Premier épisode
Mon tatouage avait fini de cicatriser après une dizaine de jours. J'étais à la fois heureux et honteux de cette marque que Dominique m'avait faite après m'avoir baisé. Je me demandais aussi ce qu'il avait fait des vidéos de notre partie de jambe en l'air. J'étais très effrayé à l'idée qu'il ait pu les mettre en ligne. Il ne les avait pas envoyées à mes contacts car j'avais suivi ses instructions à la lettre et m'était laissé tatouer ma première étoile sur l'aine.
Me déconnectant sur le chat en prenant le soin d'utiliser un autre identifiant, je vis qu'il était en ligne et décidai de l'aborder sans me dévoiler. Je me décrivis comme différent de ce que je suis en m'annonçant comme actif et domi et aimant les jolis culs. après quelques histoires factices où j'indiquais limer des culs à journée faite, il me dit brusquement :
- Pas d'histoires Nicolas, je t'ai reconnu.
J'étais sous le coup, j'essayai de nier en disant que je m'appelais Alex (comme on pseudo) et pas Nicolas et qu'il y avait confusion. Mais il répondit :
- Raconte pas des salades, je suis expert en informatique, tu le sais bien et je t'ai reconnu. Non seulement tu utilises la même adresse IP mais surtout aussi la même session cryptée du même ordinateur que l'autre jour.
Je ne comprenais pas comment il pouvait savoir cela et comment il savait même quelle session j'utilisais. Et puis je me suis remémoré qu'on avait échangé des photos de sa bite et de mon cul par mail et qu'il y avait une autre photo annexe que j'ai voulu télécharger mais que cela ne semblait pas avoir fonctionné. Il était clair qu'il avait mis un cheval de Troie dans mon ordinateur. Il devait donc savoir tout ce que j'avais fait depuis près de deux semaines avec ma bécane.
Il continua :
- Je t'ai vu skyper toute la semaine et raconter des histoire à des mecs sur le chat. Je sais tout ce que tu fais avec ta machine.
J'étais horrifié. Je fermai la session immédiatement et en ouvris une autre, fraichement créée. J'espérais que les dégâts étaient liés à la session. Je fus d'abord rassuré en me connectant au chat. J'eus une conversation avec lui comme s'il parlait à un autre mec qui aime les hommes. On a parlé de ses conquêtes et des miennes. Je savais qu'il était certainement plus près de la vérité que moi, qui fantasmais à mort. Je lui dit que je baisais régulièrement deux mecs de mon immeuble de 25 et 28 ans, et que j'en avais 45. Mais j'en ai 28 et c'est moi qui me fais baiser. Je voulais être sûr qu'il ne me reconnaissait pas. J'ai même ouvert une nouvelle adresse mail pour continuer d'embrouiller les pistes. Pendant quelques jours, je pris de l'assurance, l'épisode semblait passé.
Et puis, un matin en ouvrant mon mail, je vis qu'il m'avait écrit sur ma nouvelle adresse :
- Salut Nicolas, c'est pas un changement de session qui va m'empêcher d'utiliser mon accès à ton ordinateur. J'ai mis une porte dérobée au plus profond de ta machine. Et même si tu changes de machine, je reconnaîtrai les connexions faites sous ton adresse IP. N'essaie pas ou je mettrai mes menaces à exécution. Je le ferai aussi si tu coupes les contacts et ne me réponds pas. Pour l'heure, je te convoque chez moi ce soir à 21 heures pour une bonne nuit de baise.
On était vendredi et je lui avais dit être disponible tous les week-ends dès 21 heures dans notre premier chat. Je m'en mordais les doigts. Mais j'étais aussi excité par son autoritarisme. Car je suis un mec de nature très soumis. Et quand je suis chaud, je pourrais me loper n'importe comment. Je lui dit que j'avais un autre rendez-vous. Il me dit :
- Tu rigoles. Je sais bien que tu es libre le week-end. Et si tu as rancard ce soir, fais le sauter ou dis au mec de venir aussi chez moi...
Il savait donc que j'avais rendez-vous avec Mike, un copain de 32 ans qui me baise régulièrement le cul et me fait lécher ses baskets et ses pieds.
- Je ne sais pas... Je vais voir s'il veut venir.
Mike avait vu mon étoile tatouée et j'avais dû lui expliquer ce qui s'était passé avec Dominique. Il accepta de venir en disant qu'il apprécierait de faire la connaissance d'un autre mec actif et dominant.
Je me suis habillé comme il me l'avait imposé pour me rendre chez Dominique. J'avais mis des jeans élastiques hyper moulants de fille bleu clair et des converses rouges pétantes. Et enfilé ma doudoune. Strictement rien d'autre. Pour ne pas qu'on voie la tresse qu'il m'avait demandé de faire avec mes cheveux, je portais mon capuchon.
Après avoir sonné, Dominique m'ouvrit et me fit entrer en ne saisissant directement par l'entre-jambe. Il me roula une montre pelle et me mit la main au cul :
- Je vois que tu as bien suivi mes instructions. pas d'autres habits que ton jeans et ta doudoune. Et je sens ta rondelle bien lisse et mouillée de gel. c'est parfait.
Il m'amena sous les combles et je fus surpris d'y voir un mec cagoulé que je reconnus quand même comme étant Mike. Il était nu mais portait un harnais de cuir et je reconnaissais les anneaux qu'il portait presque toujours aux tétons et un tout petit grain de beauté au même endroit que j'avais désormais mon étoile. Mike dit :
- Comme mon ami Dominique filme ses soumis, et que je vais prendre part à la séance, je lui ai demandé de ne pas être reconnaissable sur les vidéos.
Je compris que Dominique et Mike se connaissaient déjà depuis longtemps et devaient même partager d'autres infos sur moi.
- Voilà Nicolas, aujourd'hui, tu seras aussi un peu anonymes sur mes vidéos. Je t'ai préparé un joli catsuit en latex, un peu spécial. Tu vas l'enfiler dès que Mike t'aura bien lubrifié avec de l'huile de silicone.
Je n'avais jamais mis une combi en latex, mais ça me faisait fantasmer depuis longtemps. Je ne savais pas que c'était aussi long et difficile à enfiler. Il faut dire qu'elle était exactement de ma taille, dans toutes les dimensions et très serrée. Munie de plusieurs fermetures éclair, elle s'enfilait depuis les épaules. Je mis d'abord la jambe gauche et il fallut bien masser le caoutchouc pour que le pied prenne sa place dans le chausson, qui était pourvu d'orteils. Chacune de mes orteils devait trouver sa place. Puis le pied et la jambe gauche. La combinaison remontait ensuite jusqu'aux épaules, avec une fermeture éclair entre le pubis et le bas de la colonne vertébrale, ainsi qu'une petite fermeture horizontale devant chaque téton. J'enfilai ensuite les bras. Au contraire des pieds qui avaient place pour chaque orteil, les mains étaient capitonnées entrés serrées, avec un bracelet de cuir prenant au poignet, se poursuivant par une lanière perpendiculaire fixée au bracelet sur et sous la main, équipée d'un anneau de fixation. Pendant que Dominique finissait de fermer la double fermeture dorsale au niveau des épaules, ainsi que la fermeture de la cagoule, qui partait du sommet du crâne et rejoignait les deux fermetures arrières au niveau des omoplates, Mike me fixait des bracelets en cuir similaires aux chevilles, qui épousaient la forme du bas de la jambe et du début du pied, robustes et aussi équipés d'anneaux.
Je bandais comme un malade pendant qu'ils prenaient leur temps. Je pouvais voir un peu à travers les yeux de mouche de la combinaison : de petits trous de 1 mm pratiqués dans la cagoule, à l'intérieur de deux renforts pour éviter des déchirures du latex. Il y avait aussi deux tubes de caoutchouc de 1 cm de diamètre que Dominique avait enfoncé de quelques cm dans mes narines et qui sortaient de la combinaison pour me permettre de respirer. Une autre fermeture éclair permettait d'accéder à la bouche. Mais ces fermetures étaient d'un modèle très étanche et je ne pouvais pas respirer par la bouche.
Ils me mirent alors à plat ventre sur le chevalet. Un objet en bois très massif, et m'attachèrent les mains et les pieds à ses pieds. J'étais totalement impuissant en présence de mon ami Mike et de Dominique. Ils ouvrirent alors la fermeture éclair de la bouche et un bout de celle de mon cul et me baisèrent à deux pendant près d'une heure, la bouche et le cul. Les grosses queues des deux mecs firent juter ma prostate, sans que je jouisse vraiment, mais je gémissais de plaisir à les sentir en moi.
Dominique me dit :
- Alors petite pute, tu aimes toujours autant les belles queues, je vois. Dis-moi combien de mecs t'ont baisée à ce jour. Et ne me raconte pas des bobards.
Je connaissais ce nombre exactement. Il est vrai que je n'aurais pas pu dire combien de queues j'avais sucé dans ma vie. Probablement entre cent et cent cinquante, mais je savais exactement combien de mecs m'avaient enculé. Certains de nombreuses fois, certes. Il n'y en avait que huit, y compris Dominique. Et Mike le savait aussi. Inutile donc de mentir.
- J'en ai eu huit. Et c'est Mike qui l'a fait le plus souvent.
- C'est juste répondit Mike.
J'étais en nage dans ma combinaison et mon cul était encore dilaté, du sperme s'en écoulant. C'est alors qu'on sonna à la porte. Deux mecs étaient là. Dominique alla les chercher et leur dit :
- J'encaisse tout de suite. Et capote obligatoire que voilà.
Je n'eus pas le temps de dire quoi que ce soit, Mike m'ayant mis un bâillon gonflable dans la bouche et il retenait ma respiration en serrant les tuyaux de caoutchouc. En fait, j'étais à nouveau chaud et je pense que c'est ce moment d'asphyxie qui a produit cela.
Les deux mecs me pénétrèrent et jutèrent rapidement. Vingt minutes plus tard ils étaient loin, je ne les avais pas vus. Mike me mit alors un gros plug tunnel dans le cul pour me maintenir dilaté et je me sentais impuissant craignant que mon lavement soigneux ne suffise pas... Mais il n'y eut aucun problème.
Dominique et Mike me retirèrent la combinaison et me donnèrent une serviette.
- Tu restes encore à poil, il y a le complément à faire.
Je ne compris pas tout de suite, mais quand Dominique alla chercher sa machine à tatouer dans l'armoire, il n'y avait plus d'équivoque.
Tu as eu huit mecs dans ton cul volontairement dans ta vie. Tu mérites huit étoiles. il s'appliqua pour compléter la constellation sur mon aine. Et après une heure de travail, j'avais désormais huit étoiles sur mon aine droite, assez esthétiques. mais j'avais mal et mon plug tunnel me tenait la rondelle grandement ouverte et bien symétrique.
- J'ai dit huit mecs que tu as volontairement eus dans ton cul. Maintenant, je vais ajouter l'étoile générique qui montrera ce que tu es vraiment : une chaudasse du cul en manque perpétuel. Y a qu'à voir comment tu t'es laissé faire par les deux clients de tout à l'heure.
Je ne comprenais pas, mais cela n'a pas duré longtemps. Ils me rattachèrent au chevalet.
- C'est pour faire du bon boulot. Ne bouge pas. Ton plug assure une présentation parfaite de ta rondelle, autour de laquelle je vais tatouer ta plus grande étoile...
J'étais tétanisé. Et Dominique mit presqu'une heure pour tatouer mon cul. ça me brûlait. A la fin, il me donna une pommade à mettre plusieurs fois par jour et après être allé aux toilettes. Le tatouage ne touchait pas le sphincter, mais seulement la peau autour de mon trou.
Une fois le travail terminé, Dominique protégea ses oeuvres et me dit de venir vers lui, qu'il avait encore un cadeau.
- Tu vas porter cette cage de chasteté jusqu'à notre nouvelle rencontre. Je ne veux pas que tu voies d'autres mecs que Mike et moi. On s'occupera désormais de tes autres partenaires sexuels.
Je n'avais jamais vu un tel modèle. Il était métallique et sur le devant, ma queue entrait dans une sorte de tube avec un logement pour les couilles. Cette coquille recouvrait tout mon appareil génital et empêchait tout accès à ma queue, tout en permettant à l'urine de couler. Le système métallique passait en forme de lanière entre les jambes et offrait un passage restreint pour aller aux toilettes, sous la forme d'un tuyau anatomiquement formé d'environ 2,5 cm de diamètre. Empéchant toute pénétration. Le tout remontait jusqu'à une ceinture métallique et capitonnée qui prenait au-dessus de l'os du bassin et fermait au moyen d'un cadenas. Le tuyau fut inséré dans mon cul.
- Tu resteras juste un peu dilaté par mon dispositif, environ 3 cm de diamètre extérieur. L'intérieur fait 25 mm et je te donne un bouchon adéquat pour le fermer. Tu feras attention de quand même bien mettre la pommade tout autour de ton cul, y compris sous le dispositif. Pour aller au toilettes, tu enlèveras le bouchon et pour uriner, il faudra t'asseoir et si tu veux rester propre prendre une douche de bière ensuite. N'oublie pas la pommade. Maintenant rhabille toi.
- Sauf si tu penses qu'il y a un problème, nous ne voulons pas te revoir avant la cicatrisation. Disons, dans quinze jours. Enfin dernier détail, avant de mettre tes jolies converses rouges, vide une de ces capotes dans chacune. C'est le jus des deux mecs qui t'ont baisés.
Je m'exécutai en silence. La ceinture de chasteté, pourtant inhabituelle, était très ajustée mais ne me faisait pas mal. J'allais devoir la porter quinze longs jours...
Nico_Soumis
Autres histoires de l'auteur : Les belles étoiles