Tout juste 18 ans, mais toujours lycéen, je profitais de mes dernières vacances de printemps. Les épreuves de bac blanc arrivaient, mais je n'avais plus vraiment la tête à ça depuis quelques mois. Mes hormones prenaient le dessus sur moi. J'avais une telle libido que mon emploi du temps se ponctuait près de 6 fois par jour de séances de plaisir solitaire. Comme tout jeune mal dans sa peau, il était bien plus aisé d'évacuer ce trop plein à travers le fantasme et les images que de passer soi même à l'acte.
Je n'étais pas le seul homme à la maison. Mon père, jeune cinquantenaire, y passait lui aussi la plupart de son temps. Ayant son entreprise à domicile dans une ancienne ferme bien retapée du Beaujolais, ce dernier me laissait en paix. J'avais tout de même remarqué qu'il traversait une période particulière de son côté. La crise de la cinquantaine ? Surement. En tout cas, ma mère et lui étaient distant comme jamais. Il dormait pour l'essentiel de ses nuits sur le canapé du salon.
J'avais également remarqué quelque chose de plus singulier et de plus intriguant. Il passait lui aussi de longues minutes par jour à se masturber. Comment le savais-je ? Son historique de navigation parlait lui-même. L'ordinateur familial situé dans le bureau de mon père étaient rempli de lien de "granny porn" et autres types de porno dont mon père raffolait. D'ailleurs j'ai aperçu quelques liens vers des vidéos bi, mais trop rares pour y prêter un réel intérêt selon moi. J'observais également une étrange manie de sa part. Il avait pour habitude de jouir dans la poubelle à papier de son bureau. Le jeune gay refoulé que j'étais ne savais se retenir d'y tremper les lèvres, car je dois avouer que tout ceci provoquait en moi une excitation extrême. L'idée d'imaginer mon père, bite en main, devant un porno, se masturbant férocement derrière son écran et jutant dans la poubelle pendant un orgasme endiablé me donnait une érection des plus intense, que je devais rapidement soulager tout en m'abreuvant du foutre paternel.
Cette situation devenait de plus en plus obsédante pour moi, l'objet de mes désir vivant sous le même toit et passant l'essentiel de ses journées dans son bureau. C'est alors que je décidai de passer à l'action. Il fallait que je le vois faire de mes propres yeux. Mais je devais m'assurer que s'il me voit l'observer, j'ai une bonne excuse pour ne pas ruiner le cercle familial. J'ai bien tenté d'entrer cash dans son bureau, mais il sursautait juste, cachait son paquet et ses fenêtres d'ordinateur et faisait comme si de rien n'était. Je voulais l'observer, voir une séance de branlette en solitaire qu'il affectionnait tant. J'ai donc décidé de mettre en place un petit stratagème.
Ce matin là, je m'habillai, chaussai mes chaussures de sport, pris ma raquette de tennis, quelques balles et alla à l'extérieur de la ferme. Celle-ci disposait d'un grand mûr sans fenêtre contre lequel je pouvais m'exercer en frappant quelques balles. Je fis en sorte de sortir à une heure où mon père rentrait de la poste et a donc pu voir ma séance de sport matinal. J'étais plutôt pas mal d'ailleurs, le tennis m'a donné un bon fessier, ma gueule étant quant à elle due à ma famille et notamment à mon père. Ce grand gaillard bien costaud, type "bear", plaisait beaucoup, je le savais que trop bien. Bref, lorsqu'il me vit à l'extérieur, il me fit signe et rentra à la maison. Je savais très bien ce qu'il allait faire à présent. Dès lors, je cessai ma séance, partis de l'autre côté de la ferme où une échelle pour accéder au toi est posée en permanence. Je la gravis, j'en avais l'habitude pour aller régler l'antenne hertzienne peu performante, et me dirigeai vers la fenêtre de toit du bureau de mon père. Très doucement, je m'en approche, en faisant attention à ne pas faire trop bruit sur les tuiles, mais aussi pour éviter un accident.
C'est alors que je découvris, à travers la fenêtre, mon père entrain de se masturber avec fougue. Je me moquais éperdument du porno qu'il regardait car c'était lui l'objet de mon désir. Sa bite était belle et grande, comme la mienne, autour de 19 cm, ses gestes étaient sensuels, il se caressait les pecs, se touchait les couilles. J'étais en trans sur le toit. L'isolement de la ferme me permettait de me caresser à travers mon survet'. Je le regardais avec tellement de désir que j'oubliai que ma silhouette sur le toit créait une ombre à l'intérieur. Il le remarqua leva la tête et me vit là. Ma première réaction était de faire coucou avec un sourire, comme si je n'avais rien vu et que j'avais du mal à voir à travers. Je tenais deux balles de tennis dans la main, comme alibi pour être monter sur ce toit...
Je redescendis du toit, le rythme cardiaque plus fort que jamais. Je repris mon exercice, pour faire comme si de rien n'était, mais aussi pour dissiper mes tremblements incontrôlés dus à cette peur que je venais d'avoir sur le toit. Puis je suis rentré à la maison. Là je vis mon père dans le canapé, qui m'attendais. La voix serrée, je dis "hey", puis je tente de continuer en direction de la salle de bain. Mais c'est alors qu'il me demande :
" Pourquoi tu étais sur le toit ?
-Ah ouais, je cherchais les balles de tennis que j'avais envoyé dessus en jouant contre le mur.
Ma voix était tremblante, je sentais que je n'étais pas convainquant
-Tu es sûr de ça ? Parce que ton ombre est restée longtemps là-haut. J'avais pas remarqué que c'était toi. Tu as donc tout vu non ?
-...
- Non ?
- ... Oui ... mais je suis pas monté pour voir !
- Vraiment ?
- Je te jure !
- Comme pour toutes ces fois où tu es rentré dans le bureau ?
-...
-Dis moi ! Est ce que tu essayais de me voir entrain de me la secouer ?
-...
- Alors !?
- Oui papa...
Il était en rage. J'étais apeuré. Je ne savais pas quoi dire ou comment réagir. La situation m'échappait, je ne voulais pas qu'il en parle à ma mère, que tout le monde me prenne pour un fou, que mon quotidien s'écroule. Peut-être aurais-je dû y penser avant de faire une telle chose.
Toujours est il que mon père me dévisageait toujours.
" Et pourquoi tu voulais voir ça ? Me dit-il avec une voix plus apaisée.
- Je sais pas, je suis désolé papa, vraiment excuse moi, je le ferai plus. C'était totalement stupide, désolé !
-Tu me désires ? Tu es gay ?
- ...
- Tu es gay ?
- Oui papa
Pas de réponse. Mais son attitude avait considérablement changé. Il devait réaliser petit à petit.
C'est alors qu'il me dit "suis moi"
Nous montons à l'étage, il s'installa devant l'ordinateur, puis il afficha une photo de mec à poil. J'étais paniqué, je comprenais rien à rien. Il mit une chaise à côté de la sienne et m'indiqua de venir m'y assoir. Il me dit alors
"tu trouves ça attirant toi ? Tu trouves ça beau une bite et des poils ?"
Je ne répondis pas mais il insista. Alors je dis "oui papa".
Il avait le regard dans le vide. Mais au bout d'un petit moment, il repianota au clavier quelque chose. Puis me dit "Moi, c'est ça que j'aime". Et là je vis des vidéos pornos hétéros, avec quelques couples entrain de baiser dans une même pièce. Puis, j'ai eu l'impression qu'il agissait comme si je n'étais plus là. Il changeait de vidéo plusieurs fois. Il commençait à bander d'après la bosse de son jean. Puis il me regarda et me dit "Bon, tu vas la voir de près au final", puis il enlevât son bouton puis sa fermeture éclaire et sortit sa bite à moitié bandée. J'étais abasourdi. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder.
La situation dans laquelle j'étais était simplement irréelle.
Sa bite commençait à prendre vraiment du volume. Il se branlait avec passion. Puis me regarda et me dit "reste pas là à me regarder, participe". C'est alors que moi aussi je sorti ma queue et commença mes va-et-vient. J'étais encore une fois pas fixé sur l'écran mais sur le pénis paternel, à moins d'un mètre maintenant. Puis il cessa sa masturbation. Il enleva sa main. Changea de vidéo et en mit une avec une situation bisexuelle MMF (2 hommes, une femme). La vidéo commençait avec la femme taillant une pipe à un homme, celui-ci branlant son voisin. Mon père repris légèrement sa masturbation puis me regarda. Il enleva sa main et ma fit un signe de la tête. Bien que très excité, je n'osai pas et c'est lui qui me prit la main et la posa sur son membre dur comme du béton. Je commençai alors des mouvements mais j'avais pas l'air de le satisfaire. Puis la vidéo évolua où le mec qui jusqu'alors branlait l'autre se mit en position de lui tailler une pipe. Vous comprendrez que c'est devenu également l'intention de mon père. Il me dit "mets toi à genoux". Là, je ne fis pas prié. Je m'installai entre ses cuisse puis, pour la première fois, déposa mes lèvres sur son gland. C'était comme si des mois de fantasme se réalisaient enfin. Je bandais comme un chien bien que mon attitude était plus féminine entre ses jambes. Je couinai, j'encaissai ses coups de reins en fond de gorge, j'étais une vraie chienne.
C'est alors qu'il sorti sa queue de ma bouche, prit sa queue en main et la branla fortement en me tenant les cheveux d'une autre main, bouche ouverte, et il juta puissamment dans ma bouche, quelques gros jets dont je connaissais déjà la saveur, mais plus froide.
Là un malaise s'installa très vite. Pas un mot de son côté comme du mien.
Lors de quelques moments de fortes excitation, mon père s'est exhibé devant moi lorsque nous étions seuls à la maison. Nous avons reproduit des instants similaires sans aller plus loin. Mais aujourd'hui, cela fait 3 ans que rien ne s'est passé et rien ne se passera surement jamais. Je garde cette expérience comme une grande chance d'avoir pu connaître ça.
Si vous aussi avez eu ce genre d'expérience, ou que vous le souhaitez, n'hésitez pas à m'écrire à jeanjeanlyon@email.com
JeanJean
Autres histoires de l'auteur : Le bureau paternel