Mon père a engagé un migrant venu de Haïti pour travailler dans notre boulangerie. Comme nous avons, au-dessus du garage, une chambre d'amis, on l'a installé dans cette chambre en promettant de la mieux décorer très bientôt.
Il s'appelle Simon. Il a 31 ans et j'ai tout de suite trouvé qu'il est un bel homme toujours souriant. Je me fais probablement des histoires mais je crois qu'il me sourit plus qu'il le fait à tout le monde.
Je lui ai dit de ne pas hésiter à venir me demander conseil si quelque chose semble trop difficile ou s'il a besoin d'autres explications.
Ce matin, lundi, il commence à travailler. Il porte des jeans courts, peut-être un peu serrés, montrant que l'homme est bien garni entre les deux jambes.
Comme je suis en vacances, je n'ai pas manqué d'aller lui rendre visite à la boulangerie. Les trois autres employés semblent l'accepter. Le climat est bon et le travail se fait à bon train.
Je lui ai soufflé, en passant, que j'irais lui rendre visite ce soir. Il m'a dit que des amis Haïtiens viendraient aussi lui rendre visite et qu'il serait ravi de me les présenter.
J'ai attendu, après le souper, que tout soit bien calme pour aller à la chambre de Simon. Il y avait déjà deux de ses amis que j'ai salués avec chaleur car ils étaient encore plus sexés que Simon. Ils n'ont pas froid aux yeux, comme dit l'expression et m'ont tout de suite demandé, devant Simon, si on avait déjà baisé lui et moi. Il y en a même un qui m'a mis la main sur une fesse en disant qu'un si beau petit cul devrait servir.
- Est-ce que tu aimerais qu'on te fasse plaisir dès maintenant ?
J'avais le coeur dans la gorge. Entre la peur et l'envie, c'est l'envie qui a gagné. Il y en a un qui m'a pris dans ses bras pendant que l'autre ouvrait mon pantalon et détachait ma ceinture.
- Tu vois, tu es déjà bandé. Tu vois bien que tu en as envie. Viens ici et suce Simon, ton futur amant.
Je me suis mis à genou et j'ai pris dans ma main le pénis de Simon qui avait déjà enlevé son pantalon.
Nous nous sommes rapidement retrouvés tous les quatre sur le lit de Simon et j'ai passé la soirée un pénis dans la gorge et un autre dans le cul. Ils changeaient de rôle régulièrement et un des trois a commencé à me sucer quand il a vue que j'allais éjaculer.
Toute cette histoire fut le début du rôle qu'on m'a donné : je suis devenu la pute de tous les migrants qui se connaissaient et j'ai même remarqué que quelques-uns payaient Simon pour se servir de moi. Ça ne faisait que m'exciter davantage. J'adore sentir qu'on se sert de moi, que je suis la salope du quartier et que je me fais même inviter dans un appartement où une chambre en marchant dans la rue. UN RÊVE !!!
Claude
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