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Dylan : le Wyoming 1- le voyage aller
Je rejoins mon client à Paris la veille du départ pour les USA. Passeport tout neuf, copie de l'ESTA en poche et valise pleine, je suis prêt.
Grand appartement duplex sur l'ile de la cité, encore un petit malheureux !! Question physique ça va. Le mec, entre 35 et 40 ans, est plutôt beau gosse, un peu plus grand que moi. Les manches de son polo sont tendues par ses biceps et le tissu moule ses abdos. Plus bas aussi ça me va ! Son jeans ne cache pas un paquet prometteur, même s'il bande déjà à moitié.
De son côté aussi il me jauge. Mon crâne rasé et la cicatrice qui le zèbre a provoqué chez lui un haussement de sourcil, le reste, heureusement, un grand sourire de satisfaction. Depuis que Sasha m'a pris en main, j'ai pris un ou deux kilos de muscles mais surtout je me suis affuté. Plus un poil de gras, la peau suit les courbes de mes muscles comme du latex. Pour le trajet j'avais enfilé un jeans slim retourné sur mes chevilles, un polo Eden Park un peu trop petit et des Bensimon aux pieds.
À la fin de l'inspection il bande franchement et j'estime son " outillage " autour des 22x6 voir 6,5.
Autant s'en assurer direct. Je tombe à genoux, déboutonne son jeans et baisse à mi-cuisses le pantalon et le shorty Aussiebum. Sa bite se tend comme un ressort et son gland vient me frapper la joue. J'ouvre la bouche et me penche en avant pour sa première pipe. Quand j'écrase mon nez sur son ventre et que son gland chatouille le fond de ma gorge, je l'entends dire qu'il va passer de véritables bonnes vacances. LoL il se paye un professionnel non !?!
La pipe dérape vite et quand il me voit à poil il me siffle comme si j'étais une fille. Ça fait quand même plaisir même si je suis conscient que nous sommes tous au-dessus de la norme question muscles, entretien de la peau et ok, de tête aussi l'ensemble est plus que correct.
Je l'aide à se mettre à poil. Il n'a rien à nous envier : beaux pecs épais, gros tétons ; abdos en tablette et dentelés bien visibles. Le tout épilé comme moi, on présente le même style.
Je le questionne, 8 heures de salle par semaine. Ça explique !
Le sexe nous appelle et, en 69, il me montre que lui aussi sait faire les pipes. Mes 22 à moi s'enfoncent dans sa gorge avec autant de facilité que les siens dans la mienne. Il alterne avec des machouillages de gland qui m'excitent grave. Quand il me montre les capotes sur la table basse, j'en déchire une (enfin l'enveloppe) me couvre la bite alors qu'il s'installe sur le canapé, les épaules sur le dossier. Deux doigts et je vérifie que sa rondelle est apte à me recevoir. Ma queue les remplace. Aussitôt un bon coup de rein et je suis déjà au fond. Soupir de plaisir de l'intéressé. Au moins il apprécie je vais pouvoir alterner les plaisirs (passif et actif). Je deviens de plus en plus recto verso même si j'adore toujours me faire démonter le cul
Je lui donne un peu de plaisir avant de déculer pour inverser les rôles. Je le capote et le pousse à s'assoir sur le même canapé. J'enjambe ses cuisses et vient m'assoir sur lui. Sa bite trouve naturellement le chemin de ma rondelle et j'use de la pesanteur et de la compression de ma rondelle pour m'enfoncer lentement sa queue bien profond. Ses lèvres m'attirent et moi qui ne suis pas un grand bouffeur de langue (sauf avec Sasha et ses petits frères), je me penche et colle ma bouche à la sienne. Il entrouvre ses lèvres et nos langues font connaissance. Mon bassin est indépendant et fait l'ascenseur sans que nous décollions nos lèvres. J'en bande encore plus et il le sent car sa langue s'agite avec force et vient se battre avec la mienne. À ce petit jeu c'est moi qui gagne puisqu'il ne peut se retenir et après seulement 1/4 d'heure à se faire branler la bite par ma rondelle, il ouvre les vannes et rempli sa capote. Je continu de me limer la rondelle jusqu'à ce que je le sente ramollir. Là, en trois coups de poignet, je couvre ses pecs de mon jus. Je décolle alors mes lèvres et viens lécher son torse pour récupérer ma production. Quand je me redresse, plus une trace de mon épanchement ! On se décolle. Il me félicite pour l'avoir fait jouir aussi vite car ce n'est pas son habitude. Alors qu'il m'emmène à sa salle de bain, il me dit qu'on devrait passer 15 jours de rêve entre nos deux passions : cheval et baise.
Il me demande de l'appeler par son prénom : Etienne.
On se douche ensemble dans une grande italienne. Je le suis dans sa chambre. Deux valises sont prêtes mais encore ouverte. Il me montre celle de gauche et me dit de voir s'il a bien pensé à tout. Je la vide sur le lit. 3 jeans, 6 polos plus un pull (les nuits sont fraîches). En slip toute une collection d'Aussiebum plus deux maillots de bain de la même marque, quelques paires de chaussettes, une trousse de toilette avec un flacon de Terre d'Hermès. Une paire de chaussure montante et une de guêtres en cuir complète l'équipement.
Je lui dis que pour 15 jours de bivouac ça risque d'être juste mais il m'informe que durant le périple nous pourrons donner et reprendre nos affaires lavées. Je lui dis que pour ma part j'ai plutôt privilégié une paire de bottines basses et que pour mes maillots de bain, je suis plutôt ES. Là il me dit que la valise que je viens d'inventorier est pour moi, tout étant à mes mesures. Ce qui nous manque, il l'achètera sur place. Merci Sasha de m'avoir prévenu !! (Ndlr : il m'avait demandé les mensurations de mon Escort sans préciser pourquoi).
Je vais faire un panachage des deux.
Soirée dans Paris, restaurant haut de gamme, si je ne l'avais pas accompagné, même habillé comme je le suis maintenant, je pense que j'aurais eu des difficultés à y entrer.
Retour à pied à son appart. Paris la nuit, c'est sympa aussi. Comme nous devons nous lever tôt, la nuit est sage. Après tout nous avons 15 jours devant nous.
Réveil 7h. Café. Douche avec pipes réciproques. Taxi.
Charles de Gaulle : 2h1/2 en avance alors que nous avons déjà nos billets ! Les contrôles à l'embarquement ont été méchamment renforcés, même pour la 1ère classe.
Comme nous sommes arrivés tôt nous sommes dans les premiers en zone d'embarquement. Une première pour moi ce vol en avion en plus international. Nous faisons les boutiques de luxe. À la boutique Bulgari, Il me demande mon avis sur les montres qu'il essaye à son poignet. Quand j'indique celle que je trouve la plus belle, il l'achète et au moment de la mettre en paquet, il indique au vendeur de la passer à mon poignet. Alors que je suis un peu gêné, le vendeur me fait un clin d'oeil et referme le bracelet sur mon poignet.
Nous sortons de la boutique et regagnons le salon des premières. Ce dernier s'est un peu remplis d'hommes d'affaires principalement.
Je trouve la direction des toilettes et pousse Etienne vers elles. La porte passée, je l'attrape par le col, le pousse chez les handicapés (y'a plus de place) et le colle à la cloison avant de lui rouler une pelle dont il se souviendra. Quand je relâche la pression 5mn plus tard, il est essoufflé mais bandant. Je glisse au sol pour le pomper avant de me redresser, de me tourner en prenant appui sur le lavabo. Ma rondelle palpitante attire son gland. Je le sens capoté quand il me pénètre. Pas discret il ne peut s'empêcher de soupirer grave. Brutal il m'encule avec force et c'est très bon. Je tourne et tend ma tête en arrière. Il se penche et me roule une pelle. Ça nous rend au moins plus discret.
Il me fait mon affaire en 1/4 heure d'intense labourage de cul. J'ai juste le temps de me redresser et de juter sur la porcelaine.
Un peu d'eau sur le visage, et quand nous sortons, nous tombons sur un mec en costard qui quitte la pièce en nous faisant un grand sourire.
Finalement ça m'avait manqué hier soir de n'avoir pas baisé ! Maintenant j'aimerais bien le faire pendant le vol !!
Embarquement. Je ne peux m'empêcher de mater le personnel de bord. Quelques heures de vol mais les deux stewards dédiés à notre classe sont plutôt baisables. Un coup d'oeil à mon client me dévoile qu'il pense comme moi ! Il se penche vers moi et tout bas me défie d'être le premier de nous deux à baiser l'un d'eux.
C'est un pari ça ! Comme enjeu il propose que le gagnant soit l'actif des vacances. Bof, moi j'aime les deux et lui aussi. On cherche et je propose que le perdant doive s'occuper des chevaux. Je sais que je vais le laisser gagner et m'occuper des chevaux j'adore !!
Il ne s'embarrasse pas de fioriture et fait direct du rentre dedans avec le plus beau des 2 stewards. Les sous-entendus qui n'en sont pas sont donc très bien compris et reçoivent un écho favorable ! Même si le mec me fait un gros clin d'oeil pendant qu'il répond à Etienne qu'il est totalement au service des clients. C'est quand il a dit " dès " qu'il m'a fait un signe de l'oeil ! Je pense qu'après avoir consommé mon partenaire je vais pouvoir abuser de sa " gentillesse ".
Après quelques heures de vol, le steward fait signe à Etienne. Ce dernier se lève et le rejoint. Je suis le seul à remarquer qu'ils entrent à 2 dans les toilettes. Ils vont être à l'étroit !! 15mn plus tard le steward en sort, un peu rouge, puis quelques minutes plus tard Etienne.
Tout bas : " gorge profonde et bon cul bien serré ", Etienne me résume ses qualités premières. Ila ajoute " j'ai gagné au fait ! Tu t'occuperas des chevaux. ".
Diner, film, alors que l'avion est passé en mode nuit, que les passagers commencent à s'assoupir, il vient me chercher et m'emmène à leurs propres quartiers de nuit en soute. Il me dit de me presser car bientôt ses collègues vont arriver se reposer.
J'ai compris !! Je prends les choses en main. Enfin, son pantalon que je tire sur ses chevilles avec son boxer et qui me dévoile un bo petit cul rond blanc d'absence de bronzage et sans un poil, comme je préfère. J'ouvre mon jeans et me capote dans la foulée avant de pousser mon partenaire contre la première couchette venue et de lui défoncer la rosette. Il pousse un petit cri peu viril qui porte plus loin que nous le pensions puisque le rideau d'une des bannettes s'ouvre et qu'une tête ensommeillée nous demande de faire ça en silence.
Il mord l'oreiller alors que je lui laboure le cul avec mon 22x6. Il desserre les dents de temps en temps pour me dire que c'est trop bon et que je lui donne autant de plaisir que mon copain. Pour le faire taire une bonne fois, je pose ma main droite sur son cou et enfonce son visage dans le lit sans cesser de lui limer la rondelle. Il aime puisque son cul me branle la bite et que son anneau me serre encore plus.
Il finit par me faire jouir et je rempli ma capote alors qu'il se jute dans la main. On se referme nos pantalons juste à temps, débarquent 3 hôtesses et un steward de seconde (je ne les avais pas encore vus). Ce dernier dévisage son collègue puis moi et lui dit qu'il s'est encore fait les plus canon du vol. Je souris et remercie pour le compliment. J'ajoute que ç'aurait été avec plaisir mais que là, venant de décharger j'avais besoin d'un peu de temps pour recharger les batteries. Plus jeune que le premier il m'excite et je me remets à bander ferme. L'altitude probablement !! Il le voit car sa main vient couvrir la bosse qui tend les boutons de mon jeans et ça me fait gonfler encore plus. Il me pousse et je me laisse faire jusqu'à leur petite salle d'eau. La porte à peine fermée, il s'agenouille et m'avale tout cru. Mon gland se retrouve à faire la conversation avec deux amygdales inconnues. Il me pompe comme un mort de faim ! Ses dents s'incrustent dans mon pubis et son menton repousse mes couilles en arrière. J'aurai eu tort de remonter tout de suite !! Comme je viens de juter il va pouvoir se faire plaisir. Quand il se redresse c'est pour défaire sa ceinture et me présenter sa rondelle après m'avoir recouvert la queue. Pas d'effort à faire c'est lui qui s'assoit sur moi. Quand je sens ses fesses sur mes cuisses, il se décolle le temps de passer ses mains entre nous et quand il se rassoit c'est en s'écartant les fesses. Je lui en mets peut être un cm de plus.
Son collègue qui nous avait suivi le traite de belle salope. Échanges de quelques qualificatifs entre les deux jeunes hommes que j'arrête d'un " vous êtes deux beaux enculés c'est sûr ". Mais c'est vrai que le second est meilleur encore. L'espace est exigüe mais nous arrivons quand même à changer deux ou trois fois de positions on s'achève alors que je l'encule de face, ses fesses sur le rebord du lavabo et moi debout ses chevilles sur mes épaules, mes reins en mode marteau pilon. Le premier steward siffle quand je sors de son pote et qu'il voit le volume de sperme que j'ai à nouveau largué.
Je me nettoie la bite et la range sagement derrière le zip. Ils me raccompagnent, " mon " steward jusqu'à ma place.
À Etienne qui commençait à s'inquiéter, j'annonce qu'OK j'ai fait second mais que j'en ai baisé deux pour la peine.
Je dors jusqu'à l'atterrissage à Kennedy Airport.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!