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Chapitre -06 : Le déménagement
15 jours après cette partie de baise mémorable, Bruno me rappelle et me demande si nous sommes disponibles pour prendre un verre dans le bar de notre rencontre et si nous serions d'accord pour aller ensuite diner au restaurant.
Bruno intervient dès le début du repas et il nous dit tout le plaisir qu'il a pris lors de notre partie de baise, mais il exprime aussi la crainte qu'il éprouve sur sa relation avec Pierre si nous remettons le couvert régulièrement. Il souhaite que nous restions amis car il nous apprécie tous les deux mais préfère garder une certaine retenue côté sexe. C'est vrai que les parties à 3 ou 4 ne sont pas toujours évidentes à gérer ni la première fois ni dans le temps.
Je vois dans yeux de Jacques des sentiments contradictoires s'exprimer. Une déception : il m'avait dit avoir beaucoup joui avec Bruno et une approbation de ce qu'il venait de dire sur le fond. Pierre semble déçu mais ne s'exprime pas. Je réponds à Bruno :
" Ta position et tes craintes, fondées ou pas, sont respectables. Je suis d'accord pour conserver une relation d'amitié avec vous et faire attention à ce que nos échanges ne mettent pas en péril l'équilibre de nos couples. "
Nous rencontrons régulièrement Bruno et Pierre pour prendre un verre, nous balader ou dîner.
Trois mois après notre première rencontre nous sommes au mois d'octobre. Bruno et Pierre décident de déménager, de quitter la Seine et Marne pour rejoindre Paris dans le 13ème arrondissement. Ils trouvent que la circulation sur l'autoroute A4 entre Paris et la Seine et Marne est trop compliquée. Ils ont donc choisi de résider plus près de la capitale. Je leur propose notre aide pour le déménagement s'ils le souhaitent car nous sommes libres le samedi suivant. Ils acceptent et nous remercient.
Dans la semaine qui précède le samedi en question, Jacques est victime d'un tour de reins suite à un faux mouvement à son travail. Et bien non, le dos démis n'est pas le résultat d'une partie de jambe en l'air. Il peut difficilement se courber et souffre à un point tel qu'il doit voir un ostéopathe très rapidement. Dans ces conditions il serait déraisonnable qu'il participe au déménagement. Il me dit d'y aller seul pour les aider. Je préviens Bruno et Pierre.
Ils habitent dans une tour au 14ème étage et ils ont eu le génie d'acheter des meubles massifs qui ne rentrent pas dans l'ascenseur. Quelle galère. Il nous faut un temps infini et des efforts surhumains pour descendre les meubles. J'étais sur le point de regretter IKEA. Une fois les meubles les plus importants descendus, nous formons des binômes pour nous occuper des cartons. Pierre se propose immédiatement pour constituer un binôme avec moi.
Heureusement il fait beau, même chaud. Je suis habillé avec un teeshirt et un pantalon léger de jogging sans rien dessous. Dès le premier voyage dans la cabine de l'ascenseur Pierre me met la main au paquet et commence à me malaxer la queue. Sous cette caresse qui m'excite immédiatement, je commence à bander. N'ayant pas de sous-vêtement sous le pantalon cela commence à se voir sérieusement. Je l'arrête pour que ce ne soit pas trop visible par Bruno.
Le déplacement sur 14 étages, avec un ascenseur peu rapide, prend un certain temps. Au deuxième voyage, Pierre baisse d'un coup mon pantalon de jogging. Il est déchaîné. Il s'accroupit et me prend en bouche, avalant ma queue jusqu'au fond d'un seul coup. C'est délicieux. Sa bouche est aussi bonne que son cul. Je l'arrête une fois de plus avant que mon érection ne soit trop visible.
A chaque voyage, il me tire une pipe et mon excitation ne cesse de monter. Je bande complètement et pour que cela reste discret à chaque fois je mets ma queue bien droite et je coince le gland dans la ceinture du jogging que serre et je laisse recouvrir le tout par mon teeshirt. C'est limite. Je suis partagé entre mes propos qui demandent à Pierre d'être sage et mon envie de sentir sa bouche exciter mon manche bien dur.
Nous prenons l'ascenseur pour monter vers l'appartement pour le dernier voyage. Dès que la porte se ferme Pierre me roule une pelle magistrale en me mettant la main sur ma queue tendue. Il m'excite tout le long du trajet. Nous arrivons au 14éme étage et comme ce sont les derniers cartons nous sommes seuls dans l'appartement quasiment vide. Il me dit :
" Je veux te boire. J'ai soif de ton sperme "
Il me prend en bouche et me pompe la queue comme un véritable professionnel. Il enfonce ma queue dans sa gorge profonde et la garde un moment jusqu'à ce qu'il soit obligé de reprendre son souffle. Pendant 10 minutes il me donne du plaisir alternant les gorges profondes et le jeu de sa langue sur mon gland et mon frein. Il attrape rapidement mes boules pour les caresser. Je suis à la fois comblé de plaisir et tétanisé de peur qu'un autre déménageur arrive notamment Bruno. Cela augmente mon excitation.
Il sort ma queue de sa bouche pour humidifier son index et me reprend immédiatement. Il cherche sa rosette et enfonce son index dans son cul. Je sens une onde puissante parcourir mon corps et je me mets à jouir. Je balance 5 jets au fond de sa gorge. Il avale ma semence sans perdre une goutte. Il sort ma queue de sa bouche et me regarde en souriant tout en passant sa langue sur ses lèvres pour récupérer les quelques gouttes qui bavent. Puis il me nettoie la queue. Un vrai vorace.
Nous reprenons l'ascenseur avec les cartons. Il me roule de nouveau une pelle et je sens le goût de mon sperme dans sa bouche.
Dès notre arrivée Bruno inquiet nous demande si nous avons eu un problème car nous avons mis du temps. Pierre lui explique que nous avons fait un tour complet de l'appartement et vérifié les placards muraux pour voir si rien ne restait. Je confirme à Bruno que c'est le dernier voyage et que l'appartement est bien vide. Je pense en moi-même qu'il n'y a pas que l'appartement qui a été vidé.
Le déménagement se termine. Bruno me remercie chaleureusement en me roulant une pelle. Avant de repartir, Pierre en fait autant et il me dit discrètement qu'il souhaite me revoir seul. Il a trop aimé notre partie de baise et il souhaite recommencer. Je lui réponds que c'est délicat. Je vais réfléchir et il faut que nous en reparlions au téléphone. Je rentre le soir tout excité mais je suis dans l'expectative. Qu'est-ce que je vais faire ?
Mikel
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