Au cours de mes 19 ans, ma mère adoptive entrait en plein dans sa crise de la quarantaine. A 43 ans, elle se fit poser des implants mammaires et ce n'était que le début d'une grande passade chargée de sa vie sexuelle. C'est vrai ce qu'on dit, c'est après 40 ans que les hommes ou les femmes se lâchent sexuellement. Grâce à ses nouveaux 95D surchargés (voire 95E selon les modèles de soutien-gorge), pas mal de gars sont passés par l'appartement. A ce moment là, je me suis senti persona non grata chez moi, enfin, chez ma tutrice. Je sentais qu'elle ne supportait pratiquement plus ma présence sous son toit. Mes études terminées, BAC Pro secrétariat et sur le marché du travail... sans travail... faisait que je passais mes journées à la maison. Pour ne pas devenir fou et pour justifier ma présence à la maison, je faisais les tâches ménagères. Je préparais les repas, nettoyait, faisait les lessives. Quand mes tâches étaient terminées, je m'enfermait dans ma chambre pour jouer à la console ou faire du PC. Il m'arrivait d'entendre ma mère rentrer tard le soir, son assiette froide intacte sur la table à manger, et filer dans sa chambre en gloussant avec une rencontre d'un soir. Puis suivait pendant une durée variable des bruits de chair couverts par les cris et hurlements de jouissance de ma mère et de son compagnon. Dans ces moments là, pas grand chose à faire, casque sur les oreilles avec film, musique, série ou jeu vidéo... Où si ça faisait plus de 24 heures que je ne m'était pas branlé, et si l'excitation était suffisante, tenter de mater. Si la porte n'était pas resté entre-ouverte dans la précipitation, le trou de la serrure ne donnant aucune vue, ne me restait plus qu'à aller chercher les vêtements sales dans la panière à linge.
Ce soir là, c'était ce scénario qui se jouait. Et à entendre les cris de maman, le gars avait l'air d'être carrément bien monté. J'ouvre silencieusement la porte de ma chambre mais celle de ma mère est également fermée... Pas besoin de coller l'oreille à la porte, j'entends tout et l'excitation me gagne. Je m'aperçoit que le couple s'est déshabillé dans le salon. Caraco blanc, jupe en jean et... String léopard ! Mais quelle chaudasse ! Je le ramasse et le porte sous mon nez. Encore humide... Avec une traînée brillante sur le tissu, je lèche sans réfléchir et ce goût amer me prouve que c'est bien une traînée de sperme. Je pars dans ma chambre pour jouir rapidement avec mon accessoire interdit.
Le lendemain matin, réveillé de bonne heure comme d'habitude. Je prends le temps de ranger le petit bazar que ma mère à laissé avant de se faire sauter, et plie et mets les vêtements masculin sur une chaise près de la chambre de ma mère. Alors que j'allais préparer le petit déjeuner, pour trois donc, la porte de la chambre s'ouvre et une armoire à glace en sort, entièrement nu, la tête dans le brouillard. Une carrure de rugbyman, 35-40 ans, a qui je n'oserais jamais être en désaccord. Il regarde autour de lui puis me vois.
Salut !... Les toilettes ?
Je lui pointe la porte des WC en lui disant " Par là ". Il me sourit et me remercie. Plutôt sympa de premier abord, même si ça n'avait pas l'air de le gêner de se balader à poil dans l'appart de quelqu'un d'autre.
Il ressort des toilettes et retourne vers la chambre en me souriant, cette fois quand même un peu gêné ! Sa queue se baladant de droite à gauche et mi érotique, mi-ridicule... Mais je comprends mieux maintenant l'intensité des cris d'hier soir.
Peu de temps après, les deux ressortent en blaguant et viennent s'installer à la table de la cuisine. Ma mère porte une nuisette légère et légèrement transparente, tandis que son compagnon lui est toujours nu. Ma mère m'embrasse et invite son amant à s'asseoir à table. Il l'a remercie et me regarde en se présentant. " Moi c'est Seb " Je souris en lui précisant que j'ai déposé ces habits sur la chaise proche de sa chambre et me répond en rigolant et en lançant des regards à ma mère que tant qu'il n'est pas obligé de s'habiller, il préfère s'en passer. Il rigole et me précise plus sérieusement qu'il est naturiste. Puis comme si c'était un tort pour moi, me demande si ça ne me choque pas. Et dans un lapsus terrible, je lâche " Non, au contraire, c'est cool. " Lui me regarde avec des gros yeux, et ma mère se mets à rire, puis elle lui dit qu'elle ne m'a jamais vu avec un fille. Ils rigolent et moi je me sens carrément vexé. Je dépose les derniers paquets de biscuits et retourne dans ma chambre.
Je retourne sur mon PC et traîne sur internet pendant quelques quarts d'heure. Puis la faim me fait sortir de la chambre pour rejoindre le petit déjeuner. Et là, choc !
Seb, debout à côté de ma mère, assise à sa place, et elle en train de sucer la bite de son amant, au dessus de la table de la cuisine. Je reste immobile, hypnotisé par la scène. Seb me regarde et dit à haute voix " Tu peux prendre ton petit dej, ça me dérange pas. "
Mais moi, ça me dérange quand même un peu quoi ! Ma mère prend conscience que je suis là et arrête son action, à peine gênée. Le Soleil s'est levé et la lumière projetté dans la cuisine rend sa nuisette encore plus transparente. On distingue clairement ses seins dans ses détails maintenant.
Je déranges ?...
Petites secondes de silence, ma mère toujours sa main droite empoignant le sexe de son amant, les deux me regardant. Le rugbyman rompt le silence en déclarant " Non, au contraire, c'est cool ! Ca m'excite de me faire mater ! " Et là les deux éclatent de rire. Je me dit qu'il sont encore bien allumés de la veille et va m'asseoir à ma place pour déjeuner. Ma mère me regarde en souriant et me parle de choses insignifiantes pendant qu'elle tenait toujours l'engin de son mec dans sa main. Je reste évasif dans la discussion puis le silence qui revient me fait regarder ma mère. Elle s'était remise à le sucer, juste à côté de moi. Je n'étais plus choqué. A vrai dire, je portais ma tasse de café aux lèvres en regardant la scène. Il avait pas une bite très longue, mais elle était quand même très large. Au bout de quelques minutes, mon regard se lève sur celui de Seb et lui me regarde de plus haut, un sourire aux lèvres. Il ne mentait pas quand il disait que ça l'excitait qu'on le matte.
Tu veux essayer ?
Je sens mes joues rougir dès qu'il me fait cette proposition. Mon mutisme refait stopper ma mère et se retourne vers moi en souriant, tout en continuant d'astiquer gentiment le membre qu'elle vient de sortir de sa bouche. Puis à son tour, me demande si je veux essayer, l'air intéressé et le sourire aux lèvres. A ses mots, sentant le consentement de sa partenaire, Seb fait le tour de la table et se libère de l'étreinte de ma mère pour venir à côté de moi frotter sa queue contre mon visage. Sa queue humide et mouillée de la salive de ma mère. Je sens un feu éclater entre mes reins, mes narines se remplissent de phéromones. Ma mère me regarde en souriant et dit " Vas-y, montres moi comment tu t'y prends "
Je tourne la tête et pose mes lèvres autour du gland qui se frottait contre mes joues. " Ca y est, il l'a prend " J'essaye de le sucer mais sa bite est effectivement très large et mes dents frottent...
Oula... Attention avec tes dents...
Je me retire en attrapant sa bite avec la main et dit en souriant " Elle est carrément grosse en même temps " Puis je retourne sur son gland mais n'utilise que la langue. Je lèche chaque centimètre carré de son sexe en jetant de temps en temps des coups d'oeil à ma mère qui me regarde, souriante et amusée.
Puis je sors ma botte secrète : Je réussi à avaler entièrement sa bite, à coller mes lèvres contre ses poils pubiens, et même si mes dents ont traîné, je sens sa queue frémir sur ma langue jusqu'au fond de ma gorge. Je tiens quelques secondes puis me retire définitivement en m'essuyant la bouche d'un revers de main.
L'atmosphère est beaucoup plus détendue et des rires se mêlent à la discussion. Je viens de vivre le moment le plus gênant de ma vie, mais je n'ai jamais été aussi fier ! Seb retourne s'asseoir en affirmant que les meilleures pipes sont celles faites par les mecs. Maman joue avec ses seins en prétextant qu'aucun mec n'a ça. Et moi je reste assis timidement et silencieusement, acquiesçant de temps en temps et riant à certaines blagues.
Il y a mieux comme coming-out, et certainement mieux comme introduction avec le nouveau mec de ma mère...
Non ! J'ai assuré avec sa queue !
Thonyio
Autres histoires de l'auteur : Le rugbyman de ma mère