Salut, je m'appelle Thomas, j'ai 21 ans, 1m80, brun aux yeux marrons. Cela fait maintenant un mois que j'ai aménagé dans mon nouvel appartement, et jusqu'à il y a une semaine, j'en étais plutôt mécontent, mauvaise isolation, voisins du dessous pénibles... Cependant, mes voisins d'à côté m'offrent une certaine consolation. Dès mon arrivée, ce couple hétéro de quinquagénaires s'est montré très sympathique envers moi, me disant de ne pas hésiter si j'avais besoin de quoi que ce soit, ou si j'avais le moindre problème. Je n'ai pas eu besoin de leur aide jusqu'à vendredi dernier, quand en rentrant chez moi, j'ai trouvé une salle de bain inondée à cause de mon robinet cassé. Ne m'y connaissant pas du tout en plomberie, et pris de cours, mon premier réflexe fut d'aller demander de l'aide à mes voisins.
Je sonna donc chez eux, un peu gêné de les déranger à 22 heures. Quelques instants plus tard, mon voisin ouvrit la porte, habillé seulement d'un caleçon. Mon regard parcouru son corps, de ces cuisses musclées, à sa tête, barbue et aux cheveux grisonnants, en passant par son torse, aux poils grisonnants, et son entrejambe dont le caleçon semblait enflé par son paquet.
- Un problème, Petit ?
- Heu... Oui, j'ai un robinet qui fuit, et je ne sais pas quoi faire, ça ne vous dérangerait pas de venir m'aider ?
- Pas de problème, je m'habille, et j'arrive, entre en attendant.
Il me tourna donc le dos pour se diriger vers sa chambre. Et j'en profitais pour mater son cul, à bien moulé dans son caleçon blanc. Puis il entra dans sa chambre, et me laissa seul dans le salon. J'aperçus son ordi sur la table basse, et y jeta un oeil par curiosité. Il était sur un site porno ! Je n'eus pas le temps d'en voir plus que j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir, et il en sorti. Il était maintenant en chemise de travail, et en jean troué. Il compris que j'avais vu sur quel genre de site il était.
- Haha, on s'occupe comme on peut ! Tu vois ce que je veux dire Petit ?
- Oui, mais ça ne dérange pas votre femme que vous regardiez du porno ?
- Si, mais elle est à Paris pour weekend, alors j'en profite ! Bon, on a une fuite à réparer !
On alla donc dans mon appartement, ou il examina la fuite, et me demanda si j'avais certains outils, que je n'avais pas. Il dût donc retourner dans son appartement, chercher les siens. Il revint avec sa trousse à outils, et en quelques minutes, non sans éclaboussures, et quelques juron, il avait réparé mon robinet. Il repartit, la chemise mouillée lui moulant le torse. C'était définitif, j'avais trouvé mon nouveau fantasme : cet homme marié. Quelques minutes après être parti, mon voisin revint, je lui ouvrit.
- Hé, Petit, j'ai un problème... Tout à l'heure, en allant chercher mes outils, j'ai oublié mes clefs chez moi, et le proprio ne répond pas. En clair, je ne peux plus rentrer chez moi !
- Je suis désolé, c'est de ma faute ! Mais il n'y a pas de problème, vous pouvez dormir ici !
Il entra donc chez moi. Mon fantasme entra chez moi ! Et il allait y passer la nuit !
- Hé petit, tu aurais quelque chose pour que je le change, j'ai un peu froid avec toute cette eau.
En effet, il devait avoir froid, je pouvais voir ses tétons qui pointaient à travers sa chemise. Je lui apporta donc un t-shirt et un jogging. Il se changea dans mon salon, qui faisais aussi office de chambre, pendant que j'allais finir d'éponger ma salle de bain. Il me rejoins peu de temps après.
- J'ai pas pu mettre ton t-shirt petit, il était trop serré pour moi. Mais merci pour le jogging.
On alla s'installer sur le canapé, et on discuta pendant de nombreuses minutes, avant que la fatigue ne s'installe, et qu'on déplia mon clic-clac.
- Ça ne vous dérange pas que l'on dorme ensemble, je n'ai pas d'autre lit.
- Non, il n'y a pas de problème !
On se coucha donc. J'étais couché à coté de mon fantasme, torse nu à coté de moi. Je fus réveillé en plein milieu de la nuit par un bruit venant de l'extérieur, mon voisin, toujours endormi à côté de moi ronflait, il devait dormir profondément. Me laissant guider par mon désir, je souleva la couette, et m'approcha de son entrejambe, lui tira doucement le jogging, laissant découvrir son sexe au repos. Il avait une bonne taille, et était poilu, mais entretenu, et deux grosses couilles pendaient en dessous. Il ne portait plus son caleçon, il avait dû le sortir pour mettre le jogging. Entendant toujours ses ronflements, j'en profitais pour attraper son outil, et commença à le masturber doucement. Sa bite grossissait doucement. Les ronflements continuant, j'approchai ma tête, et commença à lui lécher le gland. Puis, je fis des va-et-vient avec ma langue de l'extimité à la base de sa bite, tout en lui malaxant doucement les couilles. Sa bite était maintenant dressée vers moi, elle était plus grosse que la plupart de celles que j'avais croisé jusqu'à présent, elle devait faire plus de vingts centimètres, et était veineuse. Je mis en bouche doucement, et le suça de plus en plus profondément, mais je n'arrivais pas à la mettre entièrement en bouche. Je le suçait de plus en plus fort, si bien que le seul bruit qui se faisait entendre dans l'appartement était celui de ma pipe. Je me rendis alors compte que mon voisin ne ronflait plus ! Je releva ma tête pour m'assurer qu'il dormait toujours, quand je croisa son regard ! Il me regardait avec un grand sourire.
- Je t'en pris Petit, continue, j'ai pas l'habitude me me faire sucer par des mecs, mais je dois dire que tu suces mieux que ma femme !
Je continua donc de plus belle, aidé par ses mains qui poussaient ma tête vers sa bite, m'obligeant à la sucer jusqu'au bout. Je le suça pendant de nombreuses minutes, quand il me demanda d'arrêter.
- Installe-toi bien, que je baisse ton trou !
Je me mis à quatre pattes sur le lit, il se releva, et vint s'installer derrière moi, retira mon caleçon, et m'écarta les fesses. Il cracha sur mon trou, et je senti un doigt me caresser l'anus. Il tourna autours, avant de me l'enfoncer d'un seul coup, me faisant éclater un gémissement de douleur mêlée de plaisir. Pendant qu'il me doigtait, je sentais quelque chose à la base de son doigt. C'était son alliance ! Cette sensation d'homme marié qui me baisait m'excita encore plus, et je commençais à secouer mon cul pour en demander plus. Je senti alors un deuxième doigt entrer dans mon cul, puis un troisième, et il continua ses va-et-vient pendant quelques minutes. Puis il se retira, et je senti sa bite s'enfoncer en moi, d'un seul coup, me faisant gémir de plaisir.
- On dirait bien que tu aimes ça les grosses bites, Petit !
- Oui, baise-moi encore plus fort !
- Non, non, Petit, tu vas continuer à me vouvoyer!
Sur ces paroles, il me donna une fessée. Je me faisais baiser par mon fantasme, et c'était encore meilleur que ce que je n'aurais pu l'imaginer ! On changea de position, je me mis sur le dos, et il continua à me baiser, mais cette fois-ci, il s'approcha pour m'embrasser et quand j'ouvris la bouche pour en faire de même, il cracha à l'intérieur, et me lécha la langue. On s'embrassait maintenant à pleine bouche, nos langues se mêlant. Il me cracha dans la bouche plusieurs fois, puis venait jouer avec sa salive, la récupérant avec sa langue, avant de me la recracher dessus. Toute cette excitation était trop pour moi, et je finis par jouir, éjaculant tout le long de mon torse. A ma grande surprise, il se retira de mon cul, et se mit à quatre pattes à coté de moi, et commença à lécher ma semence, étalée sur mon torse. Quand il eut fini de tout récupérer, il vint me vider sa récolte dans la bouche, recommençant nos jeux de salive avec mon sperme. Il se coucha sur moi, je sentais tout son poids sur mon corps, et j'aimais ça. Je sentais sa bite, toujours bien dure contre la mienne qui ressaisissait, et il recommença ses va-et-vient, sa bite frottant entre nos deux corps. Il recracha une dernière fois mon sperme dans la bouche avant de me dire,
- Garde ça Petit !
J'obéis, et garda le sperme en bouche, veillant à ne pas l'avaler. Il nous fit rouler, il était maintenant sur le dos, et me fis m'asseoir sur sa bite, il me pénétra de nouveau, et me laissait bouger le corps pour me faire baiser. Il me demanda de me retirer après un certain moment, et je le branla pour le faire jouir. Il me demanda alors de lui cracher le sperme sur la bite, ce que je fis, avant de le sucer. Il donna des derniers coups de reins, avant de laisser échapper plusieurs jets de son sperme, chaud et salé dans ma bouche, qui était déjà remplie du mien. Il me demanda de m'approcher, afin que nous puissions recommencer nos jeux de sperme, ce que je fis, et après quelques échanges, il tire la langue, me montrant qu'il avait tout avalé. Voyant mon air surpris, il expliqua.
- Et oui Petit, t'es pas le seul à aimer ça ! Mais t'inquiètes pas, la prochaine fois, je te le laisserai !
- Donc il y aura une prochaine fois ?
- Oui, ma femme est souvent absente pour son boulot, alors j'aurais grand besoin d'un trou aussi bon que le tien !
Puis, après un dernier long baiser langoureux, on finit par se recoucher, et on s'endormit, l'un contre l'autre, je pouvais sentir sa bite ramollie collée contre mes fesses, et je me disais que j'étais chanceux. Et que sa femme ne rentrant pas avant dimanche soir, nous allions avoir du temps pour nous. Et je n'étais pas au bout de mes surprises.
Thomate8502
thomate8520@outlook.fr
Autres histoires de l'auteur : Mon voisin de pallier