je pisse. "
Alors que je vais lui prendre le gland, une deuxième baffe me tombe dessus.
" Je t'ai dis de tenir ma queue avec ta bouche, pas de me sucer".
Je comprends la nuance, avec une baffe de retard. Délicatement je tiens sa pine molle entre mes lèvres. Il a ce genre de bite que j'adore : celles qui ont une taille au repos et en érection sensiblement similaire. Même sans bander elle est plus grande et plus grosse que la tienne !
Sa queue se raidit et un jet d'urine vient tomber à côté de la cuvette. Aussitôt j'arrête de rêvasser et je comprends que mon travail va être d'orienter le flux.
Après un départ catastrophique ou j'en ai mis partout, tout rentre dans l'ordre et j'aide la queue du maître à viser au centre.
" Maintenant lèche moi le gland pour la dernière goutte ". Sa bite bien calée dans ma bouche, il me lâche un dernier jet que j'avale immédiatement. Avec ma langue je lui nettoie bien le prépuce et le gland.
A ma grande surprise il ne me demande de nettoyer sa pisse à côté de la cuvette. Oublie de sa part ? Négligence ?
Alors qu'il finissait de remballer sa pine somptueuse, il me dit, comme pour répondre à mes questions : " Tu ne laveras pas cette urine jusqu'à ma prochaine visite. Et chaque jour tu m'enverras une photo de toi léchant le sol là où tu as gâché ma pisse ".
Coup sec sur la laisse. On part de la salle de bain sans tirer la chasse d'eau. Direction le salon où rapidement il prend ses aises dans le canapé et m'ordonne de lui servir un verre de vin.
Je reste face à lui, toujours la tête baissée, ne voyant que ses chaussures.
" Montre moi ton plug pute ".
MERDE ! Le plug ! Je ne le sens plus ? je regarde à côté et derrière moi quand je sens la laisse me traîner littéralement vers le sol jusqu'à me relever à hauteurs des genoux du maître qui me force à le regarder pour la première fois.
Cheveux bouclés, mi-longs, yeux bruns exprimant un profond dédain et une bouche charnue qui me crache au visage. Deux gifles m?atterrissent sur le visage.
" Va chercher ! Et ramène le avec ta bouche ! " Son ton est sec, colérique. Thomas ne plaisante pas.
Je retrouve le plug sur le chemin et le prend dans ma bouche pour le contenir tout entier. Une fois devant le maître, celui-ci m'ordonne de le poser sur le sol, puis de m'asseoir dessus pendant qu'il me tient en laisse. Je ne vais jamais y arriver ! Il est trop fin et mon trou est trop serré pour l'avaler comme un suppositoire.
Accroupi à l'extrême, je me contorsionne et après une longue lutte j'arrive à m'enfiler le plug. Je sers mes muscles et mon trou de toutes mes forces pour ne pas le relâcher pendant que je me remets à genoux. Non sans mal j'arrive à me retourner ? épuisé, à quatre pattes, je suis aux pieds du maître.
" Tu es une chienne divertissante. " Dit-il d'un ton plus calme, presque enjoué.
" Mais il va falloir m'en donner plus si tu espères entrer à mon service. Tu devras savoir marcher comme une bête de concours quand je te promènes ; pas comme le vulgaire bâtard qui se traîne de la patte que tu m'as donné tout à l'heure. C'était indigne d'un clebs qui aime son maître ! ".
A ces mots je rougis et je baisse la tête ? le niveau d'exigence est bien plus élevé que je ne le pensais et en l'espace de 15 minutes le maître m'a clairement montré de quoi il était capable. Un homme fort, volontaire, viril : c'est au service de tel dieu qu'un soumis cherche la protection ! Je dois impérativement me ressaisir.
" J'attends de toi une dévotion totale et un investissement sans limites. Tu devras être prêt à m'accueillir quand bon me semble, à me servir n'importe où et sans discuter. Tu seras éduqué à coups de gifles, de fessées et de privations. Tes récompenses seront à trouver dans les caresses que je te donnes, les intrusions de mes doigts dans ta bouche, dans ton cul. Tu prendras plaisir à lécher ma salive et ma sueur.
Tu seras attaché, godé, fouetté, enculé, pincé, recouverts de cire par moi ou par quiconque aura mon autorisation de t'utiliser.
Quand je dors chez toi, tu seras attaché aux pieds du lit. Dans la douche, c'est toi qui me savonnes et me rinces. Si j'ai besoin d'une table tu me donnes ton dos. Si je veux pisser tu m'ouvres ta gueule.
Tant que je suis là, tu manges et bois ce que je te donnes. Un seul refus d?obéir et je m'en vais.
Tu as compris objet ? ".
Je ne sais pas quoi ni comment répondre. Une soumission pareille ça demande une telle confiance !Il sait là où il veut aller et jusqu'où il veut m?emmener. Il me fait comprendre que je dois progresser qu'il sera mon maître et mon formateur. En fait, c'est une forme d'appartenance.
Sans réfléchir, instinctivement j'aboie.
" Tu es ma chienne maintenant ".
A ces mots il m'enlève mon collier, en sors un de sa poche ? avec un boîtier à chocs électriques, et me l'enfile autour du cou. Il ouvre un petit sachet plastique qu'il gardait avec le collier et y plonge ses doigts avant de me les tendre.
" Lèche ". Du sel ! Je grimace et j'obéis.
" Va attendre la tête dans la cuvette. Je ne veux pas t'entendre. Interdiction de boire ".
Il me montre un petit boîtier noir qui doit actionner le collier. C'est la première fois que je vais aussi loin dans la soumission avec un mec aussi vite. On vient à peine de commencer et il me mène déjà à la baguette comme si j'avais attendu ses ordres depuis toujours.
" Allez va. Tu sauras quand revenir " me dit-il en me faisant un clin d'oeil.
Toujours à quatre pattes et en essayant d'avoir une démarche digne d'un clebs en Sa possession, je me dirige vers les toilettes pour y passer, je le devine, un long moment au-dessus de sa pisse stagnante.
Tiresias72
archangello@hotmail.com
Autres histoires de l'auteur : Les exigences du maître