Premier épisode | Épisode précédent
Il commence à prendre la parole.
P : Tom, je peux te....
M : Je n'ai pas envie de t'écouter je sais ce que tu penses de moi merci.
Et je le plante sur place en tentant de me diriger vers la, sortie, mais ça c'est sans compter sur mon chéri qui me coince contre lui et me chuchote à l'oreille
E : Je te connais bien, t'es pas méchant et il le sait aussi, écoute-le ça te coûte rien puis je me cale derrière toi comme ça je te sers de coussin.
Je ne peux résister à cette avance et me caler de dos contre son torse,
M : après tout vas-y, je suis plus à ça près, tu aimes me taille fais toi plaisir.
P : Vous pouvez nous laisser seuls s'il vous plaît ?
Cette phrase sonnait comme une supplication, Julie se leva sans demander son reste et mon Édouard allait bouger quand j'ai pris sa main dans la mienne il comprit que ça voulait dire "reste".
P : Excusez-moi je n'aurais pas du te parler comme ça, tu es mon meilleur ami et j'ai besoin de toi, t'avoir dans ma vie. Je sais que je t'ai sûrement froissé pire blessé même, mais je ne savais pas et je n'aime, pas qu'on fasse du mal à mon petit frère.
M : Je comprends, mais bon je te dégoûte alors laisse-moi du temps pour voir ce que je fais de tes excuses.
P : Je comprends, puis il sort.
E : T'abuses quand même de le faire mariner comme ça.
M : Moi j'abuse ? S'il t'avait dit ça quand tu lui as dit que tu étais gay tu aurais réagi comment peut-être ?
E : d'accord je vois ta position après m'agresse pas stp j'essaie juste de vous rabibocher, car vous former une belle paire d'amis et je ne veux pas choisir entre vous.
Et là il me serre contre lui et m'embrasse dans le cou, je sens qu'il a besoin d'être rassuré que ça ira mieux avec son frère.
M : pour être honnête, je lui ai déjà pardonné, mais j'ai envie de le laisser croire le contraire quelque temps juste pour qu'il se rende compte du mal que j'ai pu ressentir à ce moment-là.
E : Alors toi, vous êtes pareil lol.
M : On ne t'a jamais dit que c'est has been de le dire encore ?
E : Mais euh ça suffit de vous moquer de moi, d'abord mon frère, maintenant toi.
M : Viens là mon loup que j'aime taquiner.
Et là on s'embrasse, on s'enlace, je glisse ma main sous son t-shirt, je lui caresse le dos,
Je lui retire son t-shirt, l allongé sur le dos et commence à jouer avec ses te tons, les titiller, les lécher, puis je descends en lui léchant le torse, j'arrive devant la belle bosse formée sous son jean et ouvre la, pression qui libère cette tension, je baisse ce tissu, fais de même avec le dernier obstacle jusqu'à cet e pieu de chair que j'aime et j'entame une des meilleures fellations de ma vie pour ne pas dire la meilleure. Je tourne ma langue autour du gland, il en redemande, il pose ses mains sur ma tête, je le suce avec envie et désir,
Il me prévient que si je continue il va finir par jouir, je continue donc mon oeuvre alors avec encore plus d'entrain. Je le sens se contracter et là, la délivrance pour lui, je reçois 5 à 6 jets de son délicieux nectar en bouche que je partage avec lui dans une pelle effrénée qu'on se roule ensemble. On se fait un câlin, puis se rhabille.
E : faudrait peut-être rejoindre les deux autres non ?
M : Je te suis comme ça je profite de la vue sur ton joli petit fessier musclé,
On se dirige au salon et il reste deux places côté à côte où on se met et il calé son bras derrière ma tête.
P : ça vous dit pizza coca ce soir avec un bon film comme on fait les soirées d hiver ?
M : Oki pour moi, mais tu ne me prends pas la même pizza que d'habitude, je vais goûter la même que ton frère pour changer, lui dis je avec un grand sourire,
E : Oki pour moi avec ma, pizza habituelle,
J : Bon ben pas le choix hein^^
Pierre appelle et commande. Au moment de la livraison je descends avec lui et entame la discussion,
M : Je t'ai pardonné petit c**, mais me refais jamais ça, tu sais que je suis un homme de parole, je ne pouvais pas trahir ton frère, tu le connais et comme toi je veux son bonheur et le, protéger, j'en suis dingue et je t'avoue ça me fait, peur.
P : MERCI mon pote, et vraiment désolé c'est vrai que tu es quelqu'un d'entier, j'aurais du réfléchir. Et reste zen pour ça et si besoin je suis la.
M : Merci.
On arrive à l'appartement plié de rire avec nos conneries habituelles qu'on s'est racontées, ce qui rassure les autres qui nous attendaient. Et là on prend nos pizzas et la soirée commence.
Emerick
gaygay434244@yahoo.com
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