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Moi, Alexandre divorcé et père, j'ai sauté le pas en ayant des rapports avec Paul, un mec rencontré dans un bar le soir de mon trentième anniversaire alors que j'étais seul et pas mal démoralisé. J'ai d'abord cru que j'avais cédé par désespoir mais, quatre jours après, on a recommencé et, chaque fois, j'ai éprouvé un plaisir immense, intense et inédit.
J'ai été vraiment chamboulé dans mes convictions, depuis mes 18 ans je n'ai eu de rapports qu'avec des femmes, j'ai toujours adoré leur corps, les caresser, les sentir frémir sous mes mains et gémir puis s'abandonner à moi. Les posséder, les exciter à mort en leur bouffant le minou puis en les pénétrant, leur masser ou leur lécher les seins, sentir leur orgasme monter et, enfin, exploser de plaisir au fond de chacune d'elle. C'est toute ma vie ! A la fois mes plus grands moments de plaisir mais c'est aussi ce qui a sonné le glas de mon mariage. Céline, ma femme, n'a pas du tout apprécié de me trouver au lit avec sa meilleure amie. Comme le gros con que je suis, pour me justifier, je n'ai rien trouvé de mieux à lui dire que : " Mais chérie, c'est uniquement toi que j'aime, elle c'est rien ! D'ailleurs, techniquement, je ne t'ai pas vraiment trompée, j'avais mis une capote ! ". Bon, ça les mecs, je ne vous conseille pas de reprendre l'argument, je n'ai jamais vu Céline dans une telle rage, j'ai cru qu'elle allait me tuer. Finalement, je ne m'en suis pas si mal tiré, elle m'a juste foutu à la porte !
Bon là, j'ai l'air de rire mais j'ai bien morflé quand même ! Aujourd'hui, je me rends compte que c'était bien mérité, j'assume mes infidélités et je regrette mes erreurs. Une bonne partie de ma famille et de nos amis ont soutenu Céline et m'ont plus ou moins tourné le dos. Finalement, mon patron m'a proposé d'aller bosser à plus de 200 km de chez moi, au début, j'ai pris ça comme une sanction supplémentaire mais aujourd'hui, je me rends compte que ce fut un mal pour un bien. Mon éloignement m'a fait un peu oublier et a calmé les tensions. Céline et moi avons divorcé par consentement mutuel, depuis nous avons des relations plutôt amicales, surtout pour nos deux enfants. Etre loin d'eux est ma pire souffrance !
Comme je suis incorrigible, j'ai couché avec mon avocate le lendemain de mon divorce : " Faut bien fêter mon nouveau célibat ! ", c'est tout ce que j'ai trouvé à dire. Une semaine après, je déménageais et quinze jours plus tard, je fêtais seul mes trente ans et je baisais mon premier mec, Paul !
" Ton problème Alex est que ce n'est pas avec ta tête que tu réfléchis ! ". Voilà ce que m'a dit ma femme en sortant du bureau du juge. Elle a tout compris !
Quand même, parfois, ma tête fonctionne pour me dire : " Et mec, tu fais quoi là ? Tu baises un mec, deux fois en plus, tu le suces et tu avales son jus ! Tu vires PD mec, c'est ça que tu veux ? ".
Du coup, je me suis connecté sur des sites de rencontres et, pendant trois semaines, j'ai baisé uniquement avec des meufs. J'ai retrouvé le même plaisir qu'avant. C'est sûr, je suis hétéro, un homme à femmes, Paul était une erreur de parcours ! Pourtant, c'est bizarre, je pense souvent au plaisir que j'ai eu avec lui et, à chaque fois, je bande. Un réflexe sûrement !
Une nuit, vers deux heures du mat, je rentrais de chez une certaine Maëva, son pseudo, on avait bien baisé, j'étais claqué. J'étais en train de faire un créneau pour me garer quand je me suis fait doubler à fond par un merdeux à scooter, il se rabat, dérape sur un plaque d'égout et tombe devant ma bagnole. Je descends précipitamment et me dirige vers lui. Il se tient le genou droit et gueule, ça résonne dans toute la rue. Je lui parle pour le calmer, ça marche, je veux appeler les pompiers mais il refuse, il me dit que ça va aller, il tente de se lever, je l'aide, il pose son pied à terre, ça a l'air d'aller. Je me mets à genoux pour voir sa jambe, son survêt est déchiré, il saigne mais ça n'a pas l'air trop grave. D'un coup, je l'entends dire : " Putain mon scoot ! C'est pas vrai, il est foutu ! ". Je lève la tête et je lui dis que le scooter c'est une chose mais qu'il faut soigner son genou. Il me répond qu'il est dans la merde, son scooter est son seul moyen pour aller bosser, il se met à chialer. Je sens la galère, je le console comme je peux et je l'aide à relever l'engin, on le monte sur le trottoir, on est devant chez moi, je l'invite à monter pour se soigner. Il enlève son casque, il a 20 ans à peine, beur à la peau mate, mignon et en état de choc. Je lui fais un pansement et je tente de le réconforter. Au bout d'un moment, je lui propose de le ramener chez lui. On rentre le scooter dans mon entrée, il viendra voir ça demain et on part. Je le dépose chez ses parents, tout le monde à l'air de dormir, il ne veut pas les réveiller, je repars et je rentre. J'ai du mal à m'endormir, l'accident m'a un peu choqué et, d'un coup, je repense à ce petit mec, je commence à gamberger sur sa bouche et son cul. Seule une petite branlette me soulage et me permet de dormir.
Le lendemain, il revient avec son père, un maghrébin d'une cinquantaine d'années qui ne sait pas comment me remercier, lui et son fils se penchent sur le scooter, les dégâts semblent moins sérieux qu'il n'y paraît. Le minet s'appelle Jonathan, 19 ans, ouvrier en pâtisserie, il porte un jean bleu délavé coupe droite qui met bien ses cuisses et son petit cul en valeur, je peux l'admirer tranquillement vu qu'il est bien penché, son polo noir le moule bien son torse un peu musclé, son ventre à l'air bien plat, je le trouve super sexy, il m'excite, je me surprends à me dire que je me le ferais bien. Il boîte un peu et a l'air ennuyé par l'accident mais il me regarde tendrement, enfin c'est ce que j'interprète ! Ils embarquent le scooter dans un utilitaire et son père met le contact. Jonathan vient vers moi, me dit merci pour la centième fois et rajoute la voix tremblante et à peine audible :
" J'aimerais bien qu'on se revoit. Enfin, si ça te dit. "
" Mais bien sûr, quand tu veux. Tu sais où j'habite ! "
Tandis que je lui disais ça, je le matais de la tête aux pieds en passant ma langue sur ma lèvre supérieure puis je lui ai fait un clin d'oeil. Pour la première fois, il a souri, je l'ai trouvé encore plus beau, là, carrément, j'ai bandé !
Le lendemain soir, vers 20h, quelqu'un frappe à la porte, je sais instinctivement que c'est lui ! Je l'imagine encore plus sexy que la veille dans son petit jean, transpirant de désir. Ce n'est pas moi mais un loup en rut qui se dirige vers la porte, je sais que j'ai déjà capturé ma proie et que je vais la dévorer, je vais prendre tout mon temps afin qu'il n'en puisse plus de me vouloir, qu'il me hurle de le prendre et qu'il se donne entièrement à moi comme une chienne en chaleur à son molosse.
J'ouvre, il est là dans son petit jean bleu délavé et un T-shirt blanc col en V, je vois le haut de son torse complètement imberbe. Le long de son cou, il me semble voir battre son sang dans sa carotide. Ses battements semblent rapides trahissant son désir et sa crainte, ça m'excite encore plus, si c'est possible ! La porte est entrouverte, je la tiens de la main gauche, je m'avance en bombant le torse et j'appuie mon bras droit sur le chambranle. Je le regarde intensément, je lui fais un sourire carnassier qui veut dire " Je vais t'avoir " et je lui dis :
" Salut Jonathan. Tu peux plus te passer de moi on dirait. Tu veux quoi ce coup-ci ? "
Il est en train de se liquéfier et perd toute contenance, il bafouille :
" Non, je sais pas. Heu, j'ai cru que, enfin, je... J'ai eu envie... "
" T'as eu envie de quoi ? Vas-y, exprime-toi, ça commence à me plaire. "
En lui disant ça, j'avais passé mon index dans le V de son col et je lui caressais le torse. Je ne sentais pas un seul poil, c'était doux et sa peau était bouillante. D'un coup, j'ai tiré sur le col, il a avancé vers moi, nos deux bouches se sont rapprochées, je l'ai vu avancer ses lèvres, les entrouvrir et fermer les yeux. J'ai reculé et je l'ai attiré à l'intérieur, j'ai fermé la porte, je l'ai repoussé contre la porte, je me suis collé à lui, j'ai approché mon visage du sien, je l'ai embrassé sur la joue puis je suis allé mordiller et sucer le lobe de son oreille. Il a poussé des soupirs langoureux, ma main gauche était passée sous son T-shirt et je lui caressais la poitrine, lui me caressait la tête d'une main et, de l'autre, me touchait le paquet. Dans le creux de son oreille, j'ai très lentement susurré :
" Hummm, on va bien s'amuser tous les deux ! "
" Ouiiiiiiiiii " m'a-t-il répondu dans un long souffle.
Je suis revenu vers sa bouche et, enfin, nos lèvres se sont collées, ma langue est entrée sans rencontrer de résistance, elle s'est enroulée autour de la sienne. J'avais l'impression de le dévorer, mes mains tripotaient ses fesses et je donnais des petits coups de reins, nos sexes durs et dressés dans nos pantalons s'entrechoquaient. Ça faisait à la fois mal et beaucoup de bien, je sentais du précum couler et mouiller mon boxer.
Je me suis décollé de Jonathan, je lui ai souri et, d'un mouvement de tête, je lui ai indiqué la chambre. Il est parti dans cette direction en me prenant par la main. Arrivé devant le lit, il s'est retourné vers moi, je l'ai fait assoir, il a écarté les jambes, je me suis avancé, j'ai posé ma main derrière sa tête, ses yeux se sont posés sur ma braguette, ses mains l'ont ouverte et ont baissé mon jeans, il a léché et aspiré l'auréole de mouille sur mon boxer puis me l'a délicatement baissé. Ma bite a jailli et lui a tapé le menton, ça l'a un peu surpris mais il l'a prise en main et a approché sa bouche pour l'engloutir.
Au moment où sa langue s'est enroulée autour de mon gland, j'ai ressenti cette sensation de bien-être et d'abandon total. J'adore tellement cet instant unique et si puissant. Comme il ne me suçait pas super bien, j'ai pris les choses en main et imprimant la cadence par des coups de reins et en tenant sa tête. Il s'est lâché et s'est mis à me faire une très belle fellation, au bout de longues minutes, je suis ressorti de sa bouche car je sentais que le plaisir pouvait surgir à tout moment. Je me suis entièrement déshabillé, il en a fait de même mais a gardé son slip blanc qui, sur sa peau mate, semblait illuminer la chambre. Il s'est allongé sur le lit, je me suis couché sur lui et je l'ai embrassé longuement puis je suis descendu sur son torse pour titiller ses tétons. Il se tortillait dans tous les sens et gémissait de plaisir. Ma langue a parcouru son ventre, s'est attardée sur son nombril. Pendant ce temps, je baissais son slip très doucement libérant un beau sexe bien droit d'environ 17 ou 18 cm et circoncis. J'ai commencé à le sucer tandis que je pinçais ses tétons. Il prenait son pied vu les gémissements qu'il poussait.
Quand j'ai senti que son excitation était à son maximum et qu'il n'était pas loin de jouir, je l'ai retourné sur le ventre et j'ai admiré ce merveilleux petit cul. Deux fesses rondes, fermes et douces séparées par une raie que j'allais bientôt explorer. J'ai laissé tomber deux longs filets de salive, j'ai écarté ses fesses et j'ai léché son trou. Celui-ci s'est contracté mais, grâce à la salive, la pointe de ma langue est entrée en lui. Son trou s'est détendu et ouvert, j'ai continué à m'en occuper un long moment puis mes doigts sont venus ouvrir un peu plus l'orifice, d'abord un puis deux. Jonathan semblait avoir un peu mal mais a fini par s'habituer et gémissait de plaisir. J'ai pris un préservatif, je l'ai installé et là, Jonathan m'a regardé et m'a dit :
" C'est ma première fois "
Ça m'a troublé, j'allais dépuceler un mec, du coup je lui ai demandé s'il voulait continuer, il m'a dit que oui mais d'y aller doucement. Ce fut un honneur pour moi, il fallait que ce soit bon pour que sa première fois soit réussie. J'ai placé un oreiller sous son bassin pour le lui soulever, j'ai encore lubrifié son trou et sa raie, puis j'ai approché mon gland. Je l'ai doucement pénétré en étant très attentif à ses réactions. Quand je voyais qu'il souffrait, j'arrêtais et je reculais un peu puis, au bout d'une bonne minute, j'étais entièrement en lui. Je me suis couché sur son dos, j'ai embrassé sa nuque, j'ai passé mes mains sous son torse pour lui caresser la poitrine et j'ai commencé les va-et-vient très doucement. Il s'est rapidement mis à éprouver du plaisir et il a commencé à me dire :
" Oh oui, c'est bon, encore, continue, baise-moi plus fort ".
J'ai donc accéléré et le rythme est devenu plus soutenu, ma bite sortait presqu'entièrement de son antre et replongeait de plus en plus vite, de plus en plus facilement et profondément. J'avais ouvert la voie et je me suis dit qu'elle allait être prometteuse !
Je me suis relevé, je l'ai mis à quatre pattes, il a bien cambré son cul, j'ai pu voir son trou désormais bien ouvert, je l'ai encore léché et je m'y suis réintroduit. Son conduit était serré, humide et bien chaud, c'était vraiment très bon ! Je l'ai saisi par le torse pour le relever, il s'est faisait prendre en levrette, ma main droite s'est mise à le branler tandis que je l'embrassais dans le cou. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'il jouisse bruyamment et qu'il expulse cinq jets sur les draps. Les contractions de son anus ont fait monter mon plaisir, j'ai rempli mon préservatif au plus profond de lui.
On s'est allongés un moment côte à côte, il m'a remercié pour ne pas lui avoir fait mal, il m'a dit avoir eu beaucoup de plaisir, j'en ai éprouvé une grande fierté. On s'est relevés, rhabillés, je lui ai payé un coup à boire, on a discutés un peu et il est reparti.
Alexandre
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