Il va sans dire que l'anniversaire de mes vingt ans fut de loin le plus mouvementé de ma jeune vie (et avec 10 ans de recul - puisque j'en ai trente actuellement - de mes trente premières années. Pris en main et éduqué par un master depuis mon jeune âge, j'avais vu croître en moi la reconnaissance de mon statut de salope, que j'assumai de mieux en mieux chaque jour. Après avoir longtemps été effrayé à l'idée que les gens sachent mon orientation sexuelle et mes désirs inavouables, je commençais à cette période à mieux admettre qui j'étais au fond de moi.
Pas évident ceci dit, lorsqu'on a un look comme le mien : 174 78, viril, musclé et doté d'un bon fessier bombé qui faisait baver plus d'un actif, barbu, poilu, bref un Sébastien Chabal en mode miniature tout de même (pas la même taille ni le même gabarit). Cependant, je me faisais régulièrement draguer par des passifs alors que j'étais moi-même depuis ma première expérience (et déjà avant d'ailleurs) totalement convaincu de ma passivité totale avec les hommes. J'avais beaucoup exploré les affres tortueuses et vicieuses du sexe entre hommes via les goûts dérangés et la mentalité dominatrice d'un master rencontré deux ans plus tôt sur un site spécialisé. Celui m'avait rapidement convaincu de ma place et à travers les plans toujours plus improbables, variés, extrêmes qu'il m'imposait m'avait grandement aidé à assumer mes envies disons...particulières.
En effet, depuis tout jeune, je rêvais d'être "possédé" physiquement par un homme, de lui abandonner me suis orifices et ma dignité - sexuellement parant. Il m'avait ainsi très rapidement après mon depucelage (ou lors de celui-ci) initié à de nombreuses pratiques : uro, baise avec deux actifs, double anale, fist, entraves, sm, gang-bang, partouzes...à mes 20 ans, j'avais donc déjà connu bien des queues, bien des hommes, bien des pratiques et au travers de tout ça, je m'étais surtout découvert et connu de mieux en mieux.
Cependant, il restait difficile pour moi de me lâcher, en public dans des espaces spécialisés par exemple. J'avais déjà été en club avec mon master pour y découvrir un monde déluré, totalement tourné vers le sexe. J'y avais notamment vécu mon premier gang-bang à mes 19 ans, avec pas moins de cinq mecs, tous aussi chauds et heureux de defoncer une jeune lope de cet âge, offerte à leurs sévices plus ou moins dégradants. Mais ce n'était rien comparé à cet anniversaire, préparé avec soin par mon master.
En ce samedi de début Octobre, mon master m'avait intimé l'ordre de me préparer parfaitement pour une longue soirée. Donc j'ai profité de l'après midi pour me faire un lavement, me raser de près le trou et les fesses, avant d'y glisser un plug de taille moyenne. J'enfilai un jock sous mon jean, un tee shirt et me voici dans le métro, en route pour le domicile de mon master, où nous avions rendez-vous, profitant pleinement des secousses du métro pour apprécier les effets du plug.
Une fois sur place et apres un rapide examen de ma préparation, mon master, satisfait, me fait enfiler un débardeur en résille puis m'annonce que nous sortons. Mais avant cela, il s'applique à m'enfiler un collier et une laisse, sur laquelle il tire fermemement pour me forcer à me mettre à 4 pattes. Inquiet mais neanmoins silencieux, je ne résiste pas à la pression de la laisse et me retrouve donc dans cette position caractéristique de n'importe quel soumis, la chienne.
Par bonheur pour moi, nous n'avons que 100m à faire jusqu'au club où il m'emmène. Une distance courte mais suffisamment longue néanmoins pour que je ressentent fortement l'humiliation des regards des passants. Heureusement, un samedi soir à 23h, la plupart des gens croisés sont des gays qui se rendent en club ou autre. À l'entrée, le videur ne moufte pas devant le spectacle et nous entrons sans encombres. Une fois les vestiaires passés, délesté de mes vêtements - seul mon jock a survécu à l'étape du déshabillage - et de mon plug qui laisse mon trou orphelin et partiellement ouvert (donc prêt à être enfoncé), je pénètre dans l'espace club, toujours à quatre pattes, tiré par la laisse de mon maître.
Les regards n'y ont pas résisté longtemps, je suis rapidement le centre de l'attention générale. Nous allons prêt d'une banquette, mon master s'assoit et moi à ses pieds, en laisse, sagement à attendre la suite des événements. Tout en dégustant un whisky, mon maître m'explique l'anniversaire et le déroulement : pour mes 20 ans, je vais devoir sucer et/ou me faire enculer par pas moins de vingt mecs différents ! Nul besoin de détailler plus spécifiquement mon état, mélange d'inquiétude et d'excitation. Jamais encore je n'ai à ce point été offert sans limite. J'ai déjà connu des mises à dispo, le temps d'une nuit ou d'une soirée dans des appartements parisiens, ou encore sur une aire d'autoroute près de Reims, mais jamais je n'ai été obligé d'assouvir les besoins sexuels de vingt mecs !
23h10 : Rapidement, les choses s'enclenchent : un gars d'une quarantaine d'année vient prendre des renseignements auprès de mon master, puis, assuré de la situation, il sort sa queue de son short en jean et me l'agite devant la bouche. L'ordre m'est donné de le sucer et je m'y applique instantanément ! Ravi de son visage détendu et de ses yeux cachés de plaisir derrière leurs paupières, je m'efforce d'engloutir son membre au maximum. J'adore l'odeur de sa queue, sa manière de bouger du bassin. Je tortille les fesses d'excitation, j'apprécierai qu'un gars qui mate vienne me remplir le trou. Alors que je fais de l'oeil a des chauds lapins qui bandent dans leurs futs, j'entends les râles du sucé et sens venir les contractions qui annoncent la jouissance. L'instant d'après, il me repeint le visage de sperme en criant, ce qui m'excite encore plus.
23h35 : Excités par la situation, un couple cuir-moustache s'approche alors que le sperme me dégouline encore de la barbe. Comprenant rapidement la situation, ils se mettent à l'oeuvre, un devant, un derrière. Quelques coups de langues et de doigts bien assurés suffisent à convaincre celui qui est derrière de passer à l'action. En quelques secondes, je me retourne pris en tenaille par les deux gus qui me ramonent sans ménagement. Malgré la capote, je ressens très bien les détails de la queue qui me ramone l'anus, sa vite est grosse et veineuse et les frottements provoqués sont très agréables. L'oeil lubrique de mon master confirme qu'il s'amuse bien, surtout quand je commence à bouffer le cul de celui que je pompais. Il en profite pour se branler et apres quelques instants de va-et-vient dans sa paume, son gland explose de foutre sur mon visage, deuxième ! Son compère ne perd pas de temps, excité par la situation et il se cambre en donnant trois grands coups de reins pour accompagner son arrivée dans la capote. Une part de moi est un peu triste de ne pas pouvoir jouir de la sensation du sperme chaud s'écoulant dans mon trou, mais ce privilège est réservé à mon master.
00h10 : direction les toilettes pour me nettoyer le visage et la barbe. En arrivant, un mec est à genoux en train de s'étouffer sur la queue d'un vieux black. L'oeil vif, il pige vite la situation. Me voyant penché sur le lavabo et encouragé par mon master, il se glisse derrière moi et insére deux doigts dans mon trou, pour s'assurer qu'il est prêt. C'est le cas et il n'hésite pas, à peine encapoté et déjà entré. Pendant ce temps, son suceur s'applique à lui bouffer le cul. Sa queue est grosse mais un peu molle tout de même. Ceci étant, j'apprécie la situation, les regards curieux et vicieux des mecs venant vider leur vessie ou autre. Je ferme les yeux, je n'aime pas voir mon visage dans le miroir et les grimaces qui naissent dessus à mesure que la queue du black se durcir...il me tire la tête en arrière en me tenant par les cheveux, accélère ses aller-retours, c'est puissant ! Apres plusieurs minutes de ce traitement, il me retourne rapidement, m'agenouille et dans un même geste enlevé la capote et m'envoie une ration de foutre dans la bouche.
À suivre...
Max
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