Je me présente, Jonathan, 28 ans, crâne rasé, 1m73, 68 kg, yeux marron.
Voici l'histoire réelle que j'ai vécu ...
J'habite en région parisienne. Nous sommes samedi soir, c'est l'été, il est 3h, je rentre d'une soirée entre potes sur Paris. Je descends de mon bus, je passe comme tous les jours devant l'entrée d'un immeuble. Assis devant sur des chaises, une chicha à la main, 2 lascars algériens, 20 piges environ, beaux goss, survêtement, casquette, les mêmes que je croise souvent. Sans être attiré par les mecs, je dois avouer que je m'étais déjà retourné à plusieurs reprises sur eux. J'avais déjà pu voir à travers leur pantalon, la forme de leur paquet. Je passe devant eux, ils m'interpellent et me propose de fumer. Impossible de dire non, la situation m'excitait. Ils me proposent de suivre à l'intérieur de l'immeuble prétextant que l'autre pipe à eau était chez eux. J'arrive sur le palier de leur appartement, la porte s'ouvre. Au fond de moi je savais que n'était pas monté avec eux pour fumer le narguilé, mais que j'étais une proie pour qu'ils puissent se vider les couilles.
Aziz et Abdel rentrèrent tous les deux avant de refermer la porte derrière eux. L'endroit était peu éclairé.
Aziz pris les choses en main et m'ordonna sans attendre de me mettre à quatre pattes. Il s'avança vers moi, baisse son futal et déballe sa teub de son boxer. Une queue lourde et épaisse, de 21 cm, circoncise et surmontée d'un gland proéminent, qu'il me planta direct en bouche. J'étais en train de sucer ma première bite. Il accentua la vitesse de ses vas-et-vients, m'obligeant à saliver un maximum sur sa queue d'arabe. Il se planta bien au fond de ma gorge, jusqu'à la garde, me procurant presque des hauts de c?ur. Il me pris la tête entre ses mains afin d'accélérer son pilonnement. Abdel lui était spectateur, son pantalon baissé aux cheville, laissant apparaître sa teub déjà bien bandée. Celui que j'étais en train de pomper, Abdel, ressorti de ma bouche pour venir se faire sucer les boules. Elles étaient de couleur brunâtre, lisses, sans poil et gonflées à bloc. Il demandait à son pote de prendre sa place afin qu'il puisse à son tour se faire traire. J'alternais les couilles d'Aziz et la tige d'Abdel. Leurs deux queues se ressemblaient. Lui aussi me pylônait la bouche avec rapidité alors sortons parfois pour me bifler. Leurs deux tiges étaient luisantes de salive et leurs glands turgescents. J'étais devenue la chienne de deux lascars plus jeune que moi, prêt à tous leurs désirs. Je commençais à mouiller de la rondelle tellement j'étais excité.
Aziz m'a mis debout pour me déshabiller. Je me suis remis à quatre pattes, le cul relevé et tendu vers eux pendant qu'ils s'installèrent sur le canapé, les jambes écartées, astiquant leur teubs dressées à fond. Il m'ordonna de me doigter. Je m'exécutai. Je bougeais mon cul tout en m'enfilant un doigt pendant que les deux, profitant du spectacle, discutaient entre eux en arabe et fumaient leur chicha. Cela dura une dizaine de minutes. Aziz me demanda de le rejoindre sur le canapé. Il était en train de s'enduire la bite de salive. Je me positionnais au-dessus de lui afin de pouvoir coulisser sur son membre. Le gland passa avec difficulté puis me tirant par les épaules, il me forçait à m'empaler complètement. Je ressenti une douleur assez vive, une brûlure comme un déchirement. Il reste figé en moi un petit instant avant de commencer à me limer le trou du cul avec vigueur, comme s'il n'avait pas niqué depuis longtemps. Il me claqua les fesses. Une sensation de bien-être et de plaisir intense m'envahit. Je commençait à kiffer un max me faire prendre le cul. Mon zob était de plus en plus raide et devenait douloureux. Abdel mattant son pote en train de me niquer avec force, se leva et présenta sa queue pour que je reprenne ma fellation. Mes deux orifices étaient pris, je ne savais plus où j'étais. Aziz décula à plusieurs reprises avant de me la replanter avec hargne. Mon sphincter se dilatait de plus en plus au fur et à mesure de ses à-coups. Pendant son enculade, il m'insultait de chienne, de pute à jus, ... la queue que j'avais en bouche m'empêchait de crier mon plaisir. Aziz se retira, me laissant un vide et m'installa allongé sur le dos, les fesses relevés et collés à l'accoudoir. Ma chatte était béante. C'était au tour d'Abdel de me casser mon petit cul de céfranc. Aucune préparation n'était nécessaire, il m'enfila directement me donnant quasi instantanément un nouvel orgasme. Je voyais sa colonne de chair me pénétrer le fion, son excitation était palpable. Il était à fond dans son ramonage, il ne baissa pas de rythme. Mon cul était totalement endolori. Aziz était parti fumer sa chicha tout en nous observant. Il partageait avec moi quelques bouffées de narguilé, balançant ses couilles sous mon nez, que je léchais à chaque occasion. Il me faisait également sniffer la bonne odeur de transpiration de ses chaussettes et baskets . J'étais totalement enivré de plaisir.
Les deux potes de baise m'abandonnèrent quelques minutes dans leur appartement. J'avais jamais autant bandé auparavant. Ma queue était douloureuse. Quelques minutes après ils étaient de retour, il était parti s'acheter à manger au snack. Ils s'installent à leur table et m'ordonnent de passer en dessous afin de les pomper. Les deux membres turgescents n'attendez que ça. Pendant sue je pris l'un en bouche, je branlais le second. J'alternais. Ils étaient à l'aise, en train de manger leur kebab pendant que je m'activais à les pomper. Putain qu'ils étaient endurants, ils ne montraient aucun signe de faiblesse. Ils n'étaient pas encore prêts â lâcher leur sauce blanche. Je continuais à décrasser leur gland violacé et à bouffer leurs couilles pendantes. J'en avais des crampes à la mâchoire mais je kiffais tellement m'occuper d'eux ...
Il y avait du mouvement. Ils se levèrent, l'un des deux était passé derrière moi, me tira vers lui, et se replanta dans mon trou de balle. Je ne pouvais voir, qui de Aziz ou Abdel, s'attelait à me ramoner. En fait les deux alternaient leur défonce en augmentant leur rythme. Leur respiration se faisait de plus en plus haletante, j'allais bientôt être récompensé de leur jus de couilles.
Ils se sont mis tous les deux l'un à côté de l'autre, me demandant de les branler en même temps. J'avais leur queue raide et palpitante dans chaque main, leur grognement de mâle en rut se faisaient de plus en plus forts. Abdel m'envoya en premier une bonne rasade de son foutre chaud sur le visage et le palais. J'en récupérais un peu avec ma langue. Aziz était lui aussi sur le point d'exploser. J'ouvris grand la bouche afin de recueillir ses giclées. Lui aussi cracha une grande quantité. Je me délectais de leur semence de blédards. Je les suçais pour leur tirer les dernières gouttes.
Ils se rhabillèrent en me disant que j'étais une bonne suceuse de zob et qu'ils avaient kiffés défoncer ma petite chatte. Il avait trouvé en moi un bon plan régulier pour se vider les couilles et que la prochaine fois ils me feront tourner à d'autres potes à eux.
Je crois que je ne vais pas tarder à leur rendre visite ...
PerversX
hugo06@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : De la chicha à l'anal