Salut tout le monde! L'histoire que je vais vous raconter c'est passer trois ans plus tôt, lorsque j'avais 18 ans. J'étais en terminale à cette époque là, et je connaissais déjà mon attirance pour les garçons, c'est pourquoi en classe je fessais toujours du pied et lançais des regards sensuels à Benjamin. La grosse saloppe que j'étais le voulait depuis longtemps, avoir sa bite en moi, son jus qui me remplit, je m'imaginais mille et une scène avec lui.
Avant d'aller plus loin autant me présenter, je suis Alex, 1m85, des abdos en pierre et par chance, une belle queue. Mais ce n'était pas mon engin que les garçons voulaient, c'était mon cul. Un vrai cul formé comme il le faut, vous imaginez même pas.
Les cours avaient donc reprit et ma dernière partie de jambe en l'air devait remonter à deux semaines, avec mon cousin. La branlette ne me suffisait plus, je devais accélérer les choses. À peine rentré dans la salle de français je couru m'asseoir aux côtés de Ben, lui lançant un regard charmeur. Le cours commença, un truc assez barbant, pour ma plus grande chance on était au fond. Je m'approcha et posa ma main sur sa cuisse, il se retourna d'un coup, puis sourit lorsqu'il vit que je remontais ma main au niveau de son paquet. Il continua à faire semblant de suivre le cours alors que je l'allumais clairement.
Je m'arrêta brut, le laissant seul avec son érection entre les jambes. Il me fixa, m'insultant probablement de tout les noms dans sa tête alors que j'esquissais un petit sourire. Il leva la main subitement et demanda au prof si il pouvait m'emmener à l'infirmerie car je me sentais mal.
À peine sortit de la salle de classe il me poussa dans les toilettes et ferma la porte. Il s'approcha et écrasa ses lèvres contre les miennes. Nos langues virevoltèrent, dansèrent et glissèrent l'une contre l'autre. Il m'embrassa ensuite dans le cou, me laissant un gros suçon avant de me déboutonner ma chemise, révelant mon torse et mes abdos. Sa langue se promena sur chaque parcelle de mon torse avant de venir glober mon téton, je ne pût m'empêcher de lâcher un râle de plaisir, c'était si bon. Je lui enleva son t-shirt, il était définitivement plus musclés, et avait des tatouages.
Je déboutonna son pantalon, son boxer laissait apparaitre son membre toujous aussi dur.
Je m'agenouilla et le lècha par dessus le tissus. Sa bite devait faire environ 24 cm par 7 cm facilement, elle était gigantesque. Je baissa son caleçon et me pris une grosse bifle, si je m'y attendais. Elle était encore plus belle en réelle, une belle queue circoncise à laquelle sont suspendus deux bonnes grosses couilles remplit. Je le prit en bouche, il fut difficile de prendre tout le morceau, je n'étais pas habitués. Contre tout attente, il me prit la tête entre ses deux grandes mains et me lima lui même la bouche donnant des mouvements de bassins brusque. Je peux vous dire que j'en est bavé dans tout les sens.
À peine je fût libéré de sa queue qu'il me releva et me plaqua contre la porte, un bruit de douleur m'échappa.
-Celle-là, c'est pour m'avoir allumer comme une grosse pute fit-il.
Il s'agenouilla et introduit sa langue à mon entrée, je ne pourrais vous décrire ce que j'ai ressentit, il était un professionnel dans le domaine clairement, sa langue m'excitait de plus en plus. Il inserra un premier doigt mais vit que je ne réagissait que très peu, il en mit trois d'un coup.il fit des va et viens alors que des dris d'excitation m'échappais, me fessant oublier que l'on était à l'école. Il se releva et me planqua son t-shirt dans la bouche pour que je ne gueule pas comme une saloppe. Il approcha sa bite de mon entrée et força un tout petit peu avant de rentrer. Une douleur atroce me parvenait de mon cul, mais il commença malgré tout à donner des coups de bassins. La douleur se transforma rapidement en plaisir, sa bite était un billet direct pour le paradis. Elle me fessait sentir bien, voir parfait, il continua ses va et viens alors que je criais, le haut toujours dans ma bouche. Il me claqua d'une main le boule avant de venir me branler tout en continuant à me défoncer la chatte.
Au bout de cinq minutes il ne put s'empêcher et me donna un dernier coup de bassin beaucoup plus puissant, il lâcha un râle assez viril et me juta à l'intérieur en même temps. Il se releva, il était en sueur et sortit un t-shirt propre de son sac.
-Salop lâchais-je comprennant qu'il avait tout planifier et avait l'intention de me sauter aujourd'hui. Je me sentis soudainement sale et humilié.
Il me regarda une dernière fois avec son sourire d'ange fixé sur sa gueule avant de sortir de la cabine, me laissant seul, le cul en l'air et du foutre coulant le long de ma jambe.
J'allais avoir ma revanche.
À suivre !
Alex
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