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Les jumeaux, suite-1:
Les jumeaux ont trouvé leur place dans ma société et parmi leurs ainés (dans le travail). Leurs terminales sur les rails, ils passent une bonne partie de leurs débuts de soirée dans l'annexe.
Comme je leur ai déjà réservé une des chambres pour l'année (étudiante) prochaine, ils commencent déjà à en disposer. Ça leur permet d'être plus discret question fringues de marques auprès de leurs parents et il leur arrive même d'y passer la nuit.
J'ai juste fait une mise au point avec eux, c'est OK tant que leurs résultats scolaires n'en pâtissent pas. Alors qu'ils pensaient que j'avais dit cela pour me donner bonne conscience, mes autres escorts se sont chargés de leur assurer du contraire. Ils en ont même rajouté, mais pas tant que ça, en les prévenant que de mauvaises notes les feraient rétrograder dans le planning des prestations et que j'assurerais un marquage à la culotte de leurs emplois du temps.
Moyen en quoi, ils m'amènent régulièrement leurs résultats pour me prouver leur sérieux.
Déjà modelés musculairement parlant, Jona leur fait travailler principalement les arts du combat façon Blockhaus. Et ils se révèlent être plus que bons dans cette discipline. Jona est étonné par leur vitesse d'apprentissage. Les basiques sont absorbés en quelques semaines et le mélange des différents types (karaté, Judo, boxe française, Krav-Maga et autre Capoeira) leur vient naturellement. Je pense et Jona aussi que le fait qu'ils soient totalement béotiens dans ce type de sport les avantage.
Ce qui se dit sur les liens entre jumeaux doit être vrai car quand ils combattent ensemble, ils se complètent à la perfection, on a franchement l'impression d'une connexion mentale entre eux. En trois mois ils ont rejoint la moyenne d'entre nous et même les plus forts quand ils sont réunis.
Jona : " j'aimerais pas tomber entre leurs pattes le jours où ils seront de mauvaise humeur ".
Coté 3ème mi-temps, ils ne sont pas bégueules et je crois que maintenant ils doivent connaitre toutes les bites et tous les trous de leurs nombreux collègues. L'inverse est vrai aussi, même si je note une légère préférence pour mes escorts de leur âge dont ma petite " fratrie ", Jalil en tête (et le reste).
À leur contact, ils se créent une véritable expérience des pratiques sexuelles classiques et un peu moins aussi.
Je les envoie à Paris pour qu'ils rencontrent Bo-gosse et Moitié ainsi qu'Alban. Ces derniers, en plus de profiter de leurs corps les emmènent dans des expos ou des vernissages. C'est quand même mieux de voir les oeuvres avec ses yeux que sur un écran d'ordinateur. Ils complètent ainsi leur culture artistique.
À chacun de leurs retours, j'ai droit à une litanie de remerciements ! Je dois leur rappeler que c'est aussi tout bénéfice pour eux et ma petite société.
C'est au point que je demande à Rody s'il n'avait pas d'autre cousins à trainer dans un coin !
Le directeur de mon fournisseur attitré de la place Vendôme me contacte suite à un retour d'information de Suisse comme quoi j'avais rentré deux clones d'une efficacité redoutable.
Je remets les choses à leurs places mais confirme que mes jumeaux sont effectivement très appréciés dans leurs prestations en duo.
Pour leur entrée dans le monde Parisien du luxe, je les accompagne. J'ai le temps (PH est encore très occupé par sa spécialisation quand à Ludovic, il accepte de se rabattre pour 48h sur mes escorts en disponibilité). J'en profite pour visiter Henri et Kev.
Le contact :
Nous prenons le train (en première). Pendant le voyage je les briefe. Ils vont " servir " deux Sud-Africains et devront assurer toute la prestation en anglais.
Avant d'émarger chez moi, ils maitrisaient l'anglais courant, au contact de mes " petits frères ", ils ont acquis le vocabulaire spécialisé (sexe).
À la gare nous sommes attendus par le chauffeur de mon contact. Place Vendôme, mes jumeaux ont les yeux comme des soucoupes devant les devantures. Les clients nous attendent dans le bureau du directeur et en sa compagnie.
Il s'agit d'un couple de Sud-Africains mixte (black & white). La 30aine tous les deux, le blanc ne peut renier ses origines Boers quant au black il l'est et très foncé. Les deux offrent un physique grand, svelte et, si l'on en croit leurs chemises très ajustées, avec de beaux abdos. Les pantalons ont un peu de difficulté à atténuer l'importance des paquets qu'ils recouvrent. Les deux arborent une coupe courte de leur chevelure et une absence de barbe complète la vision.
Ils parlent un anglais teinté d'un léger accent. Après les présentations, ils valident le choix du directeur et semblent content de signer mes contrats.
Avant de nous séparer (ils ont une suite au Ritz), ils admirent le diamant qui pend à mon oreille. Le directeur en profite pour signaler qu'il provient bien de sa maison et qu'il est bien un Sud-Africain lui aussi.
Je rejoins Kev et Henri. Nous sommes toujours contents de nous revoir. Henri me cuisine quelques instants sur les résultats de mes sociétés. Quand il s'étonne du montant élevé de mes résultats (en valeur absolu), je lui fais remarquer qu'en %age ils restent les mêmes, c'est juste que la valeur de la prestation moyenne a augmenté substantiellement du fait de l'augmentation de la part clientèle " Vendôme ".
Diner entre nous au Fouquet. Je remarque de nouveaux serveurs plutôt canons. Quand j'en fais part à mes amis, c'est pour me faire traiter d'obsédé !! Café chez Henri puis quartier libre.
On passe chez Kev pour troquer nos costumes pour des vêtements plus appropriés pour finir la soirée dans les bars du marais. Pour ma part j'enfile des jeans slim sur un jock Bike et un simple T-shirt blanc à grand décolleté qui moule pecs et tablette. Par-dessus j'enfile un blouson cuir noir que je lui emprunte. Dans la glace, je fais encore illusion. Kev, ses jeans sont noirs et le t-shirt pareil.
Je suis tellement moulé que les élastiques du jock se devinent. Dans mes poches, juste ma carte de crédit et quelques kpotes. Il me sort dans ses habituelles étapes et j'ai le plaisir de m'y faire draguer. Si j'écarte direct (mais gentiment) les mecs paraissant plus de 25ans, je me laisse faire par les plus jeunes qui nous abordent. Kev à mes côtés m'informe des " planches pourries " qu'il connait. D'ailleurs sa présence les tient éloignées de moi. Alors qu'il me conseille quelques mecs qu'il s'est fait et avec qui il s'était bien amusé, je remarque, au fond dans l'ombre, un physique qui m'interpelle. Il semble seul devant son verre. Je l'observe avec plus d'attention.
Assis, je le devine pas vieux, dans les 1m75, coupe de ses cheveux noirs plutôt courte sur les côtés, vêtements quelconques. Je recherche ce qui m'a attiré l'oeil. Je le sais quand il redresse la tête et que nos regards se croisent. Il laisse une impression de candeur doublée d'appréhension frôlant la peur. Un néophyte ? Si ses vêtements ne l'avantagent pas, ils ne peuvent cacher un physique carré.
Je laisse Kev et armé de mon verre part rejoindre sa table. Quand je pose mon verre, il sursaute, surpris par ma présence. Je sors mon plus beau sourire et lui demande s'il est du coin, moi-même étant un provincial. Malgré l'éclairage faiblard, je note un rougissement notable de ses joues. Quand il me répond, les mots se bousculent un peu mais j'arrive à comprendre que lui aussi n'est pas parisien. Je lui demande s'il est seul. Il devient pivoine mais hoche la tête dans le bon sens puisqu'il signifie " oui ".
Je m'assois sur sa banquette et pousse pour me coller à lui. Par précaution, je lui demande s'il sait qu'il est dans un bar où les hommes se cherchent entre eux. Il opine imperceptiblement du chef. Moi ça me suffit et vu que son halène n'exhalait pas d'odeur particulière, je me penche et tournant la tête, lui roule un patin.
Il est surpris c'est sûr ! Mais ma main judicieusement placée derrière son crâne, l'empêche de se reculer et il finit par ouvrir les mâchoires. Je pense que ce devait être pour parler mais ma langue en allant au contact de la sienne, a rendu ses efforts vains. Je fais le " "boulot " quelques minutes avant qu'il ne participe à l'échange.
Une légère maladresse me fait supposer le puceau ou au moins le mec peu expérimenté. Quand je vais pour m'écarter, il suit le mouvement puis se décolle confus !
Mes mains ne sont pas restées inertes et mes diverses palpations ont confirmé que sans être Musclor, il est loin du gringalet et qu'il bande comme un mort de faim (plutôt de sexe). Même si ses jeans épaississent l'objet de mon attention, j'ai quand même un beau morceau dans la main. J'espère qui est recto/verso !
Il m'avoue que je ne suis que le deuxième mec qu'il embrasse. Du coup je lui demande son âge. 18ans déclaré, étudiant en première année de sociologie, il avait osé ce soir-là entrer dans ce bar.
Je lui dis que je suis verni puisque c'est ce même soir que moi aussi j'y suis entré. Je parle plus que lui mais arrive quand même à apprendre deux/trois trucs, notamment qu'il est effectivement puceau même de meufs. J'apprends aussi qu'il fait du sport et que les " douches " sont plus un supplice qu'un plaisir, craignant à chaque fois de bander à la vision des culs et des sexes de ses partenaires (handball).
Ça me suffit pour avoir envie de baiser avec. Quand je lui fais part de mon envie, il tique un peu puis se lance et dit accepter de me suivre. Kev qui nous voit nous lever ensemble nous rejoint et me confie les clés d'un studio qu'il loue pour ses plans culs sans lendemain. Il me précise que tout ce dont nous aurons besoin est dans le placard à droite du lit.
C'est dans le quartier et nous y sommes en moins de 5mn. Le studio est vraiment équipé pour. Dans les 30/40m², il se compose d'une kitchenette doublant l'entrée, d'une pièce occupée par un grand lit et d'une salle d'eau avec une douche à 2 places.
Je fais tomber Gaëtan sur le lit et le recouvre de mon corps. Roulage de pelle. Il n'a plus d'appréhension et vient tout de suite au contact. Les blousons tombent, les T-shirts suivent mais notre enthousiasme les a un peu déchirés. Pantalons et slips, et je peux enfin voir si mon pari était le bon.
Gagné ! Le mec est imberbe, muscles dessinés, quelques poils fins sur les avants bras et les mollets avec une touffe un peu sauvage au-dessus du sexe et des couilles rasées. Justement le sexe : rose, entier mais le frein cassé (le prépuce laisse voir la totalité du gland rose vif) dans les 20x5 biens droits.
Je prends sa tête entre mes mains et le pousse vers mon bas. Il ne résiste pas et docile lèche mes tétons avant de s'attaquer à ma queue. Ok, pour les pipes aussi il est novice. Je le guide, usant de sa bouche comme d'un anus, je plaque sa tête sur le lit et m'occupe moi-même des va et vient. J'arrive quand même à lui mettre mes propres 20cm jusqu'aux couilles sans qu'il me gerbe dessus ! S'il est tout neuf, il encaisse bien ! J'espère que ce sera pareil à l'enculage.
Je retire ma bite et on reprend notre bataille de langues. Pas de paroles inutiles, il me semble qu'il enregistre toutes nos pratiques.
Mes doigts s'égarent entre ses fesses. Sa rondelle résiste bien à la pénétration. À part des suppositoires, il n'a pas du enfiler grand-chose encore dedans ! Comme j'insiste après avoir recouvert mes doigts de salive, il me glisse à l'oreille qu'il est totalement vierge. J'avais bien deviné !
Je le retourne et après avoir vérifié l'état de propreté y va de ma langue sur sa rondelle. Ça le fait gémir de plaisir. Il se détend et je peux y aller avec un doigt. Enfoncé entièrement il ressort nickel. Je crache et arrive à lui en enfiler deux. Ce qui me fait plaisir c'est qu'il bande toujours.
Nouveau retournement et nous voilà en 69. De lui-même il vient me sucer et s'efforce de reproduire ce que je l'ai un peu forcé à faire (gorge profonde). Je l'aide en relevant mon bassin.
Je suis obligé de faire rapidement une pose au risque de le faire jouir trop vite.
Il se confie plus. J'apprends que c'est depuis sa puberté qu'il est attiré par les garçons et qu'il est au supplice à chaque entrainement et match avec son équipe. Surtout quand certains de ses partenaires sont là. Il en kiffe deux plus particulièrement qui le font bander chaque fois qu'il se douche avec. Ça lui avait valu des plaisanteries dont il s'était affranchi par un mensonge d'hétéro.
La tension ayant baissée, je reprends notre petit jeu. Il me semble moins coincé ! Et vient direct me manger la bite. Le gland passe tout seul côté gorge et je le laisse gérer. Il a compris la tactique et retient mon gland prisonnier plusieurs 10aines de secondes son nez écrasé sur mon pubis. Là, c'est moi qui dois le repousser pour ne pas lui remplir l'estomac. Il quand même du pas mal se branler sur YouPorn car si une de ses mains emprisonne mes couilles, il utilise les doigts de l'autre pour se préparer la rondelle.
Je comprends qu'il est prêt à accepter un dépucelage complet. Bingo !
À la pause suivante, je trouve dans le placard si commodément placé et rempli, les kpotes et le gel indispensable. Le frigo révèle une collection de flacon de poppers. Je sors un de marque connue (de moi).
Quand on reprend, il se positionne en levrette écrasée sur le lit et bien que sa bouche soit enfouie dans l'oreiller il m'invite à l'enculer. Merci Merci !!
Kpoté et 2 secondes, j'ajoute une bonne couche de gel dessus et sur sa rondelle, lui enfilant même le début du tube dans son anus pour y envoyer une bonne giclée (de gel).
J'y vais doucement quand même. Faut pas dégouter les volontaires ! Il prend mon gland difficilement malgré la préparation. Poppers dans chaque narine et le problème est réglé. Je m'enfile jusqu'aux couilles et lui-même est étonné de la facilité avec laquelle il s'est fait dépuceler.
Je le lime 5mn et il jute, normal même s'il a des regrets que ç'ait été aussi rapide. Comme je bande et que je ne vais pas lui infliger une sodo après sa jouissance, il me suce jusqu'à ce qu'à mon tour j'éjacule.
Conclusion : petit dépucelage classique et gentillet. J'aurai finalement préféré tomber sur la salope du siècle (lol). Lui est très content et quand je lui dis de ne pas hésiter avec ses potes mais de les initier (peut-être sont-ils déjà plus avancés que lui dans ce domaine). Il verra qu'au pire il se fera remercié gentiment. C'est toujours flatteur même pour un hétéro de faire bander un mec bien foutu comme lui.
Quand nous sortons de l'appart, il est gonflé à bloc. J'espère pour lui que ça va tenir devant ses potes !
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!