Salut amis lecteurs, je me présente Nico 28 ans 185 78 kg, brun yeux marron, musclé sec, un fessier en acier (je fais du roller sur piste). Côté sexe, je suis gay, je suis teubé 17 /5 et je suis passif. J'habite la ville rose et en ce moment comme tout le monde j'ai hyper chaud...
Il est 23h00 et j'ai dans mon t2 30°, je décide donc d'aller faire un tour à pied dans le patté de maison afin de prendre un peu de frais (il y a du vent dehors), j'enfile mon jock rouge, un mini short en jeans, mes air max et un débardeur noir.
Je déambule dans la rue, pas une âme qui vive. Je passe devant un chantier en construction (deux villas sont en train d'être détruite). Devant l'entrée du chantier, une grille comme seule protection du chantier. Je pousse ladite grille et je rentre. Je fais le tour du propriétaire, j'adore l'ambiance chantier, ma queue est bien raide, à l'idée que peut être un autre mec aura eu l'idée de faire comme moi, c'est-à-dire venir explorer ce chantier.
Je me balade de pièce en pièce, pas une âme qui vive, je suis déçu. Je rentre dans l'ancien salon de la villa, il y a encore une imposante cheminée avec à coté un banc en pierre.
Et là sur le banc une capote.... Tiens, tiens me dis je, çà a baisé ici cool.... Mais toujours personne a l'horizon, ma tige est bien raide, je la sors et commence une branle m'imaginant me faire sucer par un inconnu ou encore mieux sucer et me faire sodo profondément par une belle teub bien raide (j'adore les grosses tiges). Je m'astique doucement, puis accélère le mouvement. Mon trou frétille, je me colle 2 doigts, ma queue lâche un paquet de mouille. Je suis super excité, tant par la chaleur, que par l'idée d'être mater...
Hélas y a personne, mais maintenant je suis excité. Je décide de retourner chez moi (je suis à 10 minutes de mon t2) afin d'aller chercher du matos. Je fais donc demi-tour et rentre dans mon appart. Je prends mon sac à dos, j'y mets une bouteille de poppers, du gel et des capotes, je prends mon gros gode (celui de 19/5) et je prends un plug. Au lieu de le mettre dans mon sac à dos je me dis que mon master (oui j'ai un master, mais il est en vacances donc pas disponible) m'aurais intimé l'ordre de me rendre sur le chantier le plug dans le trou. Ni une ni deux, j'attrape mon plug (le plus gros des 2) j'y mets du gel et je le colle dans mon cul, sans même prendre un sniff de poppers. Je lâche un cri de plaisir, ma tige est bien raide.
Je repars vers le chantier, mais moins vite, à chacun de mes pas je gémis car le plug fait son office dans mon cul. J'accélère la cadence, et mon cul profite pleinement du plug qui glisse profondément dans mes entrailles. Ma tige mouille, mes couilles grossissent dans le jock.
Je reviens dans le salon de la première villa, je vire mon short, installe le gode sur le banc, je lance sur mon téléphone une vidéo de poppers training. Je me fous à poil, je sors mon plug d'un coup et pose sur ma rondelle le gland de mon gros gode. Je prends comme indiqué par la vidéo 2 sniff de poppers dans mes marines, et commence à rentrer le gland de mon gode, je gémis, ma tige se tend, et je continue le visionnage de la vidéo, 2 minutes plus tard re sniff de poppers. Je suis bien perché, je commence des petits vas et viens sur mon gode, ma rondelle encaisse, elle se dilate, je gémis plus fort.
Je suis heureux quand tout à coup une voix me sort de mon état second
- " et bien mon salop, tu te fais plaisirs !!! "
Je sors de ma torpeur et regarde en direction de cette voix, un mec de 40 ans me matte, la bite dehors. Il fait 180 80 kg châtain clair, yeux clair. Musclé, un petit ventre, peu poilu.
Il s'approche de moi, et me dis :
- " tiens avale ma bite, salope, c'est mieux une vraie teub plutôt que ton machin en plastique. "
Il joint le geste à la parole, et m'administre une gorge profonde. Sa teub sent la pisse. Son gland épais fait des vas et viens. Je sens que je vais gerber. Il le voit et me dis.
" Prends du poppers, bâtard, vas y montre moi ce que tu sais faire. "
Je sniff, puis il me bloque la respiration en me serrant le nez. Il met sa grosse main sur ma tête et appuie de toutes ces forces. Je suis bloqué, je ne peux plus bouger. Sa bite remplit ma cavité buccale, j'ai le nez bouché, je ne peux plus respirer, je suis prisonnier de mon bel inconnu.
-" mieux que çà bâtard !, c'est bien, tu vois quand tu veux "
Il me fixe de son regard azur, il sourit, fier de dominer le bâtard que je suis. Il retire sa teub de ma bouche, puis glisse deux doigts dans mon trou humide.
" Hmmmmmmm, bon trou de salope çà, tu vas prendre cher mec ! "
Ni une, ni deux, il enfonce son engin au plus profond de mes entrailles. Il avait pris le soin, avant de me pénétrer, d'enfiler une capote et de cracher sur mon trou.
- " vas-y encaisse bâtard, tu es là pour mon plaisir, et pour te faire démonter le trou "
Tout en m'insultant il accélère le rythme, je suis à 4 pattes sur le sol crade, il bourrine bien mon trou. Il me dit de prendre du pops (2 snif longue) puis il grimpa sur mon cul, ses boules tapaient à vive allure, et mes cris devenaient de plus en plus fort. Je sentais mon plaisir envahir mes couilles, je lui dis que j'allais juter, alors il calma le jeu, tout en restant dans mon trou, la cadence ralentie. Il se retira de mon céans, puis me colla contre la poutre de la cheminée, j'étais debout, le cul bien cambré. C'est alors qu'il me dit.
- " Bâtard, ce soir, tu vas me faire juter, mais je te préviens, toi tu vas partir d'ici les couilles pleines, interdiction de te vider, tu as bien compris ? "
Je fis un signe de la tête pour signifier que bonne compréhension de son ordre.
De nouveaux, il rentra son chibre dans mon cul, en changeant de rythme toutes les deux minutes, à chaque secousse je sentais ma sauce envahir mon sexe, je la sentais au bord du gland, ma mouille commençait à s'épaissir. Il mit sa main sur mon gland et le malaxa, j'hurl²ais de plaisirs. Puis il se retira et lâcha sa sauce sur mon visage.
-" c'est bon çà bâtard, tu vas pouvoir rentrer chez toi, surtout pas de douche ce soir, je veux que demain matin mon sperme ai sécher sur ta face, c'est bien compris ? "
- " Oui, monsieur, c'est compris " lui dis-je rouge de honte.
- "Au fait, bâtard, c'est quoi ton nom ?"
- " Nico, monsieur, et vous ? "
- " Ahah, reviens dans deux jours, et tu le sauras "
- " Bien monsieur "
Comme ordonné, je suis rentré chez moi et je me suis couché le visage couvert de sperme, j'étais humilié, dressé par un inconnu, que je ne connaissais ni d'Adam ni d'Eve.
A suivre
N'hésitez pas à revenir vers moi pour vos commentaires.
Nico
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