Il vient de rentrer, il se pose sur une chaise en face de moi, encore rouge de l'effort. Il reprend son souffle, son torse s'élève et s'abaisse au travers de son marcel au rythme de sa respiration haletante. Il ne porte que ça, sous une veste de jogging ouverte, un short arrivant à mi-cuisse, et ses chaussures de course.
Tout en reprenant son souffle il a les yeux plantés dans les miens. C'est toujours le même cinéma quand il rentrait de courir. Pas de surprise, je sais très bien ce qu'il veut. Je me lève et m'approche de lui, mes mains passent sous cette veste déjà de trop. Mes doigts suivent ses épaules larges, glissant sous son marcel je découvre ses pecs lourds, ses poils noirs abondants, je pars à la recherche de ses tétons qui n'attendent que ça. Sa peau moite et l'odeur virile qui s'en dégage laisser présager une bonne séance.
Une fois que j'ai finis d'explorer son torse je passe devant, à genoux, ma main se pose sur sa cuisse et remonte jusque sous son short, où son paquet déjà proéminent m'attire.
Je palpe cette bosse lourde, ce boxer bientôt déformé par la gaule magistrale de mon mec.
Il se lève, ma main toujours dans son short, il vire veste et marcel, découvrant ce torse large et puissant, que je connais si bien, cette toison sombre qui me rends ouf.
Le short lui aussi disparaît, il est là devant moi, dans ce boxer qui a bien du mal à contenir sa gaule et qui se retrouve vite taché par sa mouille et ma salive.
Il baisse son boxer, son chibre jailli comme un diable hors de sa boîte, je m'empresse de prendre cette queue lourde en bouche, son gland, découvert, luisant d'excitation laissant dans ma bouche le gout de sa mouille, affolant mes sens et la trique tendant mon fut.
Je pompais la queue de mon mec comme un affamé, son gland planté en fond de ma bouche, ma main branlant sa hampe large alors que je fais rouler ses couilles bien lourdes dans mon autre main.
Il me relève et m'emmène vers le canap', il me dessape, commence à passer ses mains sur mon torse avant d'y mettre sa langue, ses doigts dans les poils de mon torse, sa langue agaçant mes tétons durcis
Il se met à genoux, attrape mes couilles dans sa main, passe le bout de langue le long de mon frein en plantant ses yeux dans les miens. Si mon mec est bien pourvu il fait pâle figure à côté du braquemart entre mes jambes et autant le dire, mon mec est une chienne.
Il commence sa pipe, serrant toujours mes burnes, insistant sur mon gland qui vient buter dans sa gorge au rythme de sa tête. Rapidement je mets mes mains sur son crâne imprimant un rythme plus rapide et sortant le poussant bien à prendre ma queue jusqu'au bout.
Le nez dans les poils, mes couilles sur son menton je le sens s'étouffer, il bave et se dégage les yeux rouges.
Je le fais mettre en position sur le canapé et viens planter ma langue sur sa rondelle. Son cul blanc, rond, poilu, cette odeur de sueur, cet oeillet prêt à céder, ma gaule ne faiblit pas et me vois déjà en lui.
J'alterne entre lèche et contact plus intense, il se détend sans résistance, question d'habitude je suppose, je pose mon gland humide et pousse doucement contre son cul.
Lentement ma queue rentre entièrement dans le cul de mon mec, sans résistance son cul avale cette grosse pine, quand mes couilles touchent ses fesses que sens mon mec se détendre
Après quelques seconde pour le laisser s'habituer j'attrape ses hanches et commence mon va et vient, lent mais profond pour devenir plus rapide et saccadé, ses râles commence à se faire entendre comme le bruit des mes couilles claquant contre son cul. Mes prôpres rales aussi. Le rythme est rapide, son cul maintenant bien ouvert me laisse aller et venir à ma guise. La sueur commence à perler son mon front mais aussi à imprégner mon torse.
Je le retourne, son regard dans le mien, ses mains sur mes pecs, les miennes de part et d'autre de son corps et reprend mon mouvement, je vois mon copain grimacer de plaisir, je vois l'effet de chacun de mes coups de butoir, ses gémissements, ses muscles qui tressautent chaque fois que je plante ma queue en lui. Je plaque mon corps aux sien, nos barbes se frottent l'une à l'autre, de même que nos torse fournis et humides de sueur
Je me redresse, saisi sa queue sans ralentir le mouvement de mes reins et commence à branler cette grosse queue à moitié endormie. Elle ne met d'ailleurs pas longtemps à reprendre de la vigueur et ses sphincters à se resserrer autour de mon pieu, soudain il se contracte je le vois balancer plusieurs jets de son jus épais sur son torse alors que toujours planté au fond ses entrailles je sens mes couilles se contracter, ma queue tressaillir et exploser en lui
Je m'effondre sur lui, étalant son sperme entre nos deux torses, je cherche ses lèvres et nous échangeons un baiser profond, assez fougueux, heureux et repus tous les deux.
LeFornicateur
