C'était une belle journée pleine de soleil et de ciel bleu comme on en voit, pas assez, hélas, en Normandie.
Nous marchions le long de la grande plage accompagnés du ricanement des mouettes et du clapotis des vaguelettes qui venaient mourir sur le sable.
J'avais désiré me rendre avec mon ami sur cette plage, entre Houlgate et Villers- sur- mer, et me livrer avec lui aux délices du nudisme et d'autres " choses " très agréables dont vous aurez les détails savoureux et excitants dans ce récit qui, j'en suis sur, ne vous laissera pas indifférent....
Je connais cette plage depuis longtemps et je la fréquente tous les ans pour son côté sauvage et désert. C'est un endroit magnifique bordé par la mer et d'énormes falaises gris foncé qui lui donne un aspect fantastique. S'étendant sur environ 3 kms cette longue bande de sable est assez peu fréquentée. On y rencontre à son extrémité, côté Villers, surtout des hommes, mais aussi des femmes, épris de bronzage intégral, de naturisme et d'aventures...
Ma tendance très forte à l'exhibitionnisme me motivait dans cette démarche et je désirais faire admirer à mon ami le plus intime de ma personne : un sexe impressionnant de beauté....Cela peut paraître excessif mais c'est la réalité.
Je ne suis pas homosexuel mais mon ami l'étant il est, à mon avis, plus à même qu'une femme d'apprécier cette partie de mon anatomie que j'ai, je le répète, très, très, attirante...
J'ai en effet la prétention d'avoir un sexe de belles proportions.
Depuis toujours je lui porte un véritable culte et je n'ai de cesse de le faire admirer, avec prudence, mais avec délectation et fierté, quand l'occasion se présente, aussi bien à la gent féminine qu'à la gent masculine.
L'endroit ou nous allions se prêtait idéalement bien à cette exhibition que je voulais, comme toujours, très provocante, excitante et sensuelle.
Ce fut une longue marche sur le sable humide. Je n'avais gardé que mon string très moulant, couleur chair et quasi transparent, qui laissait deviner des formes et volumes des plus aguichants....
La protubérance impressionnante qui tendait le nylon de mon string fut remarquée par mon ami par un regard appuyé... Sous l'effet de celui-ci, je ressentais un tout début d'érection, ce qui était bon signe pour la suite...
Dans la hâte de montrer mon sexe à mon ami je retirai mon string.
J'étais maintenant complètement nu et je ressentais une impression de liberté totale de pouvoir ainsi offrir mon corps au vent, au soleil et à la mer....et aux regards.
En marchant, ma verge légèrement tendue venait battre mon ventre à chaque pas et ma main venait caresser mon sexe et mes bourses avec délice...Quand je suis nu, quelque soient les circonstances, je ne peux m'empêcher de caresser mon membre viril que j'aime au point de le personnaliser... Et les caresses, ça, il adore....
Un vent coquin passait entre mes jambes et effleurait délicieusement mes bourses dont la peau se raffermissait. C'était une sensation excitante très agréable.
Nous nous dirigeâmes vers un endroit désert de la plage, une petite crique derrière de gros rochers, ou nous pourrons nous exhiber en toute tranquillité.
Arrivés sur les lieux nous avons choisi le meilleur emplacement pour nous étendre en disposant de larges couvertures sur le sable chaud.
Alentour, pas âme qui vive. Nous étions seuls au monde et j'avais hâte de vivre les moments captivants que j'espérais vivre avec mon ami.
Mon sexe progressait dans son érection, la verge à l'horizontale, légèrement recourbée vers le haut et, à son extrémité, le gland que l'on devinait énorme sous le prépuce.
Debout, les jambes écartées, je m'amusais à faire bouger ma verge sur un plan vertical en contractant les muscles du bas ventre.
Mon ami, impressionné, fit compliment de mon sexe. Il faut dire qu'il commençait à avoir grande allure et tout laissait prévoir que le summum allait être atteint rapidement dans sa " transformation "...à la verticale !
Mon corps tout bronzé était maintenant offert au soleil et aux regards de mon ami qui s'était lui aussi allongé nu à côté de moi.
Je m'étirais voluptueusement, écartant au maximum les bras et les jambes. Je ressentais une très grande sensation de bien-être et soupirai d'aise...
J'avais sous la couverture aménagé un monticule de sable pour que mon bassin se trouve surélevé et donne un aspect provoquant à mon sexe qui surplombait ainsi le pubis et le reste de mon corps. J'ai toujours attaché de l'importance à cette mise en scène dans mes exhibitions pour mettre en valeur mes bourses et mon pénis. Le cockring, pour moi un équipement indispensable, séparait nettement les bourses du pubis, accentuant leur relief et leur volume impressionnants.
A noter que le cockring, en français, " anneau de sexe ", favorise l'érection en enserrant étroitement la base des bourses et en les séparant du pubis.
Mon corps était rasé entièrement, surtout mon sexe, mais aussi le ventre, le pubis, les cuisses et le périnée. Enserré entre les bourses et le pubis par le cockring en or (s'il vous plait...) mon sexe présentait un relief saisissant. De plus j'avais préalablement enduit de fond de teint ocre la verge, les bourses et le pubis et couvert le tout de poudre. Cela donnait un aspect satiné du plus bel effet et très raffiné.
Je dois en outre préciser que j'ai horreur des poils sur le corps. De raser le sexe et le pubis donne à ceux-ci un aspect ultra sensuel, esthétique et donne au contact buccal et lingual, d'un ou d'une ami(e), une sensation des plus agréables...En outre l'absence de poils favorise grandement l'érection . Je l'ai maintes fois constaté quand je me dénude en vue d'une exhibition. De plus, quel régal d'avoir au contact de la langue et des lèvres une peau lisse et douce telle que celle de la verge, des bourses et du pubis au lieu des affreux poils rugueux et piquants. Et quel délice d'embrasser, de lécher doucement le pubis tout lisse et " nicher " sa figure entre les bourses et les cuisses...
Pour faciliter et accélérer l'érection de ma verge j'utilise un produit que j'injecte dans le corps caverneux, ce que je fis. Il faut dire que j'ai perdu les facultés exceptionnelles d'érection que j'avais étant jeune. Il suffisait alors que je me mette nu, en vue de m'exhiber, pour qu'aussitôt l'érection commence et que celle-ci se prolonge à la limite du priapisme. Au meilleur de ma forme je pouvais avoir deux ou trois orgasmes assez rapprochés suivis d'éjaculations abondantes et généreuses, même après une masturbation très brève, avec deux doigts( !)..., tellement le sperme montait rapidement dans la verge!
L'onanisme était alors pour moi une seconde nature. J'étais au paroxysme de la jouissance sexuelle et complètement obsédé par mon sexe. Que c'était le bon temps!
Mais revenons à notre plage au moment ou nous nous allongions.
Sous l'effet du produit injecté, le sang afflua dans ma verge qui se raidit davantage et se durcit. Le gland présentait une boursouflure sous le prépuce ce qui donnait un relief saisissant. La petite fente à l'extrémité du gland, le méat, apparaissait, rouge foncé, par l'ouverture du prépuce. C'est par là que tout à l'heure jailliront les flots de sperme avec le délicieux orgasme.....
Etendu sur la couverture j'écartais les jambes au maximum en surélevant encore mon bassin de façon à accentuer l'effet de relief de mon sexe sur le pubis. Déjà l'extrémité du gland apparaissait davantage et ne demandait qu'à se libérer complètement du prépuce.
Je me sentais divinement bien et le fait d'être regardé par mon ami augmentait mon désir en accentuant l'érection. Je soupirais d'aise et déjà s'ébauchait dans mon corps les sensations délicieuses d'un orgasme prometteur...
Les testicules que j'ai énormes, du volume d'une belle orange, ressortaient magnifiquement du pubis. Elles devenaient fermes sous l'effet de douces caresses avec le bout de mes doigts. Le scrotum avec ses fines ridules et un étroit cordon de chair en relief séparant les deux testicules était sujet, curieusement, à de légères ondulations et frémissements. C'est un phénomène curieux qui m'a toujours intrigué.
Je continuais de caresser cette boule de chair ferme et rebondie que le cockring qui brillait sous le soleil faisait ressortir d'une façon magnifique.
Du revers de la main j'effleurais délicatement mes bourses gonflées et je remontais cette caresse sur la verge satinée et d'une grande douceur au toucher.
Sur toute sa longueur apparaissait un renflement avec la trace d'une fine veine bleue qui tranchait sur la matité de la peau.
Je caressais ensuite cette enveloppe de chair qui contenait mes testicules. Elles étaient d'une grosseur impressionnante et sans me vanter je n'en ai jamais vu de pareil. Ma main, que j'ai grande, parvenait à peine à les contenir. Je les malaxai avec délectation les enserrant à leur base pour les détacher au maximum du pubis.
Je remercie la nature de m'avoir ainsi donné une telle " éxubérance " de sexe qui suscite bien des envies !!...
Mon aspect physique n'est, hélas, plus celui du magnifique corps d'éphèbe que j'avais étant jeune. Il était alors proportionné suivant les canons de la statuaire grecque et mon mêtre 85 donnait à mon corps un aspect élancé et d'une grande élégance.
Ce qui se remarquait le plus dans mon physique, en plus de ma taille bien prise, mes longues cuisses, mes jambes impeccables et mes fesses rebondies, ce fut mon sexe qui a toujours été impressionnant de proportions, par la grosseur des bourses, de la dimension de la verge et l' énorme turgescence de son gland.
Je dois dire que si mon corps est maintenant moins désirable, mon sexe reste encore très remarquable et attirant, et même, a pris avec l'âge, au niveau des testicules, un volume plus important.
Quel bonheur de posséder un tel membre viril! Je comprends les Romains d'avoir déifié cet attribut hautement symbolique de la virilité triomphante. J'aurais alors adoré Priape !...
Ma verge, d'une bonne longueur (environ 15 à 20 cms) et épaisse, était maintenant à son raidissement maximum. D'une grande dureté provoquée par l'afflux sanguin dans le corps caverneux. Je l'effleurais doucement et alternais mes caresses avec d'autres sur le ventre et dans l'entre jambe. Que n'ai-je assez de souplesse pour sucer et lécher ce gland, cette verge si provocante qui me narguait par sa raideur insolente....
Me caresser le périnée m'a toujours donné de très agréables sensations. C'est en effet un endroit du corps très sensible aux caresses.
Mes mains s'attardèrent ensuite sur mes cuisses écartées et remontaient lentement, sur le pubis et le ventre dans un mouvement de caresses lascives et voluptueuses...
Tout cela était empreint d'une grande sensualité et me mettait dans un état second que je vivais intensément en fermant les yeux pour mieux m'en imprégner.
Je baignais ainsi dans un bonheur ineffable et j'avais le sentiment que tout mon être n'existait que par et pour mon sexe.
J'étais dans une sorte de transe et de vertige, dans une sublimation érotique qui avait quelque chose d'irréel....
J'avais l'impression que mon sexe, mon " adorable " sexe, se désincarnait de mon corps formant à lui seul le symbole de l'érotisme absolu.
Mes mains caressèrent encore doucement les côtés de mon sexe, des testicules jusqu'au bout de la verge.
Dieu, que c'était bon et que j'aurais voulu que cela ne s'arrêta pas !....Que je plains ceux qui ne connaissent pas ces sensations suprémement délicieuses !...
L'afflux sanguin dans ma verge me faisait ressentir une légère et exquise douleur qui irradiait tout mon sexe.
Mon gland n'en pouvait plus de ne pas sortir en entier, enserré qu'il était dans le prépuce qui s'entrouvrait de plus en plus.
Je sentais le regard appuyé de mon ami qui jouissait du spectacle mais gardait curieusement une certaine réserve. Il ne bandait pas et je trouvais cela étonnant. Et pourtant, je ne pouvais, par mes attitudes et mes gestes très sensuels et lascifs que provoquer chez lui une érection !
Pour rajouter à mon exhibition je décalottai le gland avec du mal tellement il était gonflé.
Jaillissant soudain du prépuce, il apparut magnifique, énorme et turgescent. Il pouvait enfin se faire admirer. Et il en valait vraiment la peine.....
De couleur rose foncé, et teinté légèrement de bleu sur son pourtour en bourrelé, il se détachait de la verge par son relief et sa grosseur très impressionnante. Il ressemblait à un énorme bourgeon au bout de sa branche, le pénis.
Une petite goutte de liquide séminal apparut, comme une perle, au méat. Délicatement je la recueillais au bout de mon index et je la portais à mes lèvres. Délicieux goût légèrement sucré...
Avec le liquide séminal qui sortait alors abondamment du gland j'enduisais celui-ci avec cette " liqueur " visqueuse et limpide ce qui lui donnait, sous le soleil, un aspect brillant du plus bel effet. Bonbon de chair qui ne demandait qu'à être sucé, pourléché, titillé, mordillé, mis en bouche....
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Que c'était bon d'être ainsi caressé par les rayons du soleil !...
Ma verge triomphante, bandée comme un arc et dure comme du bois, mes bourses gonflées au maximum, ce gland impressionnant de grosseur,.... tout cela formait un somptueux monument érotique d'une insolente beauté.
Je sentais le désir augmenter en intensité.
Je m'amusais à écarter la verge de mon ventre et, comme sous l'effet d'un ressort, elle retombait avec un bruit mat.
Je regardais mon ami qui semblait songeur et je constatais un mouvement ascendant de son pénis.
Dans la perspective d'une approche très près de mon ami, et que j'espérais très fortement, je me levais et allait retirer le fond de teint et la poudre qui recouvrait mon sexe avec de l'eau de mer pour que celui-ci soit bien net au moment délicieux de la fellation, moment suprêmement érotique et que je désirais tant de mon ami.
Je m'allongeais sur ma serviette et demandais à mon ami de venir caresser et " honorer " mon sexe.
Sans hésiter il se pencha sur moi et posa sa main droite sur mes testicules. Il les caressa d'abord doucement, avec une certaine réserve et timidité. Sa main était trop petite pour les saisir entièrement tellement elles étaient gonflées. Ensuite il remonta vers le gland en effleurant doucement de sa main droite ma verge dure, chaude et raide. De sa main gauche il caressait le périnée, de l'anus au pubis.
Je sentis alors un frémissement de plaisir de tout mon être et écartait mes jambes en arc-boutant mon corps pour faciliter le geste de mon ami.
J'entendais sa respiration haletante et pleine d'émotion.
Il prit délicatement entre les doigts le gland énorme et brillant, les humecta de la douce liqueur qui sortait encore du méat et la porta à sa bouche, se pourléchant avec délectation. Il recommença l'opération en y prenant vraiment un grand plaisir.
Je réalisais que désormais il allait donner le maximum de sa personne pour me faire jouir....
Soudain, n'y tenant plus, il se pencha avec frénésie sur mon sexe et engloutit mon gland en gloussant de plaisir.
Je sentais sa langue se lover sur mon gland et écarter délicatement la fente du méat...Il suçait avec délice cet énorme berlingot de chair enduit d'une divine liqueur. Je contractais ma verge pour qu'il en sorte encore davantage et qu'il puisse encore plus s'en délecter. Avec le bout de sa langue il titillait l'extrémité du gland. Je ressentais comme un frémissement de tout mon être absolument délicieux et qui s'extériorisait par un gémissement de plaisir.
En même temps il avait saisi mes bourses qu'il pétrissait avec vigueur tandis qu'il embouchait ma verge qui coulissait doucement entre ses lèvres jusqu'à disparaître complètement dans sa bouche. Le gland devait atteindre le fond de sa gorge car ses lèvres étaient au ras des testicules....
Pour prolonger le plaisir d'avoir ainsi ma verge et son gland engloutis dans la bouche de mon ami je saisis sa nuque avec force et plaquai son visage contre mes testicules.
Je prenais du plaisir à voir mon ami se régaler ainsi de mon sexe avec gourmandise
Doucement, très doucement, comme à regret, il se dégagea de ma verge en s'attardant encore sur le gland avec sa langue et ses lèvres. Un mince filet de liquide séminal reliait ses lèvres au méat. J'étais ainsi relié à mon ami par un lien très sensuel....
Il lécha ensuite avec avidité la colonne de chair en l'enduisant de salive, mélangée de liquide séminal, ainsi que les testicules jusqu'au cockring. Tout était ainsi devenu humide et luisant.
Prenant soudain la verge à pleine main il caressa son visage avec le gland et l'enduisit complètement de cette liqueur qui sortait lentement du méat.
Je constatais alors chez mon ami une frénésie incontrôlée qui tournait au délire...
De nouveau et avec une sorte de gémissement de plaisir il prit avec peine les testicules dans sa bouche engloutissant ensuite goulûment la verge toute gluante et l'agitait avec frénésie dans tous les recoins de sa bouche. Il la coulissa ensuite entre ses lèvres dans un mouvement de va et vient en imprimant une délicate pression avec ses dents et la retira ensuite en un léger chuintement.
Ce fut un moment délicieux et cette masturbation buccale inattendue m'était des plus agréables. Je ressentais comme un début d'orgasme qui aurait pu me faire éjaculer dans la bouche de mon ami....ce qu'il aurait peut-être apprécié.
Une fellation doublée de caresses.... hummm que c'était bon !!..Je le suppliai : " encore "
... " encore "... et il recommença de sucer ma verge, et surtout mon gland qu'il mordillait
délicatement. Avec le bout de sa langue il excitait l'extrémité du gland d'une grande sensibilité, ce qui me procurait une sensation d'un délice absolu, et il tentait de l'introduire dans la petite fente rose foncé du méat. Du tréfond de mon bassin je sentais la naissance de l'orgasme sous l'effet de l'excitation provoquée par mon ami.
Changeant soudain d'attitude mon ami entreprit de lécher soigneusement et avec délectation mon pubis et mon entrejambe. A grands coups de langue il les lécha avec avidité s'attardant sur le pubis dont il appréciait la douceur. Il s'attardait dans la zone du périnée et je sentais sa langue parcourir cette zone érogène et remonter vers les testicules qu'elle lécha sur toute leur rondeur.
Pour accentuer encore cet élan vers mon sexe et mon pubis mon ami saisit mes fesses de ses deux mains et enfouit avec force sa figure entre mes jambes. Je sentis qu'il jouissait alors intensément car de sa gorge exhalait un râle de plaisir....
En dégageant sa figure de ce " nid de sensualité " mon ami me fit un sourire de contentement et il ne put s'empêcher de nouveau de revenir vers mon sexe qu'il honora encore en enduisant généreusement de sa salive mes testicules, mon gland et ma verge.
Je constatais alors que mon ami, très excité, était alors totalement " possédé " par mon sexe.
Le sien, plus petit que le mien mais de bonnes proportions, était maintenant en érection.
N'y tenant plus, tellement je sentais l'orgasme arriver et le sperme monter de mon ventre, je demandais, je suppliais mon ami de me masturber....
Saisissant ma verge en la serrant fortement il le fit avec un plaisir non dissimulé et tandis qu'il se masturbait avec sa main gauche , le va et vient de sa main droite sur ma verge s'accentuait en un coulissement de la peau sur le pénis qui s'accélérait de plus en plus.
.
Je sentis alors ma semence monter inexorablement de mes testicules dans la colonne de chair.
Je n'en pouvais plus tellement je voulais jouir mais en revanche j'aurais voulu que cet instant sublime qui précède l'orgasme se prolonge encore quelques instants.
Que c'est bon et délicieux ! On sent son être frémir tout entier dans l'imminence du moment suprême. C'est vraiment du domaine du merveilleux.... .
Ma verge était plus dure que jamais, l'orgasme ce phénomène extatiquet, Ö bonheur !, se manifestait.
Soudain le moment ultime arriva
Alors que je soulevais au maximum mon bassin pour rendre encore plus spectaculaire l'éjaculation, le sperme jaillit généreusement du gland avec force et par saccades, se projetant en giclées épaisses, blanchâtres et onctueuses, en retombant toutes chaudes sur la verge, les bourses, le pubis et le ventre ainsi que sur la main de mon ami.
Au paroxysme de l'orgasme et du plaisir nous éjaculâmes ainsi ensemble en râlant bruyamment de bien être, de plaisir et de jouissance non contenus.
De mon gland le sperme continuait de s'écouler par saccades que j'accentuais en contractant ma verge. Celle-ci perdait de sa raideur et venait recouvrir mollement le pubis.
Nous restâmes étendus sur le dos côte à côte, soupirant d'aise et nous souriant avec complicité.
Près de nous un bel homme nu au corps d'apollon, qui n'avait rien perdu du spectacle, se tenait debout. Sans complexe, naturellement, et sûrement excité par nos ébats, il se masturbait
doucement en nous regardant et en nous souriant. Il était vraiment superbe et je pensais avec nostalgie que moi aussi j'avais eu un corps aussi beau...
Il se caressait voluptueusement les cuisses et s'attarda ensuite sur ses fesses qu'il avait magnifiques par leur galbe et leur fermeté.
Il repris sa lente masturbation, soucieux, de toute évidence, de faire durer le plaisir de se faire admirer.
Soudain sa main accéléra son mouvement de va et vient sur la verge. Son corps se cabra, projetant son sexe en avant. Il émit alors un son rauque de jouissance et des giclées de sperme jaillirent avec force de son sexe magnifique et...rasé ! Il était circoncis et son gland énorme, turgescent, prolongeait une verge longue et épaisse. Je n'avais jamais vu un pénis de cette importance. Lui aussi avait un cockring mettant en valeur des bourses au moins aussi grosses que les miennes. La nature l'avait gâté, lui aussi.
Je constatais alors qu'après l'éjaculation sa verge restait aussi raide qu'avant et j'en déduisis qu'il devait être atteint de priapisme. C'était vraiment très impressionnant. Je l'enviais et l'admirais au point que la vue de ce sexe encore en pleine érection commençait à me faire ressentir un début de réaction.....Surtout qu'il marchait maintenant vers moi en un déhanchement des plus suggestif et aguicheur pour mettre en valeur son sexe hyper provoquant.
Mais, comme disait KIPLING, ceci est une autre histoire...
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