J'attendais, étendu au pied du lit, tout nu sauf un jock-strap, sur le ventre et le cul en l'air. Ça faisait plus d'une heure que j'ai reçu son message :
- Quand tu rentres, tu te déshabilles de suite, tu te laves comme il faut, tu mets ton nouveau jock, et tu te reposes au pied du lit, et tu ne BOUGES PAS. Je suis aux gyms. Attends-moi.
- Oui maître.
Je mouillais déjà de ma bite semi-bandée. Il y avait un air frais dans la chambre et j'avais la chair de poule ; sur mes fesses, mon échine.
Enfin, je l'ai entendu entrer. Je n'avais qu'à obéir. C'était très simple.
Il cria à voix haute de la cuisine :
- Tu ne bouges pas et tu ne parles pas. Ne fais pas de bruit. J'arrive.
Il prend un verre d'eau. J'entends les gorgées et son soupir de satisfaction après avoir tout avalé. J'ai de la misère à ne pas remuer mon cul - trop excité que mon maître soit arrivé.
Il se pose sur le cadre de porte. Je tourne la tête pour lui regarder, ma joue sur mes mains, et je lève les sourcils juste un peu en disant : allô toi.
Lui :
- Non. Ne me regarde pas. À quatre pattes.
Je fais comme il demande. Je regarde droit devant. Je courbe le bas du dos pour bien lui présenter mon cul. C'est peut-être mon imagination, mais j'ai l'impression que même de loin, je peux déjà sentir son odeur musquée. J'ai une envie intense de lui goûter.
Du coin de mon oeil, je vois qu'il se met un doigt dans la bouche. Il se rapproche. Direct sur mon trou de cul il place son index mouillé. Il l'insère à moitié ; il fait des petits vas et vient.
- À moi.
Je ne dis rien.
- Il appartient à qui ce cul ?
- Je peux parler, maître ?
- Oui, boy.
- Il est à toi.
- À toi QUI ?
- À toi, maître.
Il enfonce le doigt plus loin. Avec l'autre main, il me caresse les fesses ; il repositionne mon jock. Doucement, il s'enlève l'index.
Il fait le tour du lit et s'arrête avec le bassin face à moi. Avant même que je puisse oser lever les yeux, il prend dans son poignet une touffe de mes cheveux pour me garder fixe. Le renflement de sa bite bandée et palpitante dans son short de sport me fait saliver.
Il me tire la tête pour m'enfoncer le nez dans son entre-jambes.
- Sniff, boy.
Ça sentait le sel, la masculinité, l'humidité. J'ouvre ma bouche et je commence à lécher par-dessus le tissu de ses shorts sa grosse bite croissante.
- Okay, goûte.
Il enlève son short d'un coup ; il ne portait pas de sous-vêtements. Ma bouche déjà ouverte pour lui, il plonge sa queue au fond de ma gorge. J'étouffe un peu. Mon nez est pressé contre ses poils pubiens. Je prends une autre respiration profonde ; de la bave s'accumule dans ma bouche, sur mes lèvres. Il se retire et me lâche la tête.
- Allez, nettoie mes couilles.
Je promène ma langue partout sur son scrotum ; sa peau toute trempée.
- Maître, je peux te laver le cul ?
Il recule et descend pour que finalement, on se regarde face à face. Du coup, il me tape plein le visage, sec, et il me prend par le menton. Son pouce me force à ouvrir la bouche. Il crache dans ma face. Il me frappe encore. Il me crache encore et il frotte sa salive partout sur mes joues, mon front.
- Couche-toi sur le dos, espèce de pédé.
Il se retourne, je me couche. Il s'assit sur moi, son trou de cul direct sur ma bouche, et je bouffe. Ça goûte le sport, la merde, l'homme. Je prends ses fesses dans mes mains ; je lèche son cul comme un chien assoiffé.
- Good boy, tu fais bien ça.
- Merci maître.
Il se retourne encore, pour me frapper dans le visage avec sa bite.
- Doigte-toi.
Je m'insère deux doigts. Je commence à gémir. Il continue à me frapper avec sa bite ; il me donne aussi des claques avec sa main.
- Espèce de pédé...
Il m'agrippe par les épaules et rentre sa bite très profond. J'ai la tête un peu penchée vers l'arrière et mon fond de gorge s'ouvre. J'ai des larmes aux yeux. Je continue à me doigter et j'arrive à peine à respirer comme il faut.
- Oh oui, c'est bien. Reste tranquille. Good puppy.
Il retire sa queue. Je tousse. J'ai le visage mouillé de larmes et de salive.
- Okay, à terre puppy.
Je descends du lit, je me mets à quatre pattes, je remue mon cul.
- Mes souliers. Mes pieds.
J'embrasse chacun de ses souliers ; et je m'assure de bien avoir le dos courbé pour lui présenter mon trou de cul fraîchement épilé. Je lui enlève ses souliers et ses bas. Je commence à lécher ses pieds. Entre chaque orteil. Je me roule sur le dos, avec les pattes en l'air, pour continuer à lécher. Avec l'arche de son pied, il met du poids sur ma joue pour me tourner la tête sur le côté. Il se branle et frappe sa queue dans sa main. Je suis bandé solide, et je mouille tellement de la bite que le tissu de mon jock est trempé.
- Lève-toi.
Il prend ma tête dans sa main. L'autre se met sur mes fesses et encore, il insère un doigt. Je gémis. J'ai envie qu'il m'enfonce. Tout mon corps veut ça. Il me regarde avec ses yeux bleus ; paisibles et confiants. Il m'embrasse. J'essaie de lui embrasser de retour, mais il arrête sec et met son pouce sur mes lèvres.
- Non ; c'est moi, juste moi.
Je laisse les muscles de mon corps et de mon visage se dénouer. Il m'embrasse tout doucement et promène sa langue délicatement sur ma bouche.
- Tu vas me laver dans la douche, puppy. Apporte une de mes chaussettes avec toi.
À genoux et avec son bas farci dans ma bouche, je lui lave ses mollets ; ses cuisses épaisses et masculines ; sa bite semi-bandée et ses couilles ; son bassin. Je prends un moment pour regarder son corps en me levant les yeux - il me laisse faire cette fois. Ses épaules et ses pectoraux luisent de l'eau de douche qui perle sur sa peau. Les mains derrière la tête, il me montre ses aisselles. Je me lève pour bien sniffer son odeur, pour bien frotter mon visage contre les poils courts de ses sous-bras, avant de les laver avec son savon de fleur d'oranger qu'il aime tant.
- Okay, puppy. Tourne-toi.
Il me demande de me mettre à genoux encore. Il me dit que pour l'instant, je peux sortir la chaussette de ma bouche. De poser ma tête sur l'acrylique du bain. Il arrête l'eau de la douche.
- Ouvre ton cul pour moi.
Avec mes deux mains, je lui présente mon trou de cul bien dilaté. J'attends.
Du coup, je suis frappé dans le dos par un flot chaud et réconfortant. Il me pisse dessus. Dans mes cheveux. Dans mon trou de cul. J'adore ça. C'est animal.
- Lape.
Je commence à laper et il me met un pied dans le dos avec un peu de pression. Il continue à pisser, mais vraiment à se vider dans mon trou de cul.
- C'est à qui ?
- C'est à toi, maître.
- Good boy. T'es content ?
- Oui, maître. Merci.
Le flot s'arrête. Il sort du bain. Je fais presque pitié, seul dans le bain, la tête baissée, avec les cheveux tout trempés de pisse et collés sur mon front.
- Reste là. Regardes-moi pas partir. Mais lave-toi, évidemment. T'es tout sale.
Je le retrouve dans la chambre. Couché sur le dos, il se branle ; un porno joue sur son portable. Je m'assis sur sa bite, sans condom, et il me prend.
Il me sodomise avec de gros vas et viens ; s'enfonçant de plus en plus profond, mes jambes maintenant en l'air, mon cul complètement ouvert pour lui. Je gémis, je crie ; c'est plus fort que moi.
- Tu n'es qu'un trou...
Il arrive à me faire jouir sans que je me touche. Je bouffe mon sperme ; je sais que ça l'excite. Je fais un effort pour rester encaissé après avoir éjaculé. Et lui, quand il jouit, quand ses jets de spermes me remplient l'intérieur, il y a une expression de délivrance sur son visage dont je suis reconnaissant d'être témoin.
Je mets mon plug pour pas qu'une seule goutte de son liquide m'échappe. Il me fait des bisous et des câlins, et il me dit qu'il est fier de moi.
- T'arriveras bientôt à porter un collier. T'aimerais ça, puppy ?
- Oui, maître. Vraiment.
- Couche-toi à mes pieds. Rejoins-moi dans mes bras tantôt.
Il s'allonge pour une sieste d'après-midi.
- Okay, maître.
C'est curieux : recroquevillé au pied du lit, en étant pris comme possession par quelqu'un que je tiens vraiment à coeur, je ne me suis jamais senti aussi libre.
Anon-pup
Autres histoires de l'auteur : Je mouille de woof