Comme tous les midis, je surveillais la piscine olympique.
Je m'appelle Malik, 24 ans, maitre nageur sauveteur, grand rebeu bien foutu et une teub qui, moulée dans mon maillot, en fait baver plus d'un.
C'était ma pause dans très peu de temps, et comme souvent j'avais activé le radar. Mon style, c'est les mecs soumis, ceux qui sont prêts à mettre leur fierté dans leur poche pendant que je me sers d'eux pour me vider les couilles, ceux que je peux bien ridiculiser.
Et la, j'en avais repéré un, qui ne m'avait pas lâché des yeux depuis dix minutes. Un petit blond pas trop mal foutu, en petit slip de bain vert fluo, un cul et un air de salope.
Une fois mon collègue arrivé pour la relève, je fis un petit signe de la main et de la tête à la pétasse, qui me répondit par une moue interrogatrice. Un signe de tête plus appuyé, et il se dirigea vers moi. Je me dirigea alors vers le couloir des vestiaires, tournait à gauche vers les parties réservées au personnel en vérifiant qu'il m'avait bien vu, et rentra dans la salle de repos, une grande pièce avec deux vitres sans tain qui donnaient sur la piscine et sur le couloir.
Le petit blond entra, et sans un mot je ferma la porte, tourna le verrou et lui mit la main sur la tête pour qu'il s'agenouille.
Je bandais déjà, et la gueule du petit blond sur mon paquet n'arrangea pas les choses. Je sortit ma teub de mon maillot, et lui frappa le visage avec.
" C'est ça que tu voulais hein? De la bonne teub de rebeu? "
Le mec était déjà en transe, il tirait la langue pendant que je lui cassais la gueule avec ma bite. Ca m'excitait un max, j'ai donc décidé de commencer à lui limer la tronche.
" Ouais... T'es une vraie pute toi regarde comment tu réclames! Ouvre grand la gueule tu vas prendre cher "
Sans lui laisser le temps de s'appliquer, je lui baisa la gueule comme si c'était une chatte. Je voyais ses yeux se révulser, et il me regarda comme s'il attendait un peu de pitié de ma part. Ca me faisait marrer, alors je lui colla deux baffes dans la gueule.
" Ahah sale pute tu vas morfler toi... "
Il commençait à essayer de me repousser les jambes, je décida donc de changer de technique, lui tira les cheveux et le regarda droit dans les yeux
" Hey salope, tu voulais de la teub t'en as, alors maintenant t'assumes et tu vas me vider les couilles "
Je bougeais sa tête et me servait de lui comme si c'était un objet. Il s'étouffait, et je sentait le jus monter, alors je retirais ma teub de sa bouche, le fit remonter en le tenant toujours par les cheveux, et le balança sur la table. J'enfila une capote, lui baissa le slip, cracha sur son trou et sans préparation, lui enfonça ma bite jusqu'au bout. Il poussa un petit hurlement, il devait avoir l'habitude, je décida donc d'y aller à fond.
Je ressaisis ses cheveux, lui tira la tête en arrière, et commença à le niquer en essayant d'y aller le plus fort possible.
" Sale pute tu vas plus pouvoir t'asseoir quelques jours toi
-Vas y doucement s'il te plait, murmura t'il pour la première fois "
J'en avais rien à foutre, et décida donc d'accélérer encore plus la cadence histoire de vraiment lui mettre cher. Il commençait à pousser de petits cris, puis de plus en plus fort, et j'avais pas envie de l'entendre. Je tira un grand coup sur son slip, le déchira et lui fourra dans la gueule pour le calmer.
J'étais une machine et lui n'était plus qu'un trou pour moi. Je sentait le jus monter, j'étais en nage, je décida donc de lui donner trois derniers coups pour qu'il douille bien, puis me retira, jeta la capote, et saisit mon téléphone dans mon casier.
Le mec avait l'air de s'être pris cent kilomètres de bite, il était tout rouge et tenait à peine debout. Je le remis à genoux, lui fourra ma teub dans la gueule et recommença à le limer. Je pris quelques photos pendant qu'il me regardait, reposa le téléphone, et commença à me branler au dessus de sa gueule.
Je poussa un grognement, et lui largua plusieurs doses de foutre qui lui recouvrirent la joue, l'oeil et les cheveux. La petite pute se branlait, j'en profitais pour essuyer ma bite sur son visage, et ranger ma teub. Une dernière photo de sa gueule pleine de jus, et pendant qu'il se branlait encore doucement, comme s'il pensait que j'allais le laisser finir, je le remis debout. Il me regarda avec un air interrogateur, et sans un mot, je le pris et le dirigea vers le couloir. Quand il compris ce qui allait lui arriver, il commença à essayer de se débattre, en vain.
" Ahah, dis-je en me marrant, ciao sale pute, dégage "
Je le balança dans le couloir, ferma la porte et referma le verrou. Par la vitre sans tain, je voyais mon vide couilles à poil, la gueule pleine de mon foutre, qui bandait encore, tenant son slip complètement déchiré dans la main. Après une minute à essayer de rerentrer, je le vis se diriger en boitant vers les vestiaires, la gueule déconfite. Ca avait du être l'humiliation de sa vie.
C'est une histoire vraie. Si t'as envie que j'en publie d'autres, envoie un mail à newbell@live.fr
Si t'es bien foutu, en région parisienne, et que t'as envie de te prendre la misère de ta vie, je suis difficile mais hésite pas...
Bye.
MalikDomi
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