Premier épisode | Épisode précédent
Nous avons franchi la lourde porte rouge et je suis Patrick dans l'escalier, toujours admirant son cul et ses mollets dans son jogging, il m'emmène au troisième étage, dans un recoin du palier et ouvre la porte. L'atmosphère est chaude, son regard est fuyant, on passe la petite cuisine derrière le bar sur la droite et on s'installe sur le canapé à gauche dans le grand salon en désordre. Tout en buvant ce qu'il nous a servi nous discutons, longtemps. Il est déjà en colocation dans ce grand appartement, il veut le quitter car ses autres colocataires tous gays ramènent des gars très souvent, trop souvent pour lui. Ils couchent tous ensemble et c'est trop pour lui. Patrick est d'une taille moyenne, 1m75 à peu près, des formes fines mais pas maigres, des cheveux châtains coupés assez court et quelques poils qui dessinent une petite barbe. Ses yeux marrons sont tout le temps mi-clos qui soulignent d'épais sourcils ornés d'un piercing à l'arcade droite. J'observe son nez, ses oreilles, je me perds devant sa bouches et ses lèvres fines. Il a déposé en arrivant sur une chaise de bar sa veste en cuir beige qui lui allait si bien, je la revois et l'imagine encore sur lui.
- Ça te dérange si je fume, me demande t'il.
- Non non, tu es chez toi !
- Ce n'est pas une clope ...
- Ah ! Et bien c'est pareil, tu es chez toi !
Je le vois sortir un bang en verre immense et le charger tout en continuant à me parler et à me jeter de doux regards. Il prend son briquet et chauffe ainsi la base en commençant à inspirer ! Il relâche un nuage épais de fumée en me lançant un regard puissant et coquin. Il sourit ! Il a l'air bien !
Sa prise ne l'a pas changé, on s'entend bien depuis le début, nous avons énormément discuté et ça ne s'est arrêté que lorsque l'un de ses colocataire est arrivé ! Il nous a interrompu avant de se glisser dans le couloir, je me décide à rentrer à cet instant ... J'ignore ce que je pouvais attendre de cette rencontre, en tout cas j'ai eu finalement ce que je pouvais vouloir !
- À bientôt Patrick, j'ai adoré cette soirée avec toi !
- Moi aussi, on se reparle quand tu veux pour la coloc !
On se sert la main et se quitte.
Je suis rentré chez moi, me suis déshabillé, je ne pensais qu'à Patrick, il hantait mes pensées, je ne comprenais pas. Sa veste en cuir m'attirait, j'ai enfilé la mienne sur mon torse nu et gardé mon boxer. Je me regarde dans le miroir, je me trouve beau, et il est là à côté de moi. Il enlève sa veste, dévoile un teeshirt moulant sur son jogging. Je suis spectateur, il fait tomber son survêt', je découvre un boxer merveilleux, DIM blanc immaculé, avec une bosse imposante, qu'il vient se tâter ostensiblement. Il se tourne et s'approche de moi, ses mains se collent à mon corps et me laissent ma veste, mais vient tenir fermement mes fesses. Il les caresse, les effleure, et élimine mon boxer faisant apparaître ma queue déjà bien bandée tant il m'excite ! Il se baisse et vient poser ses petites lèvres sur moi. Sa langue s'y glisse, et dépose sa main à la base de ma bite pour la tenir sous pression ! Son action, il me pompe goulûment, m'impressionne ! Je lève les yeux au ciel, je suis aux anges ! J'accompagne sa tête avec douceur et presque fébrilité, il me regarde avec des yeux plein de sexe ! Je m'allonge tout en le tenant proche de moi, un de ses doigt commence à me détendre les fesses, je m'abandonne à lui, je gémis, je succombe ! Il retire sa bouche de ma queue, et me branle doucement en me fixant, il sourit, il a l'air heureux, je n'explique rien. Je le regarde aussi, je ne détourne plus mon regard, j'en suis incapable, mon esprit est tellement obnubilé, je sens l'excitation monter ! Le spasme ! La jouissance ! La joie ! L'euphorie ! Je me retrouve seul sur mon lit, le torse plein de sperme et la main entourant ma bite ...
Jules
Jules avait rendez-vous chez moi après m'avoir téléphoné. Je rentrais du travail et me préparais à le recevoir quand il sonna à l'interphone. Je lui demandais de monter en réponse à sa voix plutôt douce au travers de l'appareil. Je l'accueille avec une poignée de main virile et l'amène sur deux mange-debout autour de ma petite table de bar. Je sers deux verres et on entame la discussion. Jules est grand, presque 1m90 et fin, coiffé d'une petite houppette il porte un jean slim qui lui serre bien les fesses avec une chemise cintrée. Il est beau, il est charmant, il est bandant, mais il vient pour être colocataire, ne l'oublions pas. Il évoque sa ville d'origine et vient d'arriver à Toulouse, la discussion est très fluide et intéressante, on avance ...
KiLove
Autres histoires de l'auteur : Colocation | L'amour d'une vie