Salut je m'appelle Joan j'ai 25 ans et j'habite dans la banlieue parisienne. Je suis gay et je le sais depuis un très long moment. Mes parents sont aussi au courant tout comme mon frère et n'ont aucun problème avec ça. J'ai toujours été attiré par la technologie et mes parents m'ont toujours acheté ce que je voulais par rapport à ça tant que je travaillais bien à l'école. Du coup, a 21 ans, je me suis installé dans la ville à côté de chez mes parents et j'ai trouvé un travail dans une start-up qui gérer un site web connu. Quand je suis arrivé dans l'entreprise j'ai rencontré mon patron pour la première fois.
Je suis tombé sous le charme dès que je l'ai vu. Cheveux châtain, 1 mètre 85, ni trop musclé, ni trop gros, les yeux bleus et un magnifique petit cul bien serré dans son pantalon moulant qu'il porte presque tous les jours.
Autant vous dire que mon patron me faisait de l'effet. Il avait 25 ans donc il n'était pas trop vieux. Mais d'après ce que j'avais compris il était marié.
Depuis que je suis rentré dans l'entreprise il y a 4 ans, il me fait toujours autant de l'effet, mais j'essaie le plus possible de le cacher.
Mais un jour, alors qu'il ne restait plus grand monde dans les bureaux, j'étais resté au téléphone avec des clients du coup je suis sorti du bureau assez tard. Il était a peu près 21 h lorsque j'ai quitté mon bureau, et j'étais surpris de voir que mon patron été toujours là. Sa porte était entre ouverte et la lumière éteinte allumée. Je me suis donc approché de sa porte pour lui dire au revoir avant de partir, et j'étais totalement surpris et choqué de voir ce qu'il faisait dans son bureau.
Mon patron était par terre, à quatre pattes, entrain se doigter avec un gode à ventouse au mur. Il poussait des petits cris de jouissance tout en accélérant la cadence. J'étais totalement interloqué de ce qui se faisait devant mes yeux. C'est alors que j'entendis un stylo tombé du bureau qui était juste derrière moi, le bruit alerta aussi mon patron qui détourne le regard vers la porte, où il me vu en train de le regarder.
Il portait encore la chemise qu'il avait portée toute la journée. Alors il se leva, retira complètement son pantalon et son caleçon de sur lui, le Jetta par terre, et s'avança vers moi. Il ouvrit la porte et me fit un léger sourire.
- Tu n'es pas encore parti ?
Mon patron ne m'avait encore jamais tutoyé ce qui me surprit sur le moment.
- En fait je... Mais qu'est-ce que vous étiez en train de faire ?
- Ne fais pas semblant de ne pas le savoir. Je me faisais plaisir tout simplement. Ce n'est pas facile de devoir cacher son homosexualité à sa femme et en plus de ne pas pouvoir baiser avec elle lorsque je rentre chez moi.
- Et bien vous n'avez qu'à sortir dans des bars pour gay !?
- Le problème c'est que je n'en connais pas. Tu pourrais peut-être m'en montrer ?
- Et bien je n'en connais pas...
- Ne fais pas l'innocent, j'ai accès à l'historique de tous les ordinateurs de la société. Je sais très bien que tu es gay aussi.
Je n'osais rien dire, premièrement parce que je ne savais pas quoi dire et deuxièmement parce que mon patron était à moitié nu devant moi.
- Entre je t'en prie.
Je suivis mon patron et il s'assit sur son bureau tout en ouvrant légèrement ses jambes.
- Vous faites ça souvent, lui ai-je demandé tout en essayant de ne pas regarder son entrejambe.
- Oui à peu près une fois par semaine lorsque je suis tout seul dans l'entreprise, mais je n'avais pas vu que tu étais encore là.
- Pourquoi est-ce que vous me tutoyez ?
- Et bien je pense qu'après ce que tu vas me faire ce soir, notre relation ne sera plus celle d'un patron à un employé.
- Comment ça ce que je vais vous faire ce soir ?
- C'est très simple me prendre comme une chienne sur mon bureau !
- Mais je...
À peine avais-je fini ma phrase qu'il m'attira vers lui en tirant sur ma veste et m'embrassa. Je n'avais jamais embrassé quiconque comme ça, et c'était très agréable.
Puis il se leva, se dirigea vers le mur, décrocha le gode du mur, et il vint le mettre par terre. Il plaça son anus au-dessus du gode puis il commença à déboutonner mon pantalon. Je ne voulais pas faire ça parce qu'il était marié, mais mon attirance envers lui était beaucoup trop forte pour refuser ses avances. Il baissa mon pantalon et mon caleçon et laissa sortir ma bite de 20 cm.
- Je n'ai jamais vu de bite aussi grosse depuis la fois où j'ai sucé mon grand frère, me dit-il tout en regardant avec émerveillement mon pénis.
Après l'avoir regardé; il se mit à me masturber pendant environ une quinzaine de secondes; puis il commença à me sucer. Cela me fait énormément de bien de me faire sucer par ce beau mec, mais je trouvais qu'il n'allait pas assez vite. Alors au bout d'un moment j'en ai eu marre et j'ai commencé à pousser sur sa tête pour qu'il aille plus vite. Je le forçais à me faire des gorges profondes.
Au bout d'un moment je n'en pouvais plus et je l'ai retiré je l'ai levé. Je me suis approché de mon sac duquel j'ai sorti un tube de lubrifiant pour mouiller sa rondelle. Puis je me suis allongée sur son bureau en poussant tout le paquet de feuilles qu'il y avait dessus, puis sans un mot il est monté sur le bureau, et se mit à califourchon sur ma bite. Il commença à sauter dessus tout en jouissant de plaisir. Étant donné que j'étais versatile, je voulais quand même goûter au nectar de ses couilles, du coup, pendant qu'il sautait sur ma bite comme une sauterelle, j'ai commencé à le branler. Il n'a pas tardé à éjaculer à cause de l'excitation que je lui fournissais en lui labourant le cul. Après avoir goûté un peu de son sperme j'étais tellement excité que je lui ai balancé 5 gros jets de sperme au fond du cul.
Il s'est écroulé sur moi puis m'a embrassé, essoufflé.
Nous nous sommes dit au revoir puis je suis parti, le soir même il m'a envoyé un message sur mon téléphone professionnel en disant :
- maintenant tu sais où me trouver le mardi à cette heure-là, au cas où tu voudrais encore de mon trou.
Mister Anoniman
anonimail971@gmail.com
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