Je sais dorénavant que mes parents avaient des doutes depuis mon entrée dans l'adolescence, néanmoins j'avais de mon côté toujours entretenu ce doute en ayant régulièrement de ci de là des petites copines. Bon, ma mère me suspectait déjà largement quand j'avais 18 ans, pour plusieurs raisons. J'habitais à l'époque dans un studio, à une soixantaine de kilomètres de chez mes parents, pour suivre des études en STAPS. Look viril et sportif, pas forcément bolosse mais bien foutu et pourvu d'un bon cul bombé, j'avais mon petit succès, auprès des mecs comme des filles. Mon niveau de couverture, tel un agent double, était donc fort efficace.
Comme je le disais, ma mère me suspectait tout de même largement. Elle s'en était épanchée auprès de ma soeur, qui m'en avait parlé à son tour. J'avais donc assuré ma soeur que non, je n'étais pas gay. La semaine d'après, j'avais une nouvelle copine. Mais pour ma mère, le doute restait entier : elle avait trouvé dans mon linge un string (pas à la taille de ma copine), avait vu "par mégarde" dans mon placard une paire de talons pointure 44...et surtout elle s'étonnait toujours du grand nombre de mes "amis" qui restaient dormir dans mon studio.
Les doutes furent levés quelques semaines plus tard. J'étais chez moi, accompagné de mon plan du jour, à savoir deux gars, lorsque ma mère m'appela pour savoir ce que je faisais. Je lui répondis que je passais l'après midi chez moi avec ma copine. Tranquilles, nous entamâmes les hostilités. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque ma mère, pour en avoir le coeur net, était venue jusqu'à chez moi, ouvrit la porte avec son double ! Mais la surprise fut plus grande encore pour elle : la vision qu'elle eut en entrant fut celle d'un grand black de 35 ans et d'1m95, assis sur une chaise, la queue profondément enfoncée dans une bouche salivante, celle de son fils de 18 ans à quatre pattes en string, et dont le string justement n'était maintenu sur le côté de sa fesse que par les doigts d'un rebeu d'une quarantaine d'années qui s'employait à sodomiser avec ferveur les entrailles de son fils aîné. Ce dernier, déchaîné, mis un certain temps avant de se stopper, n'ayant rien entendu, ce qui laissa à ma mère le temps non d'imprimer sur sa rétine la photographie de ce moment, mais bien d'en retenir toute une séquence en mouvement, à base de va et vient intenses.
Elle ressortit sans dire un mot, et moi, humilié d'être si peu intelligemment découvert, je me contentai de subir négligemment les assauts sauvages du rebeu et du black jusqu'à leur soulagement final. Le lendemain, discussion fut nécessaire avec ma mère, les choses furent mises au clair et nous convenions de garder ça pour nous. Les années passant, le secret n'en fut plus un, les rumeurs et révélations diverses s'étant propagées. Mais sur l'année en cours, ma première année de fac, seule ma tante (la soeur de ma mère) fut au courant. Elle même ne tint pas sa langue et mes cousins le surent, dont un qui était dans ma fac. J'avais rompu avec ma copine, et tout en prétendant être hétéro, je me faisais régulièrement baiser dans mon studio, par différents types de mecs. Néanmoins, mon cousin eut du mal à tenir sa langue...
Aussi la rumeur comme quoi j'étais gay se propageait, si bien que des blagues plus ou moins drôles fleurirent sur mon compte. Le principal pourvoyeur était JP, un rugbyman de ma classe, déjà 21 ans donc en retard. Un beau gabarit, au ciboulot peu rempli. Après un cours d'athlétisme, nous nous retrouvâmes les deux seuls à prendre une douche, probablement pas pour les mêmes raisons puisque je devais aller à un rencard pour me faire enculer, ce qui n'était, à coup sûr, pas son cas. Sous la douche, j'eus l'occasion d'observer son membre, et pas de doute, il était bien doté. Étonnamment il me posât quelques questions sur le sujet : est ce que les rumeurs disaient vraies, je répondis par l'afffirmative, il me demanda des choses sur ce que je faisais, comment c'était arrivé etc. Je racontai alors la séquence avec ma mère qui me découvrait en pleine actions avec deux mecs. "Deux mecs ?! Wow mais t'es plus salope que les meufs de la promo !". Nous avons bien rigolé ensemble pendant cette douche, j'appréciais le fait qu'il ne me juge pas. En sortant de la douche, je remarquai que ses yeux restaient fixés sur mon cul alors que j'enfilais mon string. Souriant discrètement, j'en profitai pour jouer du fessier lorsque soudain, il était derrière moi, collé.
"Tu sais, ma meuf n'aime pas la sodo...et elle suce mal..." je répondis sans grande assurance que ça irait mieux avec le temps. "Oui, mais toi, tu aimes ça te faire enculer non ? Et j'imagine que sucer aussi vu ce que tu m'as raconté". Je confirmais ses propos et avant que j'ai eu le temps d'en dire plus, ses grosses mains malaxaient mes fesses fermement ! Je me sentis partir aussitôt, et lui perdait ses moyens également à grande vitesse : encore nu, il bandait déjà comme un taureau, s'excitait fort derrière moi, me pétrissant littéralement les fesses. Je le tempérai alors en lui disant qu'il fallait y aller progressivement : je l'assis alors sur un banc du vestiaire, me mis à genoux devant lui et commençai à lui lécher le gland, puis lui pomper. Rapidement, il bascula dans une autre dimension, il était en pleine extase, m'appuyant sur la tête pour que je gobe sa grosse bite veineuse. J'eus peur l'espace d'un instant qu'il arrive tellement il était au bord de l'orgasme, mais il se retint. Me tirant les chevaux en arrière pour me faire reculer la bouche, il entreprit de me bifler : "t'aime ça ?" Je ne pouvais cacher mon excitation : malgré mon jeune âge et mon côté viril, j'adorais être dominé par des mâles ! Hyper excité, je lui dis de me faire confiance et me glissai sous sa queue pour gober ses couilles, puis laissai courir ma langue plus bas, jusqu'à son trou. Malgré un mouvement de recul au départ, il se laissa aller, sentant l'emprise que ça lui faisait ressentir sur moi de m'avoir à genoux devant lui, m'abaissant au point de lui lécher le cul. Après quelques minutes de ce traitement, il n'en pouvait plus et me tira dans la douche.
Après avoir rallumé l'eau chaude, il m'installa face au mur et commença à me doigter sans ménagement. Heureusement, j'avais prévu le coup et m'étais mis des doigts pendant que je le suçais. Il se pressa contre mon trou avec son gland impatient, et en quelques secondes, il était entièrement en moi. Je ne pu réprimer un cri, de douleur et de surprise, mais il enchaîna rapidement. Les allers retours étaient puissants et virils, j'étais littéralement plaqué au mur. Il appuyait avec sa main sur ma tête pour qu'elle ne quitte pas le carrelage mural, pendant ce temps sa queue elle ne quittait pas mon trou, le ramonant sans ménagement. Rapidement, il me fis aller au sol, à 4 pattes, et je sentis instantanément que c'est dans cette position que j'allais devenir sa chienne. Je lui offris mes fesses, bien tendues et remontées vers le haut, la gueule au sol, suppliant presque qu'il s'enfonce à nouveau en moi. Il ne tarda pas à revenir à la charge, ses coups de boutoirs étaient incroyablement plaisants. Je le sentis se raidir, sa queue se gonfler au maximum, et dans un grand râle, je sentis son sperme chaud se répandre en moi. Alors que nous restâmes quelques instants sous la douche pour récupèrer, je lui glissai avec un clin d'oeil : "Ta meuf ne fait pas tout ça hein ?". Souriant, il me repondit qu'il n'avait pas de meuf, qu'il se sentait attiré par les mecs depuis longtemps mais n'avait pas osé passer à l'action. Mi figue mi raisin car j'avais un peu l'impression de m'être fait avoir, je lui demandai néanmoins ce qu'il en avait pensé : "J'ai adoré ! J'ai bien aimé te baiser comme une salope, j'ai trouvé ça super excitant ! Et t'as un super cul !"
Nous continuâmes à discuter ainsi, il m'avoua sur le moment que se faire lécher les pieds par un mec faisait partie de ses fantasmes et cela devint une de nos pratiques récurrentes dans nos parties de baise. Aussi, je suppose que ma mère ne fut pas surprise de me trouver, en entrant dans mon studio quelques mois plus tard, en string à quatre pattes en train de me faire défoncer par un mec pendant que je léchais les pieds de JP, dont elle savait que c'était mon mec ! Et oui maman, je suis gay et ma sexualité est débridée !
Max
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